PDV CONNOR
Non.. non... j'ai relu, des millions de fois sa lettre, je ne veux pas croire qu'elle soit capable de faire de tels chose, elle n'est pas le genre de fille à faire ça.. elle c'est toujours relevée tant bien que mal. Je ne veux pas me faire à l'idée de vivre sans elle une heure de plus, faites qu'elle revienne, faites qu'il ne lui soit rien arrivé..
PDV CASSANDRA
.. : Qu'est-ce que tu fait là ?
J'ai faillit tomber plus tôt que prévue.
Moi : qu'est-ce que TU fait encore ici ?
Mon « père ».
Moi : tu a failli me tuer une fois, tu vient m'aider à me tuer une deuxième fois ? Vient, je t'en pris.
Lui : ne soit pas idiote, laisse moi te tuer tranquillement dans des circonstances plus agréable.
Moi : Me noyer dans une eau gelée est plus agréable que de me faire tuer en voyant ta tête juste avant de mourrir.
Lui : bon et bien au moins, je n'aurais pas besoin de me salir les mains, mon travail aura été accompli plus rapidement qu'il ne l'a été envisagé.
Moi : ton travail ; ton but est de me tuer c'est ça ? Tu est revenue juste pour ça ?
Lui : en quelques sorte oui, en faite c'est pas « mon travail » juste « une envie ».
Moi : explique toi, j'aimerais bien comprendre ce qui m'a poussé à en arriver ici avant de partir pour de bon.
Lui : tu a gâché ma vie, celle de ta mère. C'est tout ce qu'il y a à dire.
Moi : je n'ai rien « gâché », en tout cas pas ta vie, puisque tu est partie il y a bien longtemps.
Lui : si tu n'avait pas été là, ta mère ne serait pas morte, je serais encore avec elle et notre vie de couple aurait durée encore bien des année. Mais tu à rendu ta mère malade, je ne pouvais pas la voir ainsi, donc je suis partis, tu prenait trop de place entre elle et moi, elle te donnait beaucoup trop d'importance.
Moi : et toi plutôt que de l'aider à s'occuper de moi, tu a fuit la réalité, tu a fait ta vie ailleur, tu rejette tout sur ma faute, et bien, quelle mentalité.
Lui : je l'aimais. C'est ça la réalité, je l'aime encore. C'est toi que j'ai fuit, pas elle. Aujourd'hui je venge ta mère, enfin, tu la vengera seule puisque tu veut te tuer avant que je le fasse.
Moi : dégage d'ici. Maman n'était pas malade, elle allait très bien jusqu'à ce que tu t'en aille, c'est là qu'elle est devenue malade.
Lui : non non non, tu te trompe sur toute la ligne. Écoute moi bien, quand tu été enfant, tu avait un problème aux reins, ta mère ta donné le sien quand tu à grandit, elle ne voulait pas que tu te rappelle de ça, alors on a trouvé un moyen, je ne sais plus lequel, pour tout te faire oublier de ce minuscule passage de ta vie. Par contre, ta mère ne vivait donc plus qu'avec un reins, un reins qui c'est infecté à la minute où elle t'a donné son deuxième reins. On pensait que ça s'arrangerait, mais non, elle à eu un cancer du rein, incurable puisqu'elle n'en avait déjà plus qu'un. Mais enfin bref, elle prenait des médicaments, mais on savait bien que cela ne la sauverait pas éternellement. Donc voilà,je ne supportait pas de la voir comme ça, encore moins de la voir t'aimer plus que sa propre vie alors que c'est ta faute si la sienne était détruite d'avance, alors je suis partis, mais maintenant je suis là, et si tu ne saute pas maintenant je vais te pousser, ça sera plus rapide.
Moi : Tu à fuit la réalité..
Lui : Saute.
Moi : Tu n'a pas été capable d'assumer de la voir mourir..