Un remède ? Impossible

L'histoire se répète

Klaus :

J'essaie d'enlever le pieu mais j'y arrive pas. Azia arriva.

Alyzée : Klaus, il faut qu'on parle.

Elle s'arrêta en me voyant.

Alyzée : qu'est-ce qui t'est arrivé ?
Klaus : Silas. Il m'a attaqué. Il m'a planté un pieu de chêne blanc. Il me reste un éclat dans le corps.

Elle s'approcha de moi.

Alyzée : mon dieu, ça pourrait te tuer.
Klaus : j'ai l'impression de mourir.

Elle mit sa main sur mon visage.

Alyzée : Hé.

Elle mit sa deuxième main sur mon visage et me fit la regarder.

Alyzée : j'adorerais vous regarder mourir, mais vous n'avez pas encore trouvé ce remède.
Klaus : Silas !

Je le repoussa et tomba par terre.

Silas : exact. Hier soir sous les traits de Shane, aujourd'hui, ceux de ta Azia. Qui sait pour demain ?
Klaus : montrez-moi votre vrai visage.
Silas : pourquoi si je peux ressembler à qui je veux que vous voyiez ?

Il se rapprocha de moi.

Silas : résistez-moi si vous voulez, mais tant que je n'aurai pas le remède, je ne cesserai pas de vous faire souffrir.

Il disparu.

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J'arriva à la maison.

Alyzée : j'ai eu 50 milliards de messages. J'espère que c'est vital, je faisais du shopping.
Klaus : allez-vous-en.
Alyzée : Nik ? Où es-tu ?

J'arriva dans le salon. Klaus est torse nu et assis contre le piano.

Alyzée : qu'est-ce qui t'est arrivé, Nik ?
Klaus : j'ai besoin de temps. Cessez de harceler.

Je m'approcha de lui.

Alyzée : je te harcèle ? Je suis sensée préparer mes valises pour aider Hayley et faire du shopping. Et toi tu me harcèles au téléphone.
Klaus : Alyzée ?
Alyzée : tu m'appelles par mon prénom ?
Klaus : c'est vraiment toi ?

Il se leva et s'assit sur le pouf du piano.

Klaus : prouve-le.
Alyzée : je ne sais pas si c'est une de tes magouilles pour pas me laisser partir ou si t'as vraiment un problème ? Je dois vraiment te prouver que je suis ta petite amie ? N'importe quoi.

J'allais partir.

Klaus : attends. Azia, s'il te plaît.

Je me retourna vers lui.

Klaus : Silas m'a enfoncé un pieu de chêne blanc. Il en reste un éclat à l'intérieur.
Alyzée : pourquoi Silas t'attaquerait-il ?
Klaus : je n'étais pas en mesure de poser des questions. Je me contenterai de dire que je souffre. Alors tu comprends pourquoi je t'ai appelée.

Je rigola.

Alyzée : Klaus, la personne la plus forte que je connaisse c'est fait avoir par Silas ?
Klaus : arrête de rire et aide-moi, s'il te plaît.
Alyzée : qu'est-ce que je dois faire ?
Klaus : c'est assez simple. Il faut que tu sortes l'éclat de mon corps.

Son regard se dirigea vers une pince.
Il s'accrocha au piano, je prie la pince et chercha le morceau du pieu.

Alyzée : tiens, ne serait-ce pas un cœur que je vois.

Je bougea la pince.

Alyzée : c'était pas le pieu mais une côte.
Klaus : je suis ravie que tu te foutes de moi, mon amour.
Alyzée : je t'assure qu'il n'y a rien. Et je ne me fout pas de toi. Je suis vexée que tu m'es confondue avec Silas.
Klaus : c'était exactement la même personne que toi. J'aurais pas pu deviner.
Alyzée : c'est ce que je dis. Je suis vexée.

Il tapa sur la table à cause de la douleur.

Alyzée : désolée, désolée. Il n'y a rien.
Klaus : si. Je sens les échardes aller vers mon cœur.
Alyzée : mais il n'y a rien, Nik.

Je retira la pince. Je sais !

Alyzée : c'est dans ta tête.
Klaus : non. Azia je vais mourir !
Alyzée : c'est dans ta tête !

Je prie sa tête dans mes mains et le força à me regarder.

Alyzée : Silas ne t'a jamais poignarder. Il est entré dans ta tête. Rien n'est réelle, mais toi et moi, oui.

Je l'embrassa. Il mis ses mains sur mes hanches.

Klaus : elle a disparu.
Alyzée : la douleur ?
Klaus : oui. La douleur a disparu. Tu avais raison. Elle... elle n'a jamais existé. Il est entre dans ma tête. Silas est entré dans ma tête. Tu as réussi à m'en débarrasser, Azia. Tu m'as sauvé.
Alyzée : si Silas peut te faire croire, à toi, que tu es en train de mourir, que nous fera-t-il à nous ?

Klaus est parti se reposer. J'appella ma tante.

Rebekah : que veux-tu, Lyz ?
Alyzée : où en es-tu de ta recherche du remède insaisissable ?
Rebekah : disons que ça c'est compliqué. D'ailleurs, tu devrais parler à une de ces complications. Tiens.
Elijah : la complication à l'appareil.

Je souria.

Alyzée : papa. Tu descends enfin dans l'arène.
Elijah : pour prendre la situation en main. J'ai le remède et je le ramène à Mystic Falls.
Alyzée : avec une longue liste d'exigences.
Elijah : pas si longue.
Alyzée : rentre à la maison. On réglera ça en famille.

Je raccrocha. Nik arriva.

Klaus : Elijah s'est joint à l'arène ?
Alyzée : il ramène le remède à Mystic Falls.
Klaus : parfait.
Alyzée : je pars bientôt. Tu vas survivre.
Klaus : non. Mais tu me donneras de tes nouvelles régulièrement. C'est à dire toutes les une heure et je suis gentil.

Je rigola.

Alyzée : si tu veux, Nik.