Chapitre 1

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« Une âme brisé »

K A Y L I E

7h30.

Le peu de temps ou j'ai dormi c'est estomper,mes volet ouvert dévoile le ciel gris de Boston .

A contre coeur je quitte mon lit et me dirige vers ma salle d'eau, et tombe directement sur mon reflet dans le miroir, met yeux fatigué par mon manque de sommeille, ma peau pale qui dévoile l'intégralité mes bleu.

Je me déshabille et entre sous la douche laissant l'eau chaude parcourir mon corps.

Je sors de la salle de bain mon corp enrouler dans une simple serviette, je vais vers mon armoire vue le temps j'ai opter pour un sweat blanc qui cache l'entièreté de mes blessure et un jean noir.

Je vais à l'université depuis presque un ans le seul lieu ou j'ai le droit d'accès et bien sur accompagner
Puis ce que je suis une « proie facile »au yeux des ennemies de mon père.

Car oui mon père est là des plus dangereux trafiqueur de drogue du pays.

Personne ose le contredire, sauf ma mère mais elle a payer très cher...

Je descend les escaliers et me dirige vers la Bugatti qui m'attend dehors,je monte à l'arrière et salut le conducteur, je met mon casque en posant ma tête sur la fenêtre.

On est arrivé très vite , je me dirige vers mon premier cours.

Je vise la table du fond ou personne n'est assis.

Je sors mon carnet et commence écrire tout et n'importe quoi en attendant que se cours merdeux se finissent .

Vous vous demandez pourquoi je déteste assister au cours?

Tout simplement parce que mon père a choisi pour moi une école de droit,bien sur que je ne voulait absolument pas faire de droit mais je n'est pas eu mon mot à dire.

-Mademoiselle Wilder je ne vous dérange pas j'espère,dit M.Otian en faisant référence à mon carnet.

-Si mon cours ne vous intéresse pas vous pouvez quitter la classe, poursuit-il .

-excusez-moi monsieur,répond-je faible et en ajustant ma capuche.

-pour la peine vous  aller répondre à la question suivante,qu'est ce que la constitution,dit-il en le regardant.

Bien sur je ne savais pas la réponse et la chance que j'ai tout le monde me regarde.

-je...je ne sais pas,prononcé-je.

-bien sur vous ne savait vous passait votre temps à ne rien glander et gribouiller dans votre carnet faut que j'ai une discutions avec votre père.

Mon cœur raté a battement m..mon père non il faut pas qu'il sache sinon c'est la fin pour moi.

-n..non monsieur s'il vous plaît tout mais sauf mon père ,dis-je la gorge serrée.

-tout vous dite ? Dit-il.

-oui tout ,répond-je sur de moi.

Bloody heartOù les histoires vivent. Découvrez maintenant