Chapitre 10

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Une fois sortie de la gare Yuled suivi Ariel et Ayana, ils se rendirent à une station de métro qui était dans un état misérable.

Un carreau sur dix étaient brisé, des traces noires étaient omniprésentes, il y avait des SDF à chaque coin du bâtiment, Yuled repéra plus d'une dizaine de personnes qui ne marchaient pas droit, certain d'entre eux tenaient une bouteille à la main d'autres un pétard et une personne tenait une seringue.

On pouvait trouver des trous dans les murs des traces de sang et des morceaux de vêtements déchiré un peu partout, il y avait également de la roche, de l'eau, des plantes, de la glace et des traces de brûlures par ci par là, cet endroit à forcément été témoin de combat impliquant le Saiki.

Yuled commença à comprendre pourquoi autan de personnes attendaient un taxi à la sortie de la gare.

Ariel l'amena à une borne et rentra les identifiants de Yuled en les consultants sur son téléphone.

Une nouvelle fois Yuled du vérifier son identité en posant son pouce sur le scanner.

Il reçu son ticket, le regarda quelques secondes, puis se remis en marche car Ariel partait sans lui une fois de plus.

Ils arrivèrent devant le portique et Yuled fut impressionné par l'aspect et l'utilisation parfaite du mot « portail ».

Le portique en lui même était normal mais son environnement était surnaturel : les dégâts, les traces et même les débris s'arrêtaient net, on pouvait littéralement voir un ligne parfaitement droite, même un giclé de sang séché qui aurais du continué sur deux mètres, semblait s'arrêter par magie au contact de cette ligne.

Une fois le portail passer tout étai parfaitement propre, les murs étaient d'un blancs immaculé, les poubelles semblaient flambant neuves et le sol était si propre qu'on pouvait s'y voir comme dans un miroir.

Yuled et Ayana laissaient des traces de poussières sur ce sol si luisant mais Ariel elle ne laissait aucune trace.

En attendant le métro Yuled tenta de comprendre comment elle fessait, pendant qu' Ayana courait partout comme une enfant de six ans.

Environ une minute plus tard un train arriva sur la rive opposé, personne n'en descendit, le métro reparti faire demi tour, et une autre minute plus tard il était de retour, vide, prés à accueillir nos héros.

Ils montèrent dans le train, et trente secondes plus tard ils repartirent en direction de Tonou.

Le paysage était très monotone, des immeubles, des immeubles et encore des immeubles.

Au bout d'un moment les immeubles commencèrent à grandir de plus en plus et le métro plongea sous terre.

Lors des rares sorties, pour traverser des pont sur un fleuve, Yuled ne pouvait plus voir que des grattes ciels à perte de vue, certains devait dépasser les trente étages sans problèmes.

À partir du deuxième arrêt d'autres personnes commencèrent à monté dans le la voiture du métro où il se trouvait, tout d'abord deux, puis dix, puis vingt, puis trente, Yuled avait obtenu une place pas très loin d'une porte et pour rien au monde il ne la cédera.

Il ne fit attention à aucune des station, au lieu d'écouter le haut parleur il rivait les yeux sur Ariel, qui était assise en face de lui légèrement à gauche, à coté d' Ayana, pour ne surtout pas rater la station où il devra descendre.

Au bout de la septième ou huitième station Yuled arrêta de surveiller Ariel, il y avait beaucoup trop de monde.

Il était plus occupé à géré la pression qu'il ressentait en étant piégé dans une foule aussi dense et à contrôler ses pulsion de violence et d'écartement qui lui montait à la tète.

OuroborosOù les histoires vivent. Découvrez maintenant