chapitre 7: pégase rayonnant

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Ererys observa l'intruse, une tenue de voyage modeste, elle semblait effectivement un peu plus âgée que lui, natures vent foudre, compatibilité verte.
- T'inquiète pas, je voulais m'assurer que Vidia allait bien, et puis j'étais pas seule.
À ces mots, un pégase sortie de buissons plus dense, la femelle qui s'était lié d'amitié avec Vidia. Ererys poussa une exclamation de surprise. Vergil et sa fille se retournèrent vers lui, étonné. Le druide répondit à leur interrogation silencieuse :
- Vous savez que c'est un pégase rayonnant, n'est-ce pas ?
- Un quoi ? C'est un animal spirituel ? Demanda Eléonore.
- Oui, les pégase rayonnant sont des animaux spirituels liés à la lumière, enfin, c'est ainsi qu'on appelle les femelles, les mâles sont des pégase obscurcissant, lié au ténèbres. Ils ne se montrent presque jamais au humains,ou même aux autres peuples. Elle est lié à vous ? Ou à elle ? Demanda le garçon en regardant le temple.
- C'est une amie de Vidia, elle l'as soignée alors qu'elle avait l'aile endommagé.
- Je vois. Excusez mon manque de manière, je suis Ererys, dernier druide et gardien de cette forêt et ce temple.
- T'as changer de façon de parler, c'est parce que c'est une jeune demoiselle ? Blagua Vergil.
- Si ce pégase à suivit ta fille, c'est qu'elle est signe de confiance.
Eléonore pouffa de rire, son père avait toujours été très direct avec les gens, ce qui lui faisait beaucoup d'ennemis mais le rendait fiable pour ses alliés, et ce jeune druide semblait être taillé dans le même bois:
- Je suis Eléonore, fille de Vergil et Élisa, je suis également la camarade de jeu de la demoiselle Vidia depuis qu'elle à 2 ans, et elle me considère comme une amie autant que je la vois comme telle. Merci d'avoir accepté de la soignée.
- Elle n'est pas tirée d'affaires, la fontaine lui permet de stabiliser ses natures et de les empêcher de s'opposer en elle, mais si elle sort de la zone d'effet de la fontaine, elle sera comme avant. Je chercherai un moyen de la soignée, il y'as sans doute un moyen d'y arriver.
Eléonore le remercia. Une fois la discussion terminée, Vergil proposa de rejoindre le reste du groupe. Une fois arrivé, le marquis et sa femme demandèrent des nouvelles de leur fille, Ererys les informas de la situation, et qu'il ne savait combien de temps il faudrait pour soigner leur fille. Rassurer, le marquis s'informa de la présence d'Éléonore, et après les explications de celle-ci, retourna auprès du druide :
- Je souhaite encore te remercier pour ce que tu fais pour ma fille. Je n'oublie pas notre marché, peux-tu me dire ce que tu sais sur les meurtriers de ton clan ?
- Ils étaient très nombreux, et semblait utiliser plusieurs artefacts capable de neutraliser les pouvoirs des druides. Ils avaient également un blason, un taureau à 2 queue, avec une couronne de feu.
- C'est impossible, c'est le blason du marquis Laramb, mais il n'est marquis que depuis 4 ans, et ne possède une armée que depuis 6 ans. Il n'as pas pus attaquer les druides. Quelqu'un à dû se faire passer pour eux. J'engagerai des gens de confiance pour qu'il enquête sur cette histoire.
- Ces dernières années, il y'as plus de monde qui vient, souvent avec cette carte, dit le druide en montrant la carte elfique.
- On as aussi cette carte ! C'est un contrebandier qui nous l'as vendu. Ça nous fait une piste de recherche.
Ererys approuva l'affirmation de l'homme. Pendant qu'il donnait ses directives à l'un des soldats, Le garçon se rendit compte du l'aura de meneur que le marquis avait, il inspirait le respect sans être menaçant. Le druide avait vu beaucoup de meneur entraient dans la forêt avec leurs groupes, mais beaucoup n'imposer le respect que par la peur. Bien qu'il aurait voulu continuer à discuter avec le marquis, Ererys dû s'abstenir, le fameux professeur voulu lui poser des questions concernant :
- J'accepte de répondre, mais vous devez également répondre à mes interrogations, je suis assez curieux des coutumes humaines. Mais allez-y, je vous écoute.
- Commençons par ce qui est frappant, pourquoi vos yeux sont- ils gris, alors qu'ils étaient verts tout à l'heure ?
- Ah, c'est vrai, j'avais pas oser demander, intervint Vergil qui passait par là.
- C'est à cause du regard du druide, qu'on va aussi appeler la vision druidique, lorsque mes yeux sont verts, je peux voir la nature, la compatibilité et l'état physique de la personne en face de moi.
- Vraiment ? Incroyable ! J'ai une autre question, si cela ne te dérange pas, on raconte que les druides sont éveillé à leur nature dès la naissance, c'est vrai ?
- Hé bien, oui et non, on éveil la nature druidique à la naissance, mais les druides passent une cérémonie d'éveil pour leur autre nature. Tous les druides sont au moins bi-naturels, il y'as également des tri-naturels, un peu plus rare. Maintenant à mon tour, les humains sont souvent surpris de mon utilisation des runes, comment vos prêtres apprennent à les utiliser, si ça semble si bizarre ?
- Normalement, ils sont les seuls à le savoir, mais j'ai été prêtre a une époque, alors je suis en mesure de répondre. Les prêtres apprennent à matérialiser leur énergie à l'état pur, sans utiliser leur nature, c'est compliqué et nombreux sont ceux qui échoue, de plus les seuls runes connue sont celles des soins mineurs, moyens et majeurs, ainsi que celles de l'éveil.
- Drôle de façon de faire, mais avec vos connaissances, c'est peut-être la seule qui fonctionne vraiment. Et avant que vous ne demandiez, je ne vous expliquerai pas la façon de faire de mon peuple.
Puis, d'un commun accord, les deux interlocuteurs mirent fin à la discussion pour la journée. Eléonore arriva, suivit par la marquise, et s'adressa directement au jeune druide :
- Excuse moi, mais on voudrait pouvoir accéder à la salle où se trouve Vidia, pour s'occuper d'elle, lui faire une toilette, tout ça.
- Vous ne savait pas mettre les formes, a ce que je vois, mais d'accord je comprends votre requête. J'ai, cependant une condition : vous devrez toujours me prévenir quand vous vous y rendait, sinon Raiin risque de ne pas apprécier votre venue. Et, excusez mon manque de connaissances, mais une marquise sait-elle faire une toilette ? J'ai toujours cru que vous aviez des servantes pour vous les faire.
- Il est vrai, commença Ariane, que je ne suis guère très habile pour cela, je serai surtout là pour aider Eléonore. J'ai pensé que vous n'apprécieriez pas de voir d'autres personnes arrivaient ici. Je tiens également à vous dire que nous n'oublierons jamais ce que vous faites pour nous, la dette que nous avons envers vous est immense.
Hochant la tête, Ererys conduisit les deux femmes jusqu'au temple et leur montra la salle de la fontaine, puis partie vers une autre salle, seul, pour commencer à chercher une solution dans les anciens ouvrage des druides.

L'avènement du druide roiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant