Pouvoir et Passion : L'Étudiante et Bardella le Politicien Prodigieux

Scéne d'amour

Dans la douce pénombre de ma chambre, je sentais la chaleur de Jordan contre moi. Ses bras puissants m'enveloppaient, et chaque contact de sa peau contre la mienne faisait monter en moi une vague de désir insatiable.
Nos lèvres se rencontrèrent dans un baiser ardent, nos langues se mêlant avec une passion brûlante.
Mon souffle devint rapide et saccadé alors que ses mains exploraient avidement mon corps, glissant sous ma chemise pour caresser ma peau nue. Je fremissais sous ses doigts, chaque caresse envoyant des frissons de plaisir à travers moi. Sa bouche quitta mes lèvres pour descendre sur mon cou, mordillant doucement, provoquant en moi des gémissements incontrôlables.
Jordan m'allongea doucement sur le lit, ses lèvres traçant un chemin brûlant sur ma poitrine. Il dégrafa mon soutien-
gorge en un geste.
Je laissa échapper un gémissement profond,
dans mon bas-ventre, chaque succion, chaque coup de langue me rapprochant de l'extase.

« Jordan... » murmurai-je, ma voix tremblante de désir. Ses mains descendaient lentement, glissant sous l'élastique de mon pantalon. Je haletais, mon corps arquant sous le sien, réclamant plus de lui. Ses doigts trouvèrent mon intimité, caressant doucement avant de devenir plus insistants. Un cri de plaisir m'échappa alors que ses mouvements devenaient plus rapides, envoyant des ondes de plaisir à travers moi.
« Oh oui... » gémissais-je, mes mains se perdant dans ses cheveux, l'incitant à continuer. Chaque mouvement, chaque caresse me rapprochait du bord, mes gémissements devenant plus fréquents et plus forts. Mon corps tout entier vibrait sous ses attentions, mon souffle se transformant en une série de soupirs et de cris étouffés.
Mais soudain, tout commença à
sestomper. La chaleur corporelle et les contours de Jordan se brouillèrent.
Une peine menvanit.
J'essayais de le retenir, mais il disparaissait, glissant entre mes doigts.

J'ouvris brusquement les yeux, le cœur battant encore la chamade. La lumière du matin baignait ma chambre, et je me retrouvais seule, les émotions du rêve encore vives. Un profond regret m'envahit, les larmes aux yeux. Je voulais que ce moment soit réel, que la chaleur de Jordan soit tangible. Avec un soupir, je me laissai retomber sur mon oreiller, espérant qu'un jour, ce rêve pourrait devenir réalité.
Mais un sentiment de culpabilité se glissa dans mes pensées. Est-ce que je ne suis pas trop sale pour faire ça ? me demandai-je, est-ce que je mérite ça ?
Cette question, lourde et oppressante, me hantait tandis que je luttais pour me rendormir, mon cœur encore marqué par l'intensité du rêve.