6 juin 1944, 6h00,
Base Normandie, France,
Alice ne s'était pas rendormie depuis, ça rencontre avec le GI, le parachute cacher dans sa male en haut dans sa chambre, elle porta son regard a l'extérieur, la douce brise de début de matinée mouillait l'herbe, et le vent frais faisant frissonner les personnes qui osaient mettre le pied dehors.
Assise sur son divan, Alice se mordillait la lèvre inférieure, la peur lui rongeait l'estomac un peut plus a chaque instant. Les mêmes questions rôdait dans son esprit, " les alliés ont ils réussi ? Le débarquement a t'il réellement débuté ?" Mais la question qui revenait sans cesse était celle concernant l'américain, Robert Turner. Sans savoir pourquoi la jeune française était inquiète pour cet homme qu'elle ne connaissait a peine, elle ne savait même pas d'où il venait et quel âge il avait.
6 juin 1944, 6h30,
Le jour commençait à pointer son nez, des hommes de la 101 ème, marchaient avec prudence dans les bois proche de Sainte-Mère-Eglise, ils avaient reçu comme ordre de ne pas tirer et ni de faire des prisonniers, était ce de la chance pour ses trois hommes de n'avoir rencontré aucun uniforme portant l'aigle a l'effigie du troisième Reich, certainement.
Une petite rivière passa a côté d'eux, de l'autre côté ils entendirent du bruit venant des buissons alors ils se baissèrent, l'un des trois alliés sorti son cricket, il fit un coup. On lui répondit par deux coups, alors pour être sûr d'eux le même homme dit,
- Foudre !
- Tonnerre ! Termina une voix dans les buissons, fière d'eux les hommes retrouvèrent plusieurs de leurs compagnons.- Content de voir revoir les gars. Lança un homme au cheveux roux.
Le groupe d'hommes, se dirigea vers le point de raliment, la bas tous le reste de leurs escouade se trouvaient. Sur leur route ils entendirent les bruits assourdissant des canons, de la Navy. Le débarquement sur les plage avait commencer, les rangers étaient entrains de sa battre contre les nazis qui se cachaient dans leurs bunkers, leurs faisant barrage.
- Hé Rob. Dit l'un des hommes.
- Ouais Malarkey ?
- C'est vrais que tu as croiser la route d'une charmante française ?
- Et tu lui a dit quoi ? En français bien évidemment ! Questionna Bill.
- Je lui est demander son charmant petit nom a la demoiselle !
- J'espère qu'elle avait compris au moins avec ton Français médiocre, même une mouette parlerait mieux le français que toi Rob !
- Mais une mouette ça parle pas, Joe. Termina Perconte.
- C'est bien pour ça que je dit ça, Perconte merde !
Rob souri a lui même en écoutant ses compagnons, se chamailler a cause de son français. Il jeta un coup d'œil a sa montre, elle indiqua 7h00. Ils devaient se dépêcher a retrouver leurs régiment avant qu'ils ne l'ai croient morts comme beaucoup d'autre malheureusement.
Quand le groupe d'hommes arriva aux abord de Sainte-Mère-Eglise, ils virent des chevaux écrouler aux sols baignant dans leurs sangs. Ce la mit un coup au jeune soldat, Robert Turner. Il pensait a sa mère qui aimait beaucoup les chevaux, elle avait toujours rêver d'en avoir un mais malheureusement avec son père ce n'était qu'impossible.
- Ah mes regarder qui voilà ! Ont vous croyait morts les gars, les autres sont avec Winters. Dépêchez vous, on a beaucoup de boulots.
- Vraiment Buck, c'est pas comme ci qu'on était en guerre et qu'on devaient sauver l'Europe entière d'un tarer germanique qui s'amuse gesticuler dans tous les sens. Dit Turner avec une pointe d'amusement dans la voix.
- Mais oui bien sur, allez venez.
6 juin 1944, 7h30,
Base Normandie France,
Servant les premiers clients, Alice se remémora les scènes qui c'étaient dérouler durant la nuit dernière qui fut très écourter par l'arriver des alliées. Elle retenu un bâillement quand le vielle homme en face d'elle lui tendit un ticket de rationnement. C'était devenu une habitude maintenant de donner des tickets même dans une boulangerie, les boches avaient tous pris faisant souffrir les habitants, avec leurs lois aussi stupide les unes que les autres, et leur reichsmark, la monnaie allemande sans ça les habitants ne pouvaient rien acheter sans utiliser de tickets.
La vie devenait dur, très dur même pour certains, en tendant le pain a vieillard, Alice entendit plusieurs clients derrières lui parler des alliées, ils seraient pour la plupart regrouper a Sainte-Mère-Eglise, en attendant la suite des évènements.
La jeune femme les écouta en servant le prochain client.
- Vous saviez que les alliées étaient enfin arrivées ? C'est mon mari qui me la dit ! Ils seraient même pour la plupart dans la ville de Sainte-Mère-Eglise !
- Vraiment . Conclu l'une des clientes.
- Vous avez entendu ça ma petite Alice ? Les alliées seraient enfin là. Alice releva la tête pour regarder le groupe de femme se former devant sa caisse. Alice leur souriait juste et repris sont travails, quand leur tours arriva les mères de familles, lui posaient énormément de questions. La jeune femme exaspérer, dit d'un aire vaincu,
- Oui je suis au courante même que j'ai rencontrer l'un de ces hommes, charmant ça je peux vous le dire.
Les mères de familles, sourirent de joies elles étaient toutes prêtes a rencontrer cet homme mystérieux qui avait intriguer la jeune femme réservé qu'était Alice.
- Comment était il ma chérie ? Grand, musclé ?
Alice tenta de répondre aux plus de questions possible que ces femmes lui jetais dessus. Le calme regagna enfin l'habitacle après plus d'une heure a débattre d'un GI avec des cliente, Alice soupira de soulagement quand elle vit l'heure. Son patron jeta un coup d'œil dans la boulangerie, avant de prendre le relais.
- Repose toi bien, Alice.
Alice acquiesça, et sortie de la boulangerie l'air frais lui fit du bien elle alla en direction de sa maison dehors, la plupart des gens faisaient ressentir leurs joies que de savoir les alliées chez eux. Mais pour combien de temps ?
Alice entra dans sa maison, elle jeta un coup d'œil a son jardin et esquissa un sourire. Cet homme mystérieux m'intriguait beaucoup.
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Les amants de la liberté
Historická literaturaFrance 1944, Alice Monceaux, vendeuse dans une petite boulangerie de la base Normandie, écoutait la BBC le soir, quand le 5 juin De Gaulle dit, "Les sanglots longs des violons de l'automne blessent mon cœur d'une longueur monotone". Le débarquement...