13 mars 1945, 19h00,
Base Normandie, France,
Assis autour de la table, Robert et Alice mangeait Rob lançai plusieurs regard a la jeune femme. Cela faisait dorénavant deux mois qu'ils vivaient ensemble.
Alice mangeait sans trop observé l'américain, craignant de réveiller les papillons dans son bas ventre.Quand iOS eurent terminer de dîner Alice se dirigea vers la cuisine pour faire la vaisselle, Robert la suivi pour ainsi l'aider.
- Tout vas bien ma douce ? Demanda Turner en la regardant avec une once d'inquiétude.
- Oui ne t'en fais pas tous va bien. C'est juste que hier une lettre t'as été envoyé,je suis désolée de l'avoir lu ma curiosité est vraiment un vilain défaut.
- Où est cette lettre Alice ?
- Dans la chambre, dans le tiroir de la table de chevet. Le GI partie en direction de leur chambre, en ouvrant le petit tiroir il vit une enveloppe sur laquelle son nom été inscrit, il vit en une fraction de seconde la fin. Alice l'avait elle réellement lu ou était ce juste pour dire qu'elle aimerait la lire. La peur le pris de court quand il se mit a lire.Chère Robert,
Te souviens-tu de moi ? Ta fiancée, Brigette, enfin je dit fiancée alors que tu as rompu notre serment d'une vie. Mais pourquoi a tu, rencontré une femme en France dont tu est tombé fou amoureux, comme moi avec toi ? Certainement.
Je t'écris pour te dire que j'aimerais que tu rentres, ta famille réclame ton retour depuis qu'ils ont appris que tu avais perdu ta jambe sur le front. Cela fait donc de toi un infirme, sache que même si tu as perdu une jambe je t'aimerai toujours autant. Et tu me manques je t'en prie reviens sur la question de nos fiançailles. Je veux être avec toi Rob et tu ne peux pas m'en empêcher, je t'aime mon amour.
Je t'aime, je t'aime, je t'aime.Je t'en prie reviens moi, Brigette Miller, ta bien-aimée.
-
Robert qui est Brigette Miller ?
- Je pense que tu le sais maintenant Alice. Dit il en tournant son regard acérée vers la jeune française.
- Elle était ma futur épouse, et je l'ai quitté pour toi.
- Non je ne veux pas entendre Turner, dit moi la vérité !
- Je lui est envoyé une lettre peut avant que je vienne ici, je lui disais que je l'aimais mais que je ne pouvais continuer comme ça, je te promets que je ne veux plus d'elle ! Alice regarde moi, ne pleure pas je t'en prie c'est toi que j'aime et non elle ! Alice, attends !
Alice parti en courant, sortant a la hâte de la maison, le vent la frappait de plein fouet, les larmes perlait sur ses yeux, la douleur qui résonnait en elle lui faisait atrocement mal. Il lui avait mentie, quand elle avait lu la lettre elle avait crû rêver et pourtant, Robert Turner était fiancée quand il a partagé sa couche, quand il lui a dit les simples mots qui l'avait fait chavirer, je t'aime. Quand elle entendit la porte s'ouvrir avec fracas, Alice s'enfuit ne laissant pas le temps a Robert, de l'attraper elle trébucha plusieurs fois avant de terminer s avourse en s'écrasant contre le sol mouiller, la terre collant a sa peau. Ses yeux étaient gonflés et rouge a cause de ses larmes. La souffrance était trop dure.
Soudain elle entendit des bruits de pas venir dans la direction, ce n'était pas Robert mais sa seule et véritable amie, Rosy.
- Grand dieu Alice, mais que t'es t'il arrivé. Tu as été attaqué c'est ça dit moi je t'en prie. Viens la je vais t'aider.
- Il m'a menti Rosy, Robert ma menti sur toute la ligne il était fiancé et moi comme idiote j'ai cru, j'ai cru. Je ne c'est même pas ce que j'ai cru comme une idiote. Je suis bête, stupide.
- Ne dit pas ça Alice, allez Vien tu mérites une bonne tisane.
1 Avril 1945, 8h09,
Base Normandie, France,
Allongée dans son lit Alice palpait d'une main tremblante la place abandonné par Robert, l'homme était parti une semaine plutôt pour les États-Unis, il m'avait menti. Quand je l'avais vue partir en direction de cette jeep, je savais que je l'avais perdu pour toujours.
Il l'abandonner et menti et moi je lui est dit les simples mots qui pourraient faire souffrir plus d'une personne,
- Je te hais Robert Turner.
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Les amants de la liberté
Historical FictionFrance 1944, Alice Monceaux, vendeuse dans une petite boulangerie de la base Normandie, écoutait la BBC le soir, quand le 5 juin De Gaulle dit, "Les sanglots longs des violons de l'automne blessent mon cœur d'une longueur monotone". Le débarquement...