Le labyrinthe

Chapitre 5 - Ben

J'avais passer la nuit à faire des cauchemars, à un tel point que je m'étais glisser sur le matelas de Newt, qui c'était réveiller pour me prendre dans ses bras.

J'étais morte de trouille, et je n'arrivais pas à le cacher.

Le lendemain, je fus réveillée par Thomas.

Ada : Thomas ? (Regarde dehors) Il est encore tôt.

Thomas : Montre-moi cet endroit.

Ada : D'accord... (Soupire) Mais avant je vais m'habiller, si ça ne te dérange pas d'attendre quelques secondes. (Me lève pour rejoindre ma chambre, où Minho ronfle) Pourquoi tu es venu si tôt ?

Thomas : J'ai entendu que tu pars courir aujourd'hui.

Ada : (Passe un t-shirt) Visiblement non. Si je m'occupe de toi je ne vais pas pouvoir courir.

Thomas : (Regarde Minho) Est-ce qu'il dors toujours avec toi ?

Ada : Près de moi, oui. Si on ce perds de vue c'est... On ne ce perds pas de vue, enfin le moins possible. (Embrasse le front de Minho avant de sortir) Tu viens, Toms ?

Thomas : Oui !

Ada : Alby t'a fais graver ton nom ?

Thomas : Quoi ?

Ada : Alors non. Ah, ce chef en carton. (Rit)

Je l'emmena a un endroit qu'Alby m'avait montrer à mon arrivée. Sur une paroi d'un mur, où des noms étaient marqués. Certains barrés, d'autres non.

Ada : Tu es des nôtres, maintenant. (Lui tends un couteau)

Thomas : (Montre un nom barré) Qu'est-ce qui leur est arrivé ?

Ada : Je te l'ai dis... On à tous déjà pleurer ici. Mourir arrive plus souvent qu'on ne le pense, dans cet endroit...

Il ne dis rien, et ce mit à graver son nom. Newt arriva.

Newt : Tu peux aller aider Poêle s'il te plaît, Ada ?

Ada : Ca marche, je te confie Thomas. (Part sans discuter)

Gally : Hey, Ada !

Ada : Salut, Gally !

Il vena vers moi, me regarda quelques secondes avant de me prendre le baril que je ramener à Poêle des mains.

Ada : Oh, merci...

Gally : Tu ne devrais pas porter de choses si lourdes alors que tu à un tel homme fort et beau comme moi, sous la main. (Sourire arrogant)

Ada : (Riant) Gally ! (Marche à côté de lui)

Gally : Il va dans la cuisine ?

Ada : Oui. Tu veux que je t'accompagnes ? J'ai laisser Thomas à Newt, et comme il est avec moi aujourd'hui...

Gally : Vas-y. Ne fais pas attendre le nouveau.

Ada : Merci encore, Gally. (L'embrasse sur la joue en sautant puis part en courant) Newt ! (Ne m'arrête pas assez vite, on tombe tous les deux, faisant rire ceux autour)

Newt : Ada ! (Sourire en coin)

Ada : (L'aide à ce lever) Pardon. (Petit rire) Mais c'était tentant. Où est Thomas ?

Newt : Je l'ai envoyer chercher du fumier.

Ada : Dans la forêt ? Avec les tombes ? Et s'il tombe sur la cabane des coureurs ? (Soupire) Newt, je ne suis pas sûre que ce soit une bonne idée. Surtout avec ce qu'il y a dans la forêt. (Va vers le forêt sans me presser) S'il ce met à chier dans son froc, ce sera ta faute !

? : A L'AIDEEE !!!

Ada : Thomas ?

Thomas : A L'AIDE !!!! (Sort de la forêt en courant, passant près de moi) Reste pas là !! (Prends mon bras pour courir) Il est devenu fou !!!

Ada : Qu- (Surprise de voir Ben courir derrière nous) Putain. (Il attrape la jambe de Thomas, nous mettant tout les trois à terre) Ben ! (Sort mon couteau pour le mettre sous sa gorge, le plaquant au sol sous mon poids) Arrête ! (Surprise quand je vois ses yeux rouges et bleus)

Il me renversa, envoyant mon couteau valser. Il se tourna vers Thomas, mais Newt lui donna un coup de pelle en pleine tête, le laissant sonner assez longtemps pour que les autres le plaque au sol.

Newt : (L'un de ceux qui le retienne) Mais arrête, qu'est-ce que tu fous ?!!!

Gally : Ben, calme-toi !

Poêle-à-frire : Qu'est-ce qui c'est passer ?

Ada : Il nous courrait après... (A Thomas) Qu'est-ce que tu as fais ??

Thomas : Il m'a sauté dessus ! (Se lève en enlevant la poussière de ses vêtements)

Ben : (Voit Alby) Non, non, non.

Ada : Alby, il faut l'emmener ailleurs.

Alby : Emmenez le au gnouf, maintenant.

Ben : Non, s'il vous plaît ! Non !

Newt  Les coffreurs !

Ben : Pas ça ! Nooooonnnn !!!

Gally : Calme-toi !!

Les coffeurs le portèrent jusqu'à qu'on ne les voient plus en tout cas.

Je suiva Alby, Thomas et Chuck plus loin dans la forêt.

Thomas : Qu'est-ce qui lui ai arriver ?

Alby : C'est une transformation. Ca intervient peu de temps après une piqûre. Si on le soigne avant la nuit, ça prends plusieurs jours, mais ils redeviennent normaux.

Ada : En apparence du moins. Je ne connais aucun blocard qui a était piquer qui est normal après. (Regarde Thomas) Il faut que tu saches que ce n'est pas ta faute. Il n'a plus toute sa tête.

Alby : Et son état va empirer. Il est dangereux. Qu'est-ce qu'il ta dis ?

Thomas : Euh... Il me répéter sans arrêt qu'il m'avait vu, et que c'était de ma faute.  Comment ça pourrait être de ma faute ?

Alby : Allez, repose toi.

Thomas : Alby...

Alby : Ouais ?

Thomas : Qu'est-ce qui va lui arriver ?