10 juin 1944, 7h00,
Base Normandie, France,
Quatre jours c'était écoulé depuis le débarquement. Alice se trouvait dans son jardin elle observa le ciel, songeant au soldat Turner, cet homme avait piqué sa curiosité. Elle en était obnubilé, sans savoir pourquoi a chaque fois qu'une bataille avait lieu elle s'inquiétait pour lui.
Le jeune française ne comprenait point, ce qui lui arrivait pouvait-elle dire qu'elle avait eu le fameux coup de foudre ou était ce juste parce qu'elle s'inquiètait pour l'américain.
Quand elle deriva son regard vers sa porte, elle entendit soudain frapper, ce qui la sortir de sa rêverie. Elle entra chez elle et se dirigea vers la porte d'entrée. Quand elle ouvrit elle vit son amie Rosalie, le sourire n'était pas au rendez-vous, Rosalie avait aimé un allemand, et elle avait été balancé aux maquis. Ces cheveux n'étaient plus sur sa tête, une partie de sa féminité avait disparu.
- Bonjour Alice, je suis venu te donner des oeufs.
La jeune femme lui tendit une boite a œuf. Alice la prit avec un grand sourire aux lèvres.- Merci Rosi, tu veux boire quelque chose ?
- Un café s'il te plaît, j'en besoin avec mon petit. Dit elle avec une pointe d'amusement.
Alice lui prépara son café et lui posa sur la table, Rosalie retira son chapeau de sa tête laissant voir sa tête raser avec le symbole nazi gravé dessus.
Alice regarda son amie avec compassion elle comprenait le mal qu'elle avait de devoir travailler en étant en même temps là pour son enfant, qu'elle avait eu avec cet allemand pour qui elle était prête a partir en Allemagne. Habitant en ferme Rosalie pouvait au moins se permettre d'avoir un peut de protéines et d'en vendre au magasin et a ses proches.
Alice retourna en cuisine faire sa vaisselle, son amie termina son café d'une traite. Et l'apporta a son amie.
- Excuse-moi de te déranger Alice.
- Non ne t'en fais pas dit moi ton petit, tu la mit a garder chez ta mère ?
- Oui c'est bien la seule a aimé cette enfant dans la famille.
Alice observa son amie qui s'apprêta a sortir, mettant son chapeau sur son crâne rasée. Elle jeta un coup d'œil a son amie et lui souriait une dernière fois avant de sortir dehors. Alice la suiva et lui souhaita une bonne journée.
Alice retourna dans la cuisine terminer sa vaisselle puis s'en alla en direction du bourg pour aller a la librairie du coin.
Quand elle entra dans la petite librairie en face de la boulangerie ou elle travaillait elle vit le vendeur lui souriant joyeusement.Alice lui rendit son sourire et avança dans la petite librairie, passant de chaque ranger de livre, la jeune femme s'arrêta plusieurs fois, pour prendre des livres. Ses petits bras firent vite encombré par tant de livre.
Quand elle les posa devant le vendeur celui-ci dit d'une voix rieuse,
- Je vois que vous avez trouvé votre bonheur, mademoiselle Monceaux !
- Oui heureusement même !
10 juin 1944, 8h00
Base Normandie France,
Les obus ne firent que de pleuvoir sur le sol alliés comme ennemis, les soldats avait eu pour ordre de reprendre la batterie de Brécourt, pour avoir ainsi moins de mal a faire traverser leurs blindées. Les balles sifflait, dévient leurs trajectoires vers les alliés, les plus chanceux rester en vie et les autres malheureusement s'écroulait sur le sol sans vie.
Rob son arme a la main, courait vers le prochain canon pour le détruire, deq dynamites, dans son casque qu'il tenait dans l'autre main, il arriva devant le canon ses camarades déjà poster a côté attendant avec impatience que le dernier canon explose. Turner disposa les dynamites, dans le canon, elle les alluma il se vint se pister a côté de ses camarades et posa ses mains sur ses oreilles le canon explosa propulsant des bout métallique, dans le champ.
Il était tard le soir quand leurs supérieurs leur dit,
- Messieurs nous allons faire une pose ce soir dans un petit village près de Sainte-Mère-Eglise, je vous préviens il reste la moitié des habitants dans ces maisons alors ne vous amusez pas a rentrer sans invitation car on sera comment vous sermonner.
Les hommes arrivèrent au village, quand la Lune éclairait les marais. Les rues étaient calme, plusieurs soldats se posèrent sur les trottoirs ou des escaliers. Rob lui se rappela d'une seule chose le jardin d'Alice il tentais de retrouver sa maison car il avait été parachuter ici dans son jardin a elle, cette jeune française qui avait attiser sa curiosité. Il a trouvé douce et gentille avec son sourire angélique.
Plusieurs gars étaient partis avec lui, quand ils eurent traverser plusieurs jardin, Toye commençait a grogner en disant qu'ils allaient finir par se faire attraper par un vieux qui aurais garder son arme au cas où.
Turner faisant la sourde oreille continua jusqu'à enfin trouver il y était dans se minuscule petit jardin, il vit de la lumière dans la maison il tenta alors de frapper a la porte, il attendait plusieurs secondes avant de recommencer une deuxième fois.
Alice assise sur son fauteuil entendit du bruit provenant de son jardin, l'affolement la prit tout de suite sans chercher la jeune femme trembla en s'approchant de la porte, elle entendit soudain sa porte du jardin frapper. Alice respira de nouveau et se dirigea vers la porte septique a l'heure a laquelle l'étranger frappe a sa porte et surtout a celle du jardin elle se retenue une seconde de ne pas l'ouvrir mais sa curiosité était bien trop grande quand elle ouvrit elle fut surprise de découvrir l'homme qui est souvent que dis-je toujours dans son esprit a la tourmenté lui faisant faire parfois des choses qu'elle n'aurait jamais cru faire avant de l'avoir rencontré lui, Robert "Rob" Turner. Un GI dont elle ne connait rien juste son nom.
Le sourire aux lèvres quand l'américain vit Alice ouvrif sa porte. Ses camarades l'ayant abandonné en cours de chemin li disant que c'était impossible de la retrouver en pleine nuit et qu'ils verraient cela le lendemain mai têtu ce jeune américain voulais tant revoir celle qu'il s'imagine souvent dans ses rêves.
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Les amants de la liberté
Historical FictionFrance 1944, Alice Monceaux, vendeuse dans une petite boulangerie de la base Normandie, écoutait la BBC le soir, quand le 5 juin De Gaulle dit, "Les sanglots longs des violons de l'automne blessent mon cœur d'une longueur monotone". Le débarquement...