Chapitre 4

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11 juin 1944, 00h00,

Base Normandie, France,

Alice observa l'homme sans rien dire celui-ci, lui souriait de toutes ses dents. Il avait dans sa mains son arme, ce qui fit frissonner la jeune femme, la peur de voir une arme depuis le décès de ses parents lui était insupportable. Comprenant sa réticence envers son arme Turner la porta a son épaule il enleva son casque laissant Alice apercevoir des cheveux de couleur brun, ses yeux étaient un mélange entre le gris et le bleu, ce qui les rendaient magnifique a regarder la jeune française se laissait emporté par cette vague de sensations qui commençai a se faire plus forte dans son bas ventre, tentant de ne pas rougir la jeune femme demanda d'une peut contrôler,

- Bonsoir... Soldat Turner.

- Bonsoir vous Lice. Vous prier de appeler moi Rob.

Tenta de dire l'américain Alice le laissa, entré elle referma la porte et se dirigea vers la cuisine elle proposa un café à l'américain qu'il accepta avec plaisir.

Quand ils eurent tous deux leurs tasse de café ils s'asseyait sur le divan mate de Alice. La jeune femme tenta de contrôler ses tremblements lié a l'excitation mais en vint. Rob aperçu ses mains trembler alors il déposa sa tasse sur le chevet a côté de lui et pris les mains d'Alice entre les siennes, ils vint déposer ses lèvres sur les jointures de la jeune femme la faisant sursauter, de surprise. Rob détourna ses yeux vers ceux d'Alice et chuchota d'une voix rauque.

- Vous êtes là lumière qui me guide, dans cette bataille. Depuis notre première rencontre dans votre jardin je n'ai pu m'empêcher de penser a vous, a vos mains, a votre doux sourire, a vos beaux yeux et surtout a vos lèvres qui on l'aire si douce. Je vous aimes Alice, de tous mon cœur je vous aimes.

Sur ces derniers mots Turner s'approcha d'Alice laissant leurs nez se toucher et vint délicatement déposer ses lèvres sur les siennes. Alice balada ses mains dans le dos de l'américain, celui-ci posa les siennes entre chaque côté de son visage.
Rob se retira et regarda Alice, celle-ci colla son regard aux douces lèvres du soldat.

- Je n'es pas très bien compris le début de votre phrase Rob ? Mais ce qui est sûr c'est que je vous aimes moi aussi Robert Turner.

Aimer un homme que je ne connais pas, maman m'aurait sûrement dit de ne pas trop m'attacher a lui et pourtant en ce moment même je ne peu me défaire de cette étreinte, je ne veux pas quitter cette douce chaleur ses bras chaud me fait me sentir bien si bien, que je ne pourrai résister bien longtemps.

- Je pars dès demain soir, nous devons continuer a libérer les villes. Mais ce soir je ne suis cas vous ma douce Lise. Je sais que vous ne comprenez pas très bien l'anglais mais portant j'aimerais, non j'adorerais vous apprendre tous ces mots. Pour que vous puissiez me comprendre.

Alice le regarda timidement, elle se leva et tendit sa main a Rob qui la prit sans hésiter. Alice leva les yeux vers lui et l'embrassa une nouvelle fois encore et encore, avant que cela ne se termine dans ce lit. Dans ce grand qui était autrefois froid et vide, aujourd'hui la chaleur s'était immiscer a l'intérieur. Les vêtements trainait sur le sol, Alice avait ses mains sur les épaules de Turner qui était au dessus d'elle la faisant bouger au rythme de leur amour. Les bougies éclairait la pièce laissant entrevoir les émotions que les deux amants échangeait entre eux.

Rob embrassa Alice avant de dérivé ses lèvres vers son cou, il descendit jusqu'à la naissance de ses seins qu'il s'amusa a malmener faisant gémir la jeune française, les coups de reins s'intensifiait a chaque instant Alice se sentie monter jusqu'au septième ciel dans les bras de son amant.

Alice se réveilla tard le matin, a ses côtés se trouvait Robert dormant a point fermé, cela faisait longtemps qu'il n'avait pas aussi bien dormi. Alice le regarda dormir paisiblement elle passa ses doigts sur sa joue gauche avant de caresser ses lèvres. Ces gestes doux réveillèrent l'américain le sourire aux lèvres il regarda sa bien-aimée.

- Bonjour Lice. Dit il de sa voix rauque.

- Bonjour Rob.

Le GI se mit au dessus de Alice, la jeune femme lui souriait quand il commença a la caresser délicatement sur la joue.
Il l'embrassa doucement sur les lèvres puis ensuite sur le nez et sur le menton. Ses mains décidait plus bas, Alice frissonna sous son contact.

- Tu as froid petite française ?

Alice le regarda tentant de comprendre ce qu'il venait de lui dire. Elle redoutait aujourd'hui de ne pas avoir su apprendre l'anglais plus tôt quand ces parents étaient encore dans ce monde et avec elle dans cette maison immense aux portes fermées a double tour, pour que les souvenirs restent enfermé a l'intérieur et sans que Alice ne puisse se morfondre comme a cette époque. Elle s'en souviendra toujours de ce jour, c'était en 1943, un ans avant le débarquement,

Alice ce jours là avait, été comme a son habitude à la petite librairie dans le bourg. Mais quand elle fut rentrée chez elle une voiture de l'armée allemande était stationné devant chez elle, quand elle entra elle fut horrifié de voir sa mère pâle et son père tenir une feuille entre ses doigts qui était rouges presque a sang, son frère fut le premier a se diriger vers elle et la prendre dans ses bras. Il murmura une chose incompréhensible a l'oreille de sa sœur, mais le seul mots qu'elle compris se jour là était, " fusillés". Son père avait été balancé a la gestapo en disant qu'il serait membre de la résistance bien évidemment le boche, est parti sur le champ pour arrêter cet homme, cet héro qui ses sacrifier pour sauver sa patrie. Son frère c'était approcher de son père et l'avait une dernière fois serrée dans ses bras l'allemand avait été réticent a ce geste affectif entre un père et son fils.

Quand la mère de Alice, avait pris le bras a sa fille elle était revenu à la réalité son père et son frère contre un mur les mains liées et le regard en direction de ces boches qui leurs pointait leurs armes, quand ce nazi leur donna la permission de tirer Alice n'avait pu retenir le cris de détresse qui sommeillait en elle, toutes les larmes de son corps s'était évader la laissant vide dans les bras de sa mere qui la rassurait le plus possible.

Malheureusement pour elle, cette enfant vit sa mère elle aussi emmener au même endroit que son père et son frère, l'étaient juste a l'instant. Alice tenta de les en empêcher mais sa mère lui dicta de ne rien faire, juste de vivre et de voir ma victoire que les alliés gagneront. Alice lui prometta alors silencieusement cette promesse qu'elle vivrait jusqu'à se jour où ils seront la devant elle une fleur a la main, la serrant chacun dans leurs bras musclés. Les alliés.

Alice avait accompli une partie de sa promesse la victoire s'annonçait pour bientôt, très bientôt même. Quand Paris sera pris par les alliés, la victoire en France sonnera dans chaque patelin, chaque village et chaque ville et dans la capitale Notre-Dame nous chantera avec ses cloches le champ des partisans, et le champ de la victoire.

Les amants de la liberté Où les histoires vivent. Découvrez maintenant