Le labyrinthe

Chapitre 6

Quand l'heure que les portes ce ferment arriva, on pu voir tout le monde ce diriger vers la grande porte. Enfin, surtout les matons, et quelques trancheurs et bâtisseurs.

Minho avait attraper Ben. Je frissonna. Je n'avais pas envie de voir ça. Je resta donc à bonne distance. Regardant la scène du plus loin possible.

J'entendais les cris de Ben. Je le vu, comme une tâche blanche, être pousser dans le labyrinthe de force. Minho balancer son sac alors que les portes se refermées. Je vu l'ombre de Chuck entrer dans la ferme. Les portes se refermèrent complètement, arrêtant les cris de Ben. Plus personne ne bougea avant un petit moment.

Quand je tournis le dos, j'aperçu Gally barrer le nom du coureur sur le mur.

Thomas : Ada ! (Larmes aux yeux) Tu crois qu'il va s'en sortir ?

Ada : Thomas... Je vais me répéter, mais ce n'est pas ta faute. Ne crois pas ça, vraiment. Oublie-le. Personne ne peut survivre là-dehors... Je dois aller me coucher, je courre demain. (Commence à partir, mais me retourne vers lui une dernière fois) Si il ne s'en était pas pris à toi, ça aurait était à quelqu'un d'autre, tu sais.

Thomas : Oui...

Ada : Ma porte t'est ouverte, d'accord ? (Il hoche la tête) Bonne nuit, Thomas.

Je rejoignis ma chambre,  vide, et m'endormit vide.

Une femme blonde, plutôt vieille, était penchée sur moi. Elle murmurer des choses incompréhensibles pour moi.

Ada : Laissez-moi !

La femme : Wicked est bon, Ada. Faites confiance au garçon.

Je me réveilla en poussant un hurlement. Newt était déjà à l'entrée de la chambre.

Newt : C'est bon, Ada. (Me prends dans ses bras) C'est fini.

Minho : (Ouvrant difficilement les yeux) Qu'est-ce qui ce passe ? (Nous regarde) Tu a fais un cauchemar ?

Ada : Oui... (Plonge dans ses bras) Minho, je t'aime tu sais.

Minho : Oui, je sais. (M'embrasse sur le crâne) Je t'aime aussi, petite sœur. Alors, raconte-nous, c'était quoi ce cauchemar ?

Ada : (Regarde Newt) Rien d'important. Je n'ai pas envie d'en parler, vraiment.

Newt : Ce n'était qu'un cauchemar, Ada. Peu importe ce que c'était, c'était juste des rêves.

Ada : Oui...

Minho : Allez, dors. Demain tu va dans le labyrinthe.

Ada : Oui... Tu a raison. (Lui embrasse la joue) Merci, les gars.

Le lendemain matin ;

Je me dirigea vers les cuisines. Puis Minho me rejoignis, on ce dirigea vers notre porte puis ce sépara peu après.

Le soir ;

J'avais prit du retard, courant donc plus vite que d'habitude.

Les portes ce refermées devant moi. Je courrais plus vite pour pouvoir les passées, finissant en roulade dans l'herbe devant les garçons qui étaient devant les portes. Ces dernières ce fermèrent quelques secondes après que je soit passé.