La reine du bal

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Je rentra à la maison. Papa était debout. Klaus et Rebekah dorment encore.

Elijah : tu es matinale, Lyzée.
Alyzée : j'avais besoin de courir pour me vider la tête. Je pars après le bal de se soir.
Elijah : tu pars ? Toi et Klaus...
Alyzée : non. Non. C'est moi, j'ai besoin d'air et je vais aider une amie.

Papa me prit dans ses bras.

Alyzée : les en revoir s'est se soir, papa.
Elijah : je sais.

Quand Rebekah et Klaus furent lever. On alla à table.

Rebekah : Elijah, être humain, c'est un nouveau départ. Je pourrai vieillir, avoir une famille et donner un sens à mes journées, sachant que chacune compte.
Klaus : très poétique.
Elijah : si tu nous trouves une meilleure raison de vouloir le remède, je t'en prie, Klaus.
Klaus : Silas peut prendre n'importe quelle apparence. Il est entré dans mes pensées, a pu me convaincre que j'allais mourir. Il me tourmentera pour ce remède.
Rebekah : et avec, il fera tomber le mur de l'autre côté.
Klaus : pour éviter d'y être piège en mourant. Il veut retrouver son âme sœur. Vous, les passionnés d'amour, vous devriez comprendre.
Rebekah : il ouvrira les portes à tous les être surnaturels morts.
Klaus : dont nos chers frères, Kol et Finn. La famille sera de nouveau réunie.
Alyzée : tu détestais Kol et tu as mis Finn dans une boîte pendant toute sa vie.
Klaus : Elijah, s'il te plaît.
Elijah : ton malaise personnel n'est peut-être pas une raison suffisante pour mettre le monde entier en péril, Klaus. Notre sœur mérite de goûter au bonheur.
Klaus : tu plaisantes ? Tu ne veux pas me condamner à la torture éternelle ?
Elijah : j'ai pris ma décision.

Klaus se leva et chuchota à Rebekah.

Klaus : quand tu seras malade et mourante et que tu me réclameras du sang, je me moquerai de toi et t'envoûterai pour que tu m'oublies.

Klaus partit.

Rebekah : où est le remède ?
Elijah : Rebekah, nous savons tous que tu es impulsive, émotive et parfois d'une morale douteuse. Prouve-moi que ce n'est pas un autre de tes caprices. Que tu sais exactement à quoi tu renonces.
Rebekah : d'accord. Ce que tu veux.
Elijah : tu vivras une journée en humain. Aujourd'hui. Pas de privilège de vampire. Ni force, ni envoûtement, ni rien. Si tu réussis, si tu crois encore que c'est ce que tu veux, le remède sera à toi.

Je reçu un appel de Caroline.

Alyzée : Caroline ?
Caroline : salut Zéa, je sais que nous deux, on est pas les meilleures amies. Mais sa te dit du shopping ?
Alyzée : pourquoi pas.
Caroline : je suis devant chez toi.
Alyzée : je prends mon sac et j'arrive.

Je pris mon sac et sortit. Je rejoignis la voiture de Caroline.

Alyzée : on y va ?
Caroline : c'est partit.

On arriva bientôt aux boutiques.

Alyzée : pourquoi tu voulais que je vienne ?
Caroline : j'ai appris que tu pars se soir. Je me suis dit qu'il était temps d'enterrer la hache de guerre.
Alyzée : d'accord.
Caroline : super.

On arriva à la boutique. Caroline essaya une première robe jaune.

Caroline : alors ?
Alyzée : vérité ou mensonge ?
Caroline : c'est moche ?
Alyzée : sa te vas pas. Essaie quelque chose de rose.

Elle prit une robe rose. La vendeuse m'apporta un verre.

Alyzée : merci.
Caroline : alors ?
Alyzée : non plus. Essaie une bleu.
Caroline : une bleu ?
Alyzée : oui. Blond et bleu c'est un parfait combo.
Caroline : essaye des robes, toi aussi.
Alyzée : d'accord. Tu finis et après c'est mon tour.

Un remède ? Impossible Où les histoires vivent. Découvrez maintenant