Chapitre 2

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K A Y L I E

Me voilà en direction pour retrouver mon père, j'en est là certitude que je vais passer une sale heure,mon professeur la déjà informer de mon comportement.

Mon père ne me croira jamais si je lui dit ce qu'il c'est passer,comme tout les autres fois,sa sera de ma faute,sa toujours été le cas pour lui,et c'est à moi de payer les conséquences.

Me voilà devant cette immense manoir qui me sert de maison,je traverse le portail , a peine ai-je franchi le seuil de la porte,que je vois mon père,debout adosser à l'entrée du salon rouge de colère.

-alors comme sa ma fille est une petite insolente,dit-il en s'approchant de moi dangereusement.

-père je-,je n'est même pas put terminer ma phrase qu'il m'a gifler tellement fort que mon corp rencontre le sol froid.

-TAIT TOI !,dit-il en criant.

Il me prend par le col et me plaqua contre le mur.

-tu ne vas donc jamais arrêter de me faire honte,cracha-t-il sèchement.

-je..pardonne moi mais j'ai juste voulu-,et la de toutes ces force il me jeté sur la table du salon en verre qu'il se brise à mon contacte.

Une douleur abominable me prend dans tout le corp,tellement la douleurs était atroce,que je n'arrive même plus a bougé.

Mon père pendant de temps injuste sa chemise blanche.

-rejoins-moi dans mon bureau,mais avant change toi et sois plus présentable,me crachat-il au visage.

Super,j'ai des bout de vers partout,j'essaye de me lever mais sans succès,j'entent quelqu'un s'approchait quand je tourne la tête je vie Marie notre gouvernante.

Je la considère comme ma mère,elle a toujours était la pour moi,

-mi corazoncito,qu'est ce qui t'es arrivée,dit-elle inquiète.

-rien de grave juste une crise de mon père,arrivé-je à prononcer en grimassent.

-pour quoi à t-il réagir de la sorte regarde dans quel état il y'a mise, dit-elle.

-rien juste euh..j'ai séchais,menti-je,bien sur que non j'allai pas lui dire.

si mon père apprend que quelqu'un et au courant il n'hésitera pas à me tuez sans pitié.

-vient je vais t'aider à désinfecter tout sa et te changer,me dit marie avec toute la tendresse du monde.

Marie est mexicaine, elle est la depuis longtemps, j'ai grandi à ces côté,et elle a jouer le rôle de ma mère.

On se dirige vert la chambre en silence,et je suis pas contre,je m'assois sur le bord du lit,et marie et aller chercher la trousse de secours.

-c'est pas beau avoir,il ta pas louper,dit-elle en soignant mon dos.

Je reste silencieux,les bout on aussi atteint mon visage,sa faisait vraiment mal.

-aïe,tu me fait mal, je dit en me plaignant.

-il ne reste que mettre des pansements tu pensera à en mettre après la douche,dit-elle avant de quitter ma chambre.

Bloody heartOù les histoires vivent. Découvrez maintenant