5 juin 1944, 21h15,
Base Normandie, France,
Les mains jointes, et les coudes posé sur la table, la jeune française aux cheveux brun, écoutait avec intention le discours du général De Gaulle, avec ses forces alliées a Londre. Elle l'écoutais depuis la BBC, ses genoux bougeaient au rythme du son de l'horloge du salon. Se mordillant la lèvre inférieure elle écouta le général, jusqu'au moment où elle compris une phrase du poème de Verlaine,
- ..."Les sanglots longs des violons de l'automne blessent mon cœur d'une longueur monotone". Je répète... "Les sanglots longs des violons de l'automne blessent mon cœur d'une longueur monotone".
Le débarquement allait avoir lieu, alerté par des bruits de moteur la jeune femme coupa la radio et la cacha dans l'arrière porte de son armoire, jonchant le mur depuis le début du siècle. L'excitation mélanger a la peur, rongeait intérieurement la jeune femme, dans seulement quelques heures les alliés allaient débarquer ici en France plus exactement en Normandie.
Les bruits de moteur s'arrêtèrent devant la maison du père Noëlle, un homme bon et qui servit la cause des soldats de l'ombre aussi appelé résistants, surnommée les maquis. Des verts-de-gris, descendirent a la hâte des camions et se dirigeait vers, les maisons coller a celle du père Noëlle, les bruits et les cris, glaçait le sang d'Alice. Cette pauvre enfant avait elle même perdu ses parents dans ces cris strident contre ses hommes, elle oublierai jamais l'homme qui aura tirer sur son père et son frère. Il portait une casquette a l'effigie de la waffen-SS, sa tenue noir et un tissu autour de son bras gauche avec a l'intérieur une croix gammée dans un fond blanc.
En songeant son sang se glaça. Les bruits se firent, éteint. Lise entrepris de regarder par ça fenêtre elle vit aucune âme qui vive, alors elle ferma ses rideaux et alla se coucher même si elle le savait pertinemment, les alliés allaient arriver dans la nuit il fallait donc rester éveillé.Alice se tourna et se retourna dans sont lit, l'excitation était trop grande, en jetant un coup d'œil a sa pendule accroché au dessus de sa commande elle vit 00h 59, soupirant a elle même, la jeune femme reposa sa tête sur son oreiller blanc a motif, rouge. Elle ferma les yeux et attendit.
6 juin 1944,
1h06, Les cieux base Normandie, France,
- Vérification équipements !
- 1 ok !
La lumière rouge s'intitulant dans la nuit, illuminant l'avion les obus lancer contre les forces alliées, frappèrent la plupart leurs cible pour les autres ce ne fit que frôler. Les hommes dans l'avion s'apprêta a sauter sur le sol français, un sol inconnu pour eux.
- 10 ok !
- Messieurs on se retrouve en bas au point de ralliement, bonne chance à vous tous et que Dieu vous garde !
La lumière avait changé, elle brillait maintenant d'un verre illuminant l'avion, le lieutenant D.Winters sauta en premier suivis de ces hommes.
Dans le ciel, les français éveillé levèrent les yeux vers le ciel et admiraient le spectacle qui ravageait des avions, et tuais des vies.
Les Airborne sautèrent un a un, la peur rongeant leurs ventres allaient ils survivre sur cette terre ils espéraient tous. Les parachutes blanc semblait cacher par les nuages. Le vents était frais, faisant frissonner plus d'un soldats. Quand le lieutenant Winters posa un pied sur le sol français il coupa les sangles de son parachute et le cacha pour que les Allemands ne le voient pas. Le GI, chercha son arme du regard mais vit très vite qu'il avait perdu en sautant.
- Merde. Pesta t'il en anglais.
6 juin 1944, 2h00
Base Normandie, France,
Alice se fit réveiller en sursaut de sa chambre, elle entendit le sond des canons anti-aérien déchiré le calme des nuages. Brisant des avions, par la même occasion, Alice accourut vers sa fenêtre et poussa son rideau blanc, elle vit dehors un vrais spectacle. Les lumières des avions rayonnaient dans le ciel de la manche. Alice n'y revenait pas le débarquement avait débuté. Elle alla se changer s'aspergant le visage d'eau, elle tenta vainement de se mettre, l'idée du débarquement en tête. La France allait être libérée.
