Francis est un humain qui vit à Stell, une ville portuaire au nord du continent démoniaque. Les bâtiments y sont de brique et de béton. Chaque battisse à une couleur légèrement différente, comprise entre le blanc pur et la brique nue, ce qui couplé à leur architecture de maison de campagne au toit pointu et auxquelles on aurait empiler un étage de trop leur donnait un look de banderole rayée rouge et blanche qui longeait la plage. Les port se trouve à chaque extrême de la ville : le port de plaisance se trouve à l'Est-Sud-Est et ne compte que quelques voilier côtoyant les bateau de pèche modestes, à l'opposer au Nord-Nord-Ouest ce trouve le port industriel, un immense parking de goudron ou s'alignent des châteaux de conteneurs chaque jours et autour duquel valsent les porte conteneurs.
Francis est une personne effacé, qui parle très peu depuis son déménagement et qui passe la plupart de son temps à lire.
« -Putain mais c'est pas clair ce bouquin ! s'exclama t'il. « La création », un "ouvrage banni", "interdit aux humains" tu parle ... la seule chose claire c'est la description des gardiens et je ne sais mème pas si c'est réel ou pas. Et puis qu'est-ce que ça veux dire, les humains ont été crée à partir de divers morceaux de chair ? J'ai l'ai d'être le monstre de Frankenstein ? Et pourquoi ce bouquin est dans un état aussi déplorable ? Pourquoi il y a mème pas deux pages qui sont accrocher correctement à la couverture ? Et ça à été réécrit tellement de fois qu'il y a au moins une trentaine d'écriture et d'encre différentes sans compter tout les post-it et les papier racoler qui font en fait parti de l'histoire. Sans déconner qui écrit "attendre le feu vert" dans un bouquin de culte ? Et puis comment autant de bordel peut être aussi cohérent en premier lieu ? Comment chaque note glisser entre deux pages peux contenir une partie aussi cruciale ? C'est supposer être un texte un minimum sacré... C'était bien la peine de me cacher dans la réserve de la bibliothèque et d'avoir effacer toutes les traces possibles pour lire un torchon pareil. Si je remet la main sur ce trous du cul qui m'a vendu un : « article dont la simple possession est passible de mort » je lui enfoncerait son putain de bouquin tellement profond dans le fion qu'il pourra se brosser les dents avec.
Francis rangea le livre dans une de ses poche intérieur, à coté de ses chewing-gum. Quand soudain, des sirènes retentirent et un message d'alerte fut diffusé :
Attention ! Ceci n'est pas un exercice. Un démon ravage la ville. Veuillez évacuer vers le port industriel. »
Mais la seule chose qui viens à l'esprit de Francis en entendant cette déclaration fut :
À quoi ça ressemble un démon ?Il y en à un ici ? Dans la ville ? C'est complément surréaliste, les démons ne sortent jamais de l'abysse, qu'est ce que celui-la peut bien foutre ici ? Et comment il s'est démerder pour arriver ici ? Il à traverser tout le continent dans la longueur ? Et personne l'a remarquer jusqu'à maintenant ?... Est-ce-que je pourrais ?...Oui un occasion comme ça ne se ratte pas !
Et n'écoutant que sa curiosité il partit dans la direction opposée au port.
Il esquiva les flots de piétons qui prenait ses jambes à son coups, sorti de la bibliothèque, parcourra les rues et contourna la mairie pour y trouver un champ de ruine de l'autre coté.
En arrivant sur les lieux Francis se cacha et commença à observer le démon.
Il ressemblait à un humain, on aurait pu le prendre pour lycéen, du haut de son mètre soixante-dix. Enfin, on aurait pu, s'il n'avait pas sa paire de cornes sur sa tête, des griffes au bout de ses doigt et de ses pieds, une fine queue qui se terminait par un pique et sa paire d'aile de sept mètre d'envergure souder au milieu de son dos.
Caché derrière le pan de mur encore debout, dans ce qui était, il y à encore pas si longtemps, la salle d'attente de la mairie. D'ici il continua contempler ce résident de l'abysse qui ne devrait pas se trouver en un tel lieu. Il remarqua que le fils du chaos n'avait ni vêtement ni attribut sexuel, son entrejambe était parfaitement lisse et l'entièreté de son corps dénuer de poils, il reflétait un noir profond sur tout les parties de son corps pourvue de peau. Ce dernier avait tout de mème de quoi se couvrir un minimum, de la glace, de fines bandelettes d'eau à l'état solide recouvrait son corps, lui servant à la fois de protection et d'armes. Une large piste verglacée s'étendait du centre ville où le démon faisait rage jusqu'au fleuve, laissant présager de la manière dont il avait obtenu une telle quantité de son élément.
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Ouroboros
ActionCeci est une expérience dont le but est de fonder un univers vaste et cohérent avec lui même. Comme je m'y attendait mon premier essai n'a pas été très concluant, mais il m'a permis d'apprendre et de comprendre de nombreuses chose. Si vous voulez me...