Comme prévu le lendemain, je me rendis à la banque. Lorsque ce fut mon tour, je vis un jeune homme d'environ mon âge me sourire poliment.
— Bonjour mademoiselle, que puis-je faire pour vous aujourd'hui, me demanda-t-il gentiment. — Je voudrais effectuer un retrait, s'il vous plait.
Après avoir donné mes informations, je partis m'assoir dans la salle d'attente. Quelques minutes passèrent jusqu'au moment où il me fit signe de venir. Arrivant face à lui, il prit la parole.
— Votre conte est vide, mademoiselle, m'annonça-t-il, j'ai réessayé plusieurs fois sans aucun succès. Une idée me vit en tête, mais je pris intérieurement pour que ce ne soit pas ce que je pensais.
— Je voudrais les dates des derniers retrais effectués ce mois-ci, s'il vous plait.
Il tapa quelques minutes sur son ordinateur pour enfin me glisser une feuille ayant ce que je voulais.
— Les derniers retraits en étaient effectués hier, me dit-il.
Cette information fit un tour dans ma tête avant de comprendre que mon hypothèse était juste... Je remercie brièvement le jeune homme et sortie en toute vitesse en direction de mon lieu de travail. Amanda avait dévalisé notre conte, c'est pour cela qu'elle est partie aussi vite hier soir... Après quelques minutes de marche, j'arrivai enfin à mon lieu de travail. En m'avançant, j'entendis des hurlements de détresse dans la ruelle d'en face. Je me précipitai en direction de celle-ci en me rapprochant de plus en plus vers les cris. Quand tout d'un coup, je vis une femme enceinte en train de se débattre face à un homme qui essayait de la déshabiller de force, cet homme était âgé, maigre et grand de taille et rempli de tatouages, ça devait sûrement être son mari... Sans attendre une seule seconde, je me précipitai vers eux et lui assenai un énorme coup de poing, ce qui a eu pour but de le surprendre.
— Petite pu-, à peine a-t-il fini sa phrase que je lui donnai un énorme coup de pieds dans l'entre-jambe.
Il se mit à genoux tout en gémissant de souffrance. Je me précipite vers la jeune femme et l'aide à se relever.
— Ma fille... où est ma fille, me dit-elle au bord des larmes. Je survis son regard et aperçus une petite fille âgé de maximum trois ans, possède de longs cheveux brun et des yeux noisette, parfaitement similaire a sa mère.
je ne tarde pas à l'aider à rejoindre sa mère qu'an d'un coup je lâche un cri aigüe en voyant quelle qu'un me tirait brutalement les cheveux à la renverse, je tombe par terre, mais avant même que j'eus le temps de me relever qu'il se mit en califourchon sur moi et me donna une énorme gifle qui m'ouvre la lèvre inférieure, il enchaîna ensuite une série de coups de poing en direction de mon ventre... ma respiration se coupa et tous mes muscles en do loris, mais au moment où il tourna la tète vers sa femme, je repris mes esprits, et en un mouvement de jambe je nous fis inverser les places, lui en dessous et moi en califourchon, sans plus attendre j'enchainai une série de coups interminable sur lui, je pivotai ma tête en bas en direction de sa ceinture et vis une lame blanche, je m'empare de celle-ci et la place contre sa gorge qui possède un tatouage étrange au niveau de l'oreille droite.
— S'il vous plait, je jure de ne plus jamais lui faire de mal... Ayez pitié, me dit-il à bout de souffle et les larmes aux yeux.
— Je n'en doute pas, lui dis-je, en lui souriant. Il fut soulagé un instant, tandis que d'un coup, je lui enfonçai ma lame dans la gorge. Il émit un hoquet de surprise.
— Tu ne feras plus jamais de mal à aucune autre femme, ni maintenant ni dans un autre monde, on se retrouve en enfer, Hijo de puta lui dis-je en le voyant se refroidir sous moi.
VOUS LISEZ
SIN COMPROMISO
RomanceDans les fins fond des rues de Colombie se trouvait une jeune fille du nom de Irene Ramirez tous aller bien dans sa vie jusqu'au jour où elle fait malencontreusement la rencontre d'un dénommé Fahd Sorrentino le baron de la mafia colombienne.Aucun de...