miracle babies

New alliances

Klaus : Mon frère, ma sœur et moi sommes les premiers vampires. Les Originels. Il y a 3 siècles, nous avons bâti la Nouvelle-Orléans. Désormais, un nouveau roi règne en maître. Il dirige la ville avec l'aide d'une fille. Ils séquestrent mon frère Elijah. Des sorcières veulent s'approprier la fille. Elles veulent mon aide en échange de la protection de mon enfant, de ma femme, de mes belles-soeurs et de mes neveux/nièces. Je soupçonne d'autres motivations. Alors, j'ai mon propre plan. Je libérerai mon frère et reprendrai le contrôle de cette ville. Je serai roi. Au cours de ma vie, j'ai rencontré nombre d'individus se piquant de parler du bien et du mal. Ces termes sont vides. Chacun agit dans son propre intérêt. Au mépris des souffrances d'autrui. Est-ce mal que de prendre ce que l'on convoite ? De satisfaire son appétit, même si cela fait souffrir son prochain ? Ce que certains appellent le mal et pour moi une réaction appropriée face à l'injustice d'un monde brutal.
Cami : Pardonne-moi, mais qu'est-ce que je fais ici ?

Il se retourna vers elle.

Klaus : j'apprécie ta compagnie. Je te sens capable de comprendre un être aussi complexe que moi. Tu vois, je suis revenu en ville pour enquêter sur une menace qui pèse sur moi et retrouver ma femme et mes belles-soeurs. Je n'y ai trouvé que ma femme, enceinte de notre enfant, ayant besoin de protection et également la même chose pour mes belles-soeurs. Mais j'ai découvert une autre jeune femme. Une jeune fille, plutôt. Au potentiel immense. Captive d'un tyran. Je veux les aider, toutes les quatres, l'une plus que les autres J'en protège trois, je libère la dernière. Dis-moi, selon toi, est-ce mal ?
Cami : le mal n'est pas un diagnostic. Tu souffres de rapports personnels instables, de paranoïa, d'accès de colère, de peur de l'abandon. Parler à quelqu'un te ferait du bien. A un professionnel.

Il souria.

Klaus : je préfère te parler à toi. Je t'offre donc un emploi. Soit ma sténographe.
Cami : qu'est-ce qu'on écrit ?
Klaus : mes mémoires, naturellement. Mon histoire doit être connue. Nous aurons le temps de parler de choses fascinantes. Tel que ton prétendant, Marcel.
Cami : pardon ? Ma vie privée..
Klaus : ta vie privée est cruciale pour mes projets. Marcel te veux. Il va te faire confiance, et cela me sera utile. Le souci, c'est qu'une guerre est sur le point d'éclater. D'un côté, il y a moi et Rena. Et de l'autre, Marcel, une sorcière puissante et des vampires.
Cami : quoi ?

Il alla à vitesse vampirique sur elle et la bloqua contre le mur. Il l'hypnotisa.

Klaus : tu as peur. Sois rassurée.

Il lâcha son visage.

Cami : je n'ai plus peur. C'est fou. Comment...
Klaus : un envoûtement. Petite astuce vampirique. Je t'en parlerai. Mais d'abord, si nous discutions encore Marcel ?

Plus tard, il arriva au bar où Cami travaille et alla vers elle.

Klaus : bonjour, Cami.
Cami : quand vous venez me voir, qu'il n'y a personne, je me rappelle que tu es un vampire qui manipule mon esprit. Et ensuite quand tu t'en vas je me souviens uniquement que tu es un beau gosse qui claque son fric dans ses mémoires.
Klaus : doucement, je suis marié et presque père. Sa s'appelle l'hypnose.
Cami : explique-moi comment tu fais. Mes neurones se deconnnectent ?
Klaus : cette curiosité scientifique. Parlons de Marcel. Tu dis avoir des informations ?

Ils s'assirent à une table.

Cami : Il va emmener quelqu'un au festival de musique qui a lieu ce soir. Il s'occupe de cette fille et apparemment elle traverse une période difficile à se rebeller contre l'autorité et colères noires... Il voulait que je la garde, mais j'ai refusé.
Klaus : Je te demande avec insistance de changer d'avis et de lui dire oui.
Cami : Tu vas me forcer à le faire c'est ça ? Pourquoi être si poli ?
Klaus : parce que je t'aime bien, je suis séduit par ton intelligence. En d'autres circonstances on aurait pu être amis. Cela étant dit ce genre d'occasion se présente rarement et je dois en profiter. Cette fille, Davina n'est pas seulement une arme secrète. C'est aussi elle qui prive mon frère de liberté. En d'autres termes.