Chapitre 5

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Je me réveille brutalement à cause d'une gifle et je reconnaîtrais ce rire entre mille c'est celui de John , je ne me souviens pas très bien mais de la soirée d'hier mais John n'a pas eu son "moment" je comprends donc très vite pourquoi je suis là. Il se saisit violemment de mes poignets et m'attache au lit, je n'ai plus de force donc je ne résiste pas, je me laisse faire telle le vulgaire objet que je suis . Il montre sur moi ,déchire mes vêtements, je me retrouve nue à être reluquer par ce gros pervers, il passe sa langue d'une façon tellement écoeurante que j'en ai un rictus de dégoût.

Il se met à me caresser, touche mes tétons, me lèche ensuite il me pénètre comme à son habitude violemment entame des vas et viens, me donne des claques mais rien de sors de ma bouche , je suis là je le regarde , je n'arrive même pas à respirer correctement donc je le laisse , qu'il finisse et me laisse repartir c'est tout ce que je veux .

Il sort son membre, le mets dans ma bouche et c'est ainsi qu'il jouit , et demande de l'avaler chose que je fais sans broncher.

-gentille fille , tu vois quand tu veux , j'aime quand tu es sage et docile , ton nouveau geôlier sera ravis (*ricanement)

Je me fige à cette annonce,j'ai l'impression que mes oreilles bourdonnent, ce n'est pas possible. ON M'A ENCORE VENDUE!!!
J'ai l'impression que le sors s'acharne sur moi . Je suis tellement fatiguée que même parler me dépasse alors je préfère me taire par peur de sortir une connerie et finir tabasser , même si je ne lui appartient plus je suis toujours avec lui et de ce fait il peut me faire ce qu'il veut.

- Tu n'as pas l'air contente chérie? Tu vas partir pourtant Ahaha
À ta place je ne le serais pas non plus. Tu as été vendue au pires des hommes qui existe sur terre et il est le premier

Mon sang se glaça instinctivement à cet annonce, donc je vais vivre pire que ça...

-je ne te donnerais pas de détails mais sache juste que ton parcours d'exclave ne fais que commencer. Tu seras baiser par n'importe qui et n'importe quand comme la pute que tu es (*ricanement)
Allez pauvre chérie soit heureuse, tu vas bien t'amuser, ta petite chatte sera remplie à souhait pour le bonheur de cet homme ahaha.

Il s'éloigna et alla taper la porte afin d'appeler Marc son plus fidèle spire et l'ordonna de me ramener dans mon trou afin que j'y reste jusqu'à départ

DÉPART?? Mais où?? Déjà? Aussi vite? Mon cœur rate un battement tellement l'angoisse prends possession de moi mais je suis prise d'un afflux de courage et j'ose demander à mon ancien possesseur la fameuse question

-où est ce que je vais aller?

Il se tourne vers moi , d'une démarche qui se veut nonchalante,souris à pleine dent et se rapproche

-Tu aimerais bien connaître hein, sale chienne mais tu devra rester sur ta fin , idiote

-tu n'est qu'un sale porc , je t'en merde ,déchet !!

La minute d'après j'étais sur le sol cogner contrer le mur à vive allure , mais qu'est-ce que je pensais? Pourquoi ma bouche n'en fais qu'à ça tête? Arrrggh . Pour l'heure j'ai mal , c'est ainsi qu'il me piétine, saute sur moi, me gifle, j'ai tellement mal, c'est affreux mais que puis-je faire? Je l'ai méritée. Soudain Marc vient le séparer de moi et je commence à retrouver une respiration normale

-boss on ne doit plus l'abîmer, venez nous devons mettre au point l'itinéraire afin d'éviter la police

-sale petasse, tu as de la chance qu'il soit intervenu sinon je t'aurais tuer de mes propres mains sans avoir le moindre sentiment de pitié

Il crachat sur moi et sorta tandis que Marc s'avança sourire au lèvre

-or Cherie tu as mal? Viens je vais t'aider

Il se rapproche de moi , baissa son pantalon et me pénétra, les larmes affluaient sur mes joues mais mes cris étaient étouffés par sa main . Il continua en me léchant puis rien. Il a jouit. Et moi comme à chaque fois je me suis sentie humiliée,sale , honteuse.

Il m'ordonna de me relever chose que je fais difficilement ce qui m'a valut une belle gifle (oui parce que j'ai crier et c'est au moins la sixième que je prends donc..) il m'agrippa fermement et c'est ainsi que nous marchons jusqu'à mon trou , j'entre et pars me coucher et il lance

-bonne nuit princesse (*ricanement)

Il ferme la porte et je commence à pleurer toute les larmes que mon corps dispose tellement j'ai mal et je prie pour finir avec cet enfer, je veux retrouver une vie normal putain , puis je ferme les yeux et espère que demain sera meilleur. Je l'espère de tout cœur ...

SoumissionOù les histoires vivent. Découvrez maintenant