Oh ne vous souciez pas de la non-concordance des chapitres. Je ne souhaite parfois pas vous partager mes angoisses et mes doutes bien que les chapitres soient bel et bien existants.
Ce soir ma chambre me brule le corps, il me semble que je suis dans le même état que lorsque j'ai écrit mon premier chapitre durant l'été 2022. Cette chaleur d'été enivrante me paraît être ma source éternelle d'inspiration.
Mais cette fois si mes sentiments vont bien au-delà du chatouillement que me procurent les ébats d'une romance fictive. Je suis en proie à une nouvelle folie, l'amour adolescent.
Je ne me perdrai pas dans la description de la personne qui accapare mes pensées, étant donné que seul vous lisez mes écrits Moony.
Je souhaite partager ce soir l'amour consument qui m'a épris. Mon amour enrobe tout ce qui m'était existant auparavant.
J'avoue rougir d'une certaine honte en disant que je me lève en pensant à vous, je dessine en pensant à vous, je vis en pensant à vous, j'écris en pensant à vous. Vous êtes le centre de mon monde bien malgré mes passions encombrantes. Voilà bientôt six mois que je ne puis dédier mes écrits qu'à votre cœur et à votre sourire charmeur.
Je peine à rendre plus glorieux nos sentiments qu'à travers met écrits. Quand ma plume s'emporte, vous devenez la huitième merveille du monde.
Je ne sais que dire, moi qui ai si longtemps décris les auteurs amoureux comme encombrants et agaçants. Me voilà réduit à parler de la seule chose dont ma plume accepte encore de me laisser parler poétiquement, Vous.
Moi qui n'ai compris l'amour qu'à travers Rimbaud et Verlaine. Et qui acclamait ironiquement haut et fort que l'amour n'était qu'une obligation à la fin inévitablement tragique.
Je suis bien plus stupide que je ne pensais l'être. Je suis l'idiot que j'ai décris, celui qui rêvait de vivre l'amour adolescent
