- La..la guerre ?! S'exclama Jinshi en se levant.

- Oui mon seigneur un des pays voisins l'a déclaré ce matin. Affirma l'ennuque.

Avec cette annonce catastrophique, la purge des servantes eu lieu. Après cela le Harem Impérial fut renforcer et bon nombre d'homme partirent à la guerre suivant l'empereur. Maomao, elle, dû partir à cause de la purge et prit le soin de remercier tous ceux qui étaient bon pour elle et d'adresser un "aurevoir" a Jinshi.

Jinshi dû suivre l'empereur dans la guerre comme beaucoup de soldat avant et avec lui. Maomao repartît au cartier des plaisirs où elle tenta d'être apothicaire mais la mère Macrelle en avait décidé autrement. Luomen, son père adoptif aurait soutenu tout ses choix même si l'un était de devoir changer de père. L'apothicaire appréciait particulièrement Luomen, mais face à Lacan il ne faisait pas le poids Maomao dû se rendre à l'évidence, elle fait partie du clan La, et ce, qu'importe qui est son père.

Après cela Maomao à l'âge de 19 ans sans même les avoir fêter , le 28 mars. Au bout d'une longue année au côtés de Lacan, Maomao s'occupait des affaires et jouais très souvent aux go. Malgré elle Maomao gardait ce qu'elle n'utilisait qu'en présence de Lacan, l'espoir , Maomao n'oubliant pas d'envoyer des lettres à son père , Luomen, qui par delà les mots lui donnait son savoir et ses connaissances.

Sur le champs de bataille le combat faisait rage mais personne n'abandonnait pour autant. Depuis Dame Gyokuyo avait enfanté une paire de jumeaux ce qui fut difficile et eu une fille et un garçon.

Alors que l'empereur demanda à Jinshi de rentrer pour voir ce qui se passait au Harem Impérial celui-ci commençait par aller dans ses appartements, là bas une pile de paperasse c'était faites . Des dizaine voir des centaines de lettre étaient sur son bureau , il prit le temps de lire chacune d'entres elles. Au bout d'une trentaine de lettres Jinshi commença a fatigué mais n'abandonna pas et continua sans même regarder qui l'avait envoyé à lire cette lettre :

Seigneur Jinshi,

"Aujourd'hui j'ai 19 ans et je fais partie du clan La et j'en suis même l'héritière, vous aviez dit que la guerre n'arriverait que dans quelques semaines et j'y ai cru mais la vie en a décider autrement, je vous fais confiance, et je sais pertinemment que vous honoré vos promesses."

Bonne chance.

Maomao.
28 mars.

- "Maomao" ?! Fit l'intendant en sursottant.

Jonshi commença à fouiller le t'as de lettre en espérant en trouver une deuxième, en vain. Alors que celui-ci pensait qu'elle lui en voulait, il regarda le sol se brouillant de nostalgie envers cette fille qui lui avait voler son cœur. En regardant le sol Jinshi aperçu une lettre qu'il a dû faire tomber. Une lettre qui était tout en haut de la fil, une lettre qu'il ouvra :

"Vous aviez promis"

L'apothicaire.
15 mai.

- Nous sommes le 6 juin... Alors ça voudrait dire que... elle ne m'a pas oublié ! S'exclama Jinshi en criant de joie partout.

Pour Jinshi , une chose était sûre :
Il devait aller voir MaoMao.

- Où puis-je la trouver ? Chez Lacan, sûrement mais voudra-t-il m'ouvrir ? Non ça c'est sûre. Je n'ai qu'un mois ici avant de repartir à la guerre, je ne peux pas me permettre de la laisser seule alors que je suis là !-

- LE PALAIS VERT DE GRIS ! S'exclama Jinshi tout en prenant le premier carosse. (En ayant évidemment finis son travail.)

- Bonjour . Fit jinshi poliment en entrant seul dans l'enceinte de la maison close.

- C'est pour qu... Commença la vieille. Mais c'est toi ! L'homme qui a racheter la p'tiote !

- Effectivement mais où est elle ? Demanda Jinshi sans aucune honte.

- A ton avis, le vieux a tout de suite saisi l'occasion ! Affirma la la mère Macrelle.

- Nous qui avions essayé de la protéger du monocle, il nous l'a prise et sous le nez en plus ! Fit Meimei en descendant les escaliers suivi de deux autres joyaux du palais Vert de Gris.

- Alors elle bien chez Lacan. Grogna Jinshi.

- Oui et c'est peine perdu pour la voir.

- Merci aurevoir ! Fit Jinshi en partant sans écouter.

Aussitôt Jinshi se rendit chez Lacan. Voulant s'introduire comme fait auparavant, il remarque que cette fenêtre était fermée à double tours.

- Quel vieil peau ! S'exclama jinshi en douceur.

- Vous avez besoin d'aide ? Demanda une voix que Jinshi ne connaissait que trop, une voix qu'il rêvait d'entendre, une voix si douce et innocente ... Jinshi se retourna immédiatement pour observer qui se tenait derrière lui.

- Vous piétinez mes plantes. Fit la jeune apothicaire sans regarder son interlocuteur.

- Maomao ? Demanda Jinshi en tremblant les larmes aux yeux.

C'était bien elle, sans tache de rousseur, avec des habits luxueux et des herbes à la main.

- Seigneur Jinshi ! Sexclama Maomao.

Alors que Jinshi s'approchait doucement de Maomao celle-ci lui débaucha la plus grande des petites claque de sa vie .

- Vous ne m'avez pas répondu pendant plus d'un an pour vous plantez de ma fenêtre les mains vides en piétinant mes plantes ! Gronda Maomao.

- Les lettres ne me parvenait pas . Fit Jinshi désolé de la situation.

- Au moins vous êtes sain et sauf . Fit Maomao soulagée.

Alors que Jinshi s'approchait de nouveau vers Maomao...

- Quesque vous faites là votre altesse ? Demanda une voix, elle aussi très familière. Je ne pense pas que vous introduire chez moi et vous approcher de ma fille fasse partit de vos obligations.

- Lacan -

Maomao, le regard baissé , fit signe à Jinshi de s'en aller en lui tendant discrètement un papier avec une inscription dessus :

"Dites à Dame Gyokuyo que je lui souhaite tout le bonheur du monde ainsi qu'à ses dames de compagnie"

- Partez. Fit Lacan la main sur l'épaule de Maomao.

Jinshi, sans un mot, partit se jurant de revenir.

Peut-on se sauvé sans tomber ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant