"أعظم حزن هو أن تبقى وحيدًا في غرفة كنت فيها سعيدًا."
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C'était un jour d'école, Amira se réveilla et commença sa routine matinale. Après une douche rapide et un brossage de dents, elle enfila un haut gris à manches longues et un jean droit bleu clair. Elle démêla ses longs cheveux, qui descendaient jusqu'à ses fesses quand elle entendit la porte tambouriner.
Leïla : DÉPÊCHE TOI ÇA FAIT 1H ON T'ATTEND !!
Amira : Arrête de crier tu donne mal au crâne.
Leïla : MAMAN DIT A AMIRA DE SE DÉPÊCHER JE VAIS ÊTRE EN RETARD !!
Amira ne l'a calcule pas plus que ça et elle mis un peu de crème sur ses cheveux, elle mit un peu de mascara et du gloss, un coup de brume et elle sorti de la salle de bain. Elle vit sa petite sœur assis par terre a côté de la salle de bain.
Amira : Vraiment une clocharde.
Leïla : C'est toi la clocharde tchiip.
Amira : t'es grave gênante, et va te laver tu pue.
Leïla : Comme ta gueule.
Et Leïla se mit a courir et s'enfermer dans la salle de bain.
Amira : Tes morte salle bouffonne vas.
Et elle se dirigea vers la cuisine pour prendre son petit déjeuner, elle y retrouva sa mère et Houria.
Amira : Salem.
Lynda : C'était quoi tout ce bruit ?
Amira : C'est ta fille là, elle gueule dès le matin cette bouffonne là.
Lynda : Parle mieux toi, c'est quoi cette façon de parler ?
Amira : Bref.
Lynda : Tu bref qui là ?
Amira : Personne.
Elle prit un pain au chocolat et elle alla dans sa chambre pour récupérer son tél, elle reçu un message d'un message non enregistré.
+33 6 45 ** ** ** : Tu dates hein, tu me ghost ou quoi ?
Amira fronça des sourcils et elle le mis un vu, elle fit son sac de cours et elle se dirigea vers l'entrée pour mettre ses chaussures.
Amira : Bon moi j'y vais à ce soir.
Et elle claqua la porte, au moment où elle se retourna elle vit Amir avec de gros cernes sous les yeux et les yeux très rouges.
Amir : Ah c'est toi...
Il l'a regarda une dernière fois avant de s'éloigner. Amira était figée, sa gorge se noua elle se sentait mal de le voir dans cette état.
Flashback :
Amira descendit les escaliers de l'immeuble, le silence de la nuit l'enveloppant. En atteignant le palier du rez-de-chaussée, elle aperçut une silhouette assise dans l'ombre. En s'approchant, elle reconnut Amir, un voisin qu'elle connaissait vaguement. Il était affalé sur les marches, l'air complètement défoncé. 5 joints devant lui tous terminé et un entre ses doigts.
Amira : "Amir, ça va ? Qu'est-ce que tu fais ici à cette heure ?"
Amir leva les yeux vers elle, ses pupilles dilatées trahissant son état. Il sourit faiblement, mais son regard était vide et perdu.