La jeune femme descendit au salon, et alluma une lampe, la luminosité de la pièce était très peut élevé.
Elle prit un livre et s'asseyait sur son divan a couleur mate. Excité la jeune femme ne tenait plus voulant voir a quoi ressemblait les alliés. Ces hommes comment étaient-ils, grand et fort comme on peut avoir idée de quoi ressemblait un GI, ils étaient rester dans l'ombre pendant des années. A part pour les J.O de 36, et en 17 sur le front français aidant a combattre la Prusse et ses ennemis.
Alice relisais plusieurs fois la même ligne ne comprenant, pas ce qu'elle voulait dire. Soudain un bruit la fit sortir de sa rêverie, dehors un étranger avait atterri dans son jardin elle vit un parachute blanc, et un homme tirer dessus, Alice curieuse s'approcha de son petit jardin et le plus silencieusement possible, elle se dirigea vers l'homme. Celui-ci pesta en anglais avec son parachute soudain la jeune femme vint vers lui.
- Excusée-moi, vous avez besoin d'aide avec votre parachute ?
L'américain se retourna vers Alice n'en croyant pas ses yeux, il vit en face de lui une française pour la toute première fois de sa vie, le jeune homme n'ayant pas eu le temps comme ces camarades de bien apprendre le français bafouilla une phrase incompréhensible a la jeune femme.- Moi, alliés de nous ?
Alice ne pû retenir un sourire, elle s'approcha un peut plus de l'homme et dit,
- Oui De Gaulle, nous l'a dit. Vous êtes nos alliés vous les américains. Merci, d'être venue nous aider a botter les fesses de ces nazis.
Le GI souriait montrant toute se dents a la demoiselle, celle-ci lui renvoya le même sourire.
- Vous demoiselle comment vous appeler ?
- Alice, Alice Monceaux et vous ?
- Robert, Robert Turner, mais moi appelé nous "Rob".
Alice tenta de décrypter ce que venait de lui dire le soldat Turner, fronçant les sourcils, elle compris que ces camarades l'appelait Rob.
- D'accord vous êtes surnommée Rob par vos camarades ?
- Yes, heu oui !
- Vous devez cacher votre parachute ?
- Oui, mais où je ne sais pas. Dit il en anglais. Il coupa ses sangles et décida de mettre le parachute dans une male qui se trouvait dans la chambre de la jeune femme.
- Merci Alice, puis-je vous donner un surnom ?
- Désolée je ne comprends pas l'anglais.
- Heu moi, nous donner surnom ?
- Me donner un surnom, et bien si vous y tenez tant je vous en prie.
- Thanks you Lice.
- Oh Turner, n'oubliez pas que c'est vous et non nous, nous c'est ensemble, mais vous c'est quand vous parlez a quelqu'un. D'accord.
- Ok. Moi devoir y aller, vous sauvez moi. Moi aimer vous française.
Alice fut surprise de la dernière phrase du jeune homme, celui-ci prit son arme et quitta la maison de la jeune femme.
Marchant longuement a travers les champs, il entendit soudain le son du cricket, alors il prit le sien et fit deux coup, les branches bougèrent en face de lui, et deux de ses compagnons apparurent en face de lui.
- Rob on te croyais mort mon pote ça va ?
- Oui Luz, je suis tombé sur une charmante française qui m'a bien aider.
- Chanceux ! Pesta Toye.
VOUS LISEZ
Les amants de la liberté
Historical FictionFrance 1944, Alice Monceaux, vendeuse dans une petite boulangerie de la base Normandie, écoutait la BBC le soir, quand le 5 juin De Gaulle dit, "Les sanglots longs des violons de l'automne blessent mon cœur d'une longueur monotone". Le débarquement...