[ Bluelock FF ] - HOPEless ( pov Reo)

Remords

" Le remords, c'est le crime enfoncé dans l'âme, qui s'oxyde. "

- Victor Hugo 

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* le lundi *

Il avait parler avec plusieurs personnes, sa journée était comme ses journées avant de rencontrer Nagi. Les gens lui souriaient, papotaient et rigolaient avec lui.

Majoritairement avec des filles, les mecs semblaient l'éviter. Surement à cause du fait qu'il avait renvoyé méchamment les gars de l'équipe de fort et de la rumeur qu'il a couché avec la fille populaire du lycée, bien que se soit pas la seule. Il ne savait même pas que cette fille était populaire.

Pourtant, dans cette journée, il n'arrivait pas à ne pas penser à son vide en lui, au souvenir du week-end. Ca devait vraiment se voir car une fille lui avait à un moment demandé.

- Mikage, ça va ? Tu ne pas l'air dans ton assiette aujourd'hui.

Forcément il ne pouