Le labyrinthe

Chapitre 7 - La réunion

Je me réveilla avec les joues toujours pleines de larmes. J'alla rapidement chercher Newt, qui devait ne pas être loin...

En sortant, j'aperçu que les portes étaient déjà ouvertes, je m'en approcha par pur instinct.

Winston : Ada ! Les garçons sont à l'infirmerie.

Ada : Les garçons ? (Réalise)

Je ne le laissa pas le temps d'ajouter quoi que ce soit que je courra à l'endroit qu'il m'avait indiquer. Les garçons étaient vivants !

Quand je les vus, en un seul morceau, je ne pu m'empêcher de sauter au cou de Minho en pleurant.

Ada : J'ai eu si peur, abrutit !!! (Regarde autour d'elle) Et Alby ?

Minho : (Montre Thomas) Il l'a sauvé, mais Alby c'est fait piquer. Les medjacks ont dit que ce n'était pas trop tard.

Ada : Le pauvre... Et vous, ça va ?

Minho : Ouais, des égratignures !

Je leva les yeux vers Thomas. C'est la première fois depuis que j'étais entrée dans la pièce que je le regarder dans les yeux. Les miens se remplirent de larmes et je lui sauta dans les bras, le laissant surpris.

Ada : Je ne sais pas ce qui c'est passer là-dehors, mais je t'ai vu entrer dans le labyrinthe pour les sauver. Sans hésiter, et sans penser à toi.

Thomas : Ce n'est pas-

Ada : Merci, d'avoir accouru les aidés. Merci de me les avoir ramener. Et merci d'être rentrer vivant.

Minho : Tu l'étouffes, Ada.

Ada : Oh ! (S'éloigne) Désolé, Thomas, ça doit te faire bizarre que je te prenne dans mes bras comme ça.

Thomas : (Petit sourire) Je commence à m'y faire.

Ada : Je vous laisse, je vais voir Alby. (Embrasse Minho sur la tempe)

Je vu les yeux de Thomas se perdre dans le vide.

Ada : Bien que ce ne soit pas une partie de plaisir, il est en vie.

Thomas releva la tête, surpris, comme si j'avais lu dans ses pensées.

Ada : Tu... Tu avais le regard dans le vide, j'ai donc penser que...

Thomas : Merci.

Ada : Ce n'est pas pour te réconforter, tu sais. C'est parce que c'est la vérité. Tu l'as sauver, alors sois fier au lieu de te demander s'il n'aurait pas préférer y rester.

Minho : Ada adore dire leurs vérités aux gens en déballant ses discours. Mais elle a raison.

Ada : Je ne suis pas ta sœur pour rien ! (Lui tape dans l'épaule, il grince des dents)

Minho m'ébouriffa les cheveux. Je vu Thomas sourit en nous regardant.

Ada : Bon j'y vais ! (Embrasse la joue de Thomas) Reposez-vous bien, les gars !

Minho : Compte là dessus, tocarde !