La mort

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Dans le silence profond de la nuit étoilée, 
La mort s'avance, calme, voilée. 
Elle n'est ni cruelle, ni douce amie, 
Mais l'inévitable fin, de la vie l'alchimie.

Les battements cessent, le souffle s'éteint, 
Une transition paisible, vers un autre chemin. 
La chair repose, l'esprit s'élève, 
Vers des horizons que l'œil humain rêve.

Les larmes coulent, témoignages de l'absence, 
Des vies touchées, laissées en souffrance. 
Mais au-delà des pleurs, un espoir subsiste, 
Que la mort n'est qu'un passage, un simple transit.

Les souvenirs restent, gravés dans le cœur, 
Des instants précieux, malgré la douleur. 
Et si la mort est un adieu silencieux, 
Elle est aussi promesse, d'un au revoir radieux.

Ainsi va le cycle, éternel et vrai, 
La vie s'achève, mais jamais ne s'en va. 
Car dans chaque fin, un nouveau départ, 
La mort est un pont, vers d'autres parts.

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