Une famille qui s'agrandit

Les choses bien

Florence et Pascal commandèrent leurs repas et mangèrent, toujours en discutant de tout et de rien. Une fois qu'ils eurent fini de manger, Florence se dit qu'il fallait qu'elle aborde le sujet "d'eux". Mais Pascal fut plus rapide qu'elle.

-Florence est-ce que vous m'aimez? Elle fut tétaniser pas cette question.

-Quoi?

-Est-ce que vous m'aimez?

-Pascal...

-Vous avez juste à répondre par oui ou par non.

-Non c'est pas si simple! Vous ne comprenez pas que j'ai peur de ce que je ressens pour vous, peur parce que je n'ai jamais ressenti ça pour personne d'autre, je ne comprends pas ce que je ressens pour vous, je n'arrive à mettre de mots dessus, je me pose tellement de questions et ça me fatigue à un point.

-Je vois. Je suis désolé Florence, je ne veux pas vous mettre la pression mais faut me comprendre aussi, ça fait plus de 8 ans que je vous attends, et c'est dur pour moi de vous voir tous les jours avec mes sentiments qui se développent de jours en jours sans pouvoir être avec vous. Vous comprenez?

-Je comprends Pascal, je comprends aussi de plus en plus ce que je ressens pour vous mais je veux faire les choses bien et dans l'ordre, pour que ça fonctionne si jamais on décide d'aller plus loin tous les deux. Vous nous laissez le temps?

-Évidemment Florence.

Elle était soulagée que cette discussion se soit bien passée. Il était prévenant, compréhensif et surtout patient et ça, elle adorait.

Pascal lui était d'un côté déçu, mais en même temps heureux car il se disait que ça avançait, doucement mais sûrement.

-Un petit désert, ça vous tente ?

-Volontiers Pascal.

Ils prirent des déserts et continuèrent leur soirée tranquillement.

Vers 23h.

-Pascal je vais rentrer, il se fait tard.

-Pas de soucis commissaire, je vous raccompagne évidemment.

-Vous n'êtes pas obligé vous savez.

-Bien sûr que si que je suis obligé!

-Si vous insistez. Dit-elle en riant.

Pascal alla payer pendant que Florence l'attendait devant le restaurant.
Pascal l'a retrouva.

-Bon bah... À demain mamie Flo.

-Oui à demain Pascal, et merci pour cette soirée, elle était parfaite.

-Avec plaisir Florence.

Il s'approcha, mais il hésita.

-Je peux?

-Bien sûr.

Alors il l'a prit dans ses bras pour une étreinte forte et douce à la foi.
Elle lui rendit cette étreinte dont elle commencer à s'habituer.
Il l'a relâcha peu à peu, pour au final plonger dans son regard.

-Rentrez bien Florence et faites attention.

-Vous aussi Pascal.

Ils se séparèrent et rentrèrent chacun de leur coté.

(Désolé pour ce chapitre un peu court, mais en ce moment je suis un peu à court d'inspiration! 🙃)