ALBA

Chapitre 14 : ENORA ( ALBA)

     Je sens que je vais détesté mon nouveau patron plus que n'importe qui sur cette terre, non mais je suis dans les normes son assistante mais lui me traite comme sa boniche.

   Je lui ai ramener son café noir sans sucre comme demander mais au lieu d'être un minimum reconnaissant il ose me dire que son café est top froid et sans goût. Non mais le café a t'il vraiment besoin d'avoir un goût spécial ? Moi je m'y connais pas tellement en café mais je pense pas que ça ait un goût spécial , je le déteste. Je lui apporte donc un autre café et j'espère que sa majesté sera content.

     Finalement il n'a pas rechigné et je suis partie dans mon bureau afin de me mettre au travail. J'ai travailler toute la matinée et à la pause je suis allé me prendre un hamburger dans un fast-food pas loin de mon lieu de service.

       J'étais toujours a fond dans mon travail lorsque mon chère patron que j'adore plus que tout, noté l'ironie fait son entrée dans mon bureau sans toqué bien-sûr, comme ci ça m'étonne venant de lui . Mais je suis quand même surprise de le voir ici dans mon bureau

- Oui Mr , dis-je en lui accordant toute mon attention

- Rangez vos affaires, vous allez m'accompagner a un rendez vous,  claque t-il durement et sèchement.

    Non mais, pour qui il se prend, j'ai juste envie de l'étrangler là présentement mais je prend sur moi j'ai pas trop le choix de toute façon pour le moment.

- D'accord , dis-je en essayant tant bien que mal de gardé mon calme.

    Je range donc toute mes affaires et le suit jusqu'a l'ascenseur, puis une fois au sous-sol nous montons dans sa Berline noir. Ça ne me surprend pas bien évidemment et je suis sûre que les vitres sont fumées, afin bref c'est pas ça le sujet.

    Après une trentaine de minutes de route nous nous garons devant une magnifique villa, waouh c'est gigantesque je vous assure c'est a coupé le souffle. Mais bon je me ressaisi très vite et je suis heureuse de constater que mon gentil patron n'a rien remarqué...

- Euh c'est ici qu'on a rendez-vous, demandai-je un peu surprise

- Oui , descendez, répond t'il froidement comme à son habitude ce qui n'es pas en soit très étonnant venant de lui.

     Il sort donc du véhicule avec moi à ses trousse. Une fois a l'intérieur une employée viens nous accueillir en s'adressant en lui en l'appelant patron ce qui m'étonne un peu. Attendez ne me dites pas que nous sommes chez lui là ?

- Nous sommes chez vous ? Demandai-je

- Oui , suit moi je n'aime pas trop les questions donc contente toi de faire ce que je dis , dit-il sans dissimuler son agacement

    Je lui fis les gros yeux étonnés parceque a ma connaissance je lui ai a peine posé 3 questions . Bref je ne m'attarde pas plus et le suit jusqu'a son jardin je crois.

    Arrivé là-bas je suis choqué de ce que je vois , il ya une cage dans laquelle sont enfermés plusieurs personnes avec tout tipe d'outil tranchant a leurs actifs et je ne comprends pas du tout pourquoi. Mon patron s'assoit et m'ordonne littéralement de faire de même, ce que je fais sans rechigné trop choqué par ce que je vois.

     Quelques instants plus tard un homme a la carrure imposante se place sur une petite estrade improvisé un micro a la main et je suis toujours d'autant plus perdue jusqu'à ce qu'il ouvre la bouche

- Si nous sommes réunis ici c'est pour le fameux jeu du '' massacre " car vous depuis dernièrement le Capo est trahis par la plus part de ses membres et il est temps que vous vous souveniez de qui il est et qu'on ne le trahis pas sans en payé les conséquences, commence t-il, le principe du jeu est simple vous devez vous tuez avec l'arme de votre choix et les 5 personnes a survivre jusqu'à la fin aurons gagné et seront épargné. Que le jeu commence , annonce t'il