l kiss girls not guys

chapitre 12

coucou les Guys, n'hésitez pas à mettre une petite étoile ⭐️ pour m'encourager et ça me ferait plaisir. Bonne lecture 💗

Chapitre 12
Point de vue de Mael

Nous arrivons devant chez mes parents.

— On est arrivés, Emma, dis-je en essayant de la réveiller de son sommeil profond.

— Oaoao, gémit-elle en s'étirant.

— C'est bon, je suis prête.

Nous sortons de la voiture pour ouvrir la portière arrière et récupérer nos gros sacs. Normal que nous ayons de gros sacs, nous allons rester trois semaines quand même. Ma mère m'a forcée à rester aussi pour le Nouvel An.

Nous entrons dans la maison.

— Maman, on est là!

Ma mère débarque en courant pour me prendre dans ses bras.

— Maman, tu m'étouffes!

— Coucou, désolée ma chérie. Oh, tu es Emma, c'est ça?

— Oui Madame, enchantée de vous rencontrer.

— De même, dit ma mère en se rapprochant d'elle et en la prenant dans ses bras. Cela se voyait qu'Emma n'était pas à l'aise.

— Vous arrivez pile pour le goûter.

— Maman, on n'est plus des enfants.

— Oui, c'est vrai ma chérie.

À peine finit-elle sa phrase qu'Iris et Matteo me sautent dessus. Ils sont mes frère et sœur.

— Coucou grande sœur, répondirent-ils en chœur.

— Coucou bande d'oies. Je vous présente Emma, mon amie.

— Cool, salut! disent-ils en chœur en s'adressant à Emma.

— Coucou.

— Bon, laissez-la tranquille, je vais lui montrer sa chambre.

— Euh Mael, dit ma mère, la chambre d'amis a eu un problème. Le lit est cassé. Emma, ça te dérange si tu dors avec Mael?

— Euh, pas du tout.

Je ne pensais pas à ça.

— Allez, les filles, installez vos affaires.

Point de vue d'Emma

Je vais découvrir la chambre où Mael a grandi. Mael ouvre la porte de sa chambre.

— Voilà ma chambre, fais comme chez toi.

Des posters accrochés au mur, une chambre blanche avec quelques plantes, je remarque qu'elle a toujours cette petite partie d'elle qui adore les LEDs. Mon cœur s'emballe rien qu'à l'idée de savoir que je suis dans la chambre où elle a grandi, vécu. Je suis contente de découvrir une petite partie d'elle que je ne connaissais pas vraiment.

— C'est beau.

— Merci, à vrai dire ça n'a pas changé d'un poil.

— Les filles, on mange!

— On arrive.

Nous descendons pour manger le repas. Une fois à table, sa mère nous sert des pâtes au thon.

— Merci Madame, dis-je poliment en m'adressant à la mère de Mael.

— Oh, de rien mon enfant. Appelle-moi Harley.

— Oui d'accord, mad... Harley.

— Vous avez prévu quelque chose pour après? nous demande Harley.

— Oui, j'avais prévu d'emmener Emma à la patinoire. Mike m'a donné les clés.

— C'est qui Mike? demandai-je poliment.

— L'ancien entraîneur de Matteo. Il faisait du hockey, m'annonce Mael en se dépêchant de manger son plat délicieux.

Nous finissons de manger tout en parlant de nos vies, de comment ça se passe et tout.

— C'était très bon, Harley.

— Je te remercie!

— Allez maman, on doit y aller maintenant. À toute.

Mael me tire par la main pour aller dans sa chambre.

— Prends un gros pull, j'ai aussi pris des gants pour toi, trésor.

— Merci.

Une fois habillées chaudement, nous montons dans la voiture de Mael pour aller à la patinoire.

— Waouh, c'est grand! m'exclamai-je.

— Ouais, de fou! Tu viens? Elle m'attrape la main pour m'engouffrer avec elle dans la gigantesque patinoire.

Nous traversons les couloirs, super grands, jusqu'à ce que j'aperçoive enfin la glace.

— Tu fais du combien?

— Quoi?

— En taille de chaussures?

— Ah pardon, je n'avais pas compris. Euh, du 40.

— Ok, j'arrive. Installe-toi.

Je m'assieds sur le banc en attendant Mael, mes yeux dérivent sur la glace, si calme et apaisante. Le froid me rafraîchit, j'adore le froid.

— Je suis là! Tiens, dit-elle en me tendant des patins à glace.

— Merci.

Je les enfile. Une fois fini, je remarque que Mael est déjà prête et m'attend. On dirait qu'elle a fait ça toute sa vie.

— Tu as déjà fait ça? lui demandai-je alors que nous étions en train de marcher vers la glace.

— Oui, Matteo m'avait appris un peu à aller sur la glace et à patiner sans tomber.

— En revanche, moi, je n'ai jamais patiné.

— Ça va aller, je suis là, trésor.

Elle prend ma main pour nous faire monter sur la glace. Mon déséquilibre me surprend légèrement.

— Mael, je vais tomber.

— Non, rassure-toi, je te rattraperai toujours, trésor.

Je me sens rassuré par sa phrase qu'elle vient de dire. Une personne m'a rattrapé dans ma vie. Si Maël voulait me rattraper, je la laisserais faire. Mon cœur bat fort, j'ai même peur qu'elle l'entende sur le moment.

Mes mains enlacées aux siennes, nous patinons sur cette glace, drôlement glissante à mon goût. Je glisse sans m'en rendre compte.

– Merde ! prononçai-je.
– Je suis là ! dit Maël en me rattrapant. Ça se voit que t'as jamais patiné.
– En vrai, je trouve ça marrant.
– T'as vu, on s'y habitue vite.

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les Guys, je m'améliore avant, j'écrivais, genre 500 mots et maintenant je suis à 800

Bon au sinon vous en pensez quoi du lit partagé ?

N'hésitez pas commenter 😄