Chapitre 3

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Le lendemain matin vers huit heure et demi environ Francis était prêt, il sauta de sa chaise de bureau, fermât sa valise, la lança devant la porte et se rendit dans la cuisine, pris un bol, ses céréales et une baguette de pain dans les placard, du lait, du beurre et de la confiture dans le frigo et il pris le couteau à pain, avant de s'asseoir.

Il dosa les céréales qu'il allait manger dans son bol puis ajoutât le lait.

Après quelques bouchés il empoigna le couteau à pain, découpa un rondin de la baguette puis le trancha en deux, il beurra sa tartine puis la recouvrit de confiture et la trempât dans son lait avant de la manger, repris quelques bouchées de céréale et répéta l'opération pour la deuxième tartine.

Après avoir savouré le dernier petit déjeuner qu'il prendrait dans cet appartement il rangea son repas, pris un accumulateur de froid qu'il rangea dans la poche extérieur de son manteau et retournât dans sa chambre où il emballa le cœur déjà prisonnier dans une couche de glace opaque, dans du filme plastique puis dans du sopalin et le cachât comme il pus avec ses livres au fond de sa valise.

Enfin décidé il ouvra la porte regarda une dernière fois son appartement avant de refermer la porte.

Il était neuf heure lors qu'il pris le métro et passa le trajet à regarder par la fenêtre et, malgré lui, il remarqua un grand nombre de personnes armés sûrement là pour le surveiller, en fessant très attention il remarqua l'une de ses sentinelles, qui avait la main dans la poche, il tenait un manche surmonté d'un battant de métal fixer perpendiculaire, un pistolet, comme celui des légendes urbaines.

Francis descendu au terminus dans les environs de dix heures moins vingt et il se mis à marcher en direction du port.

Les agents était partout : il y avait parmi les passants, sur les toits, aux coins de rues et il y avait même un hélicoptère militaire qui le survolait.

En constatant tout ces mesure Francis se préparât un plan d'évasion, qui n'était d'ailleurs pas très réaliste par rapport à ses capacités physiques.

Et enfin il arriva au quai numéro six et il constata qu'il était attendu.

Une immense foule était rassemblée devant un navire blindé, il n'avait pas l'air de bonne humeur il tirais tous la gueule et portait quasi tous un gilet orange, Francis en avait déjà entendu parler « les gilets oranges » un association de militant qui haïssait les éveillés et organisait tout sortes de manifestation pour réclamer une purge des criminels qui se sont éveiller, une belle excuse pour tous les discriminer sans exception.

En regardant bien il remarqua que certains tenais des pancarte et des banderole :

« que justice soit rendue sur ces criminels, arrêtez l'exil commencer à assumer, à mort, purifiez les, arrêtez de vous débarrasser du problème résolvez le ! » et tout un tas de coups de gueule sans argument.

Francis mis ses deux capuches en essayant de passer le plus inaperçus possible.

Malgré tout ses efforts, quand il atteignit la moitié de la traversée, quelqu'un remarqua sa valise et lui arracha ses capuches.

« C'est lui, c'est l'éveiller ! Hurla t-il. »

Un mouvement de panique traversa la foule et ils regardèrent Francis avant de s'éloigner de lui tout en l'encerclant.

« Sale monstre, tu as détruit la moitié de la ville, espèce de meurtrier, j'ai perdu mon appart à cause de toi, mon père est à l'hôpital c'est ta faute... »

Tout en vidant leurs glandes à venin, les manifestants bombardaient Francis de toute sortes de projectiles :cannettes, pierres, bouteilles et même un couteau qu'il esquiva de justesse.

OuroborosOù les histoires vivent. Découvrez maintenant