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...

Elle crie le prénom de mon père..

Je lâche les gobelets de café qui était dans mes mains.

J'étais sur le point de perdre mon équilibre et tomber mais Adem me tiens d'un côté et Pelin de l'autre.

Je contrôler plus ma respiration. J'avais l'impression de m'étouffer.

J'étais toujours pas consciente de se qu'il se passer.

Je voulais rentrer dans la chambre et le voir.

Moi: Lach.. lâchez moi..

Adem me lâche puis je rentre dans la chambre tout en me tenant au mur.

Je rentre et je vois ma mère en pleure par terre.

Je relève ma tête et je vois plusieurs infirmières entrain de détacher les câbles, puis le médecin mettre un tissu blanc sur mon père.

C'est fini..

C'était fini..

Il est parti.. il fait plus parti de notre vie..

J'étais entrain de m'étouffer, j'allais aller vers ma mère mais soudainement mon ventre commença à donner des contractions.

J'avais énormément mal, je commençais à avoir super chaud, j'arrivais plus à respirer, j'étais sûre le point de tomber.

J'essayer de me calmer mais non, je tremblais de fou.

Sans comprendre quoi que se soit je perd mon équilibre et je tombe.

J'étais en pleure. Sa me faisait hyper mal.

Moi: *en pleure* Adem.. Adem stp

Il court vers moi.

Adem: Sana calme toi inspire, expire

Moi: J'ai mal, putain Adem.. argh

Je souhaite cette sensation a personne, jamais je me suis sentie aussi mal de ma vie.

J'avais l'impression de mourir.

...

Je me réveille dans une salle en sursaut.

Adem me tenait la main.

Adem: Doucement Sana

Je me redresse.

Moi: Adem.. stp je t'en supplie dis moi que c'était un cauchemar.. stp dis moi que tout va bien

Il essaye d'éviter mon regard.

Moi: Adem nan.. s'il te plaît

Il met ses deux mains sur mes joues et efface mes larmes.

Adem: Sana..

J'ai hocher ma tête négativement. Non, non je voulais pas y croire.

Il se lève et me prend dans ses bras. Il me sert fort, très fort.

J'étais juste morte.

On m'avait enlever mon père..

Je pleurer, j'hurlais de douleur. J'étais tellement mal que j'avais même oublier si mon enfant aller bien.

Je me soucier même plus de lui.

J'avais un énorme poids sur le coeur, j'avais l'impression qu'il était entrain de se déchirer.

C'est une sensation tellement horrible.

Personne arriver à me calmer, j'étais plus moi même.

Je me contrôler plus.

Chronique de Sana : « Un amour impossible »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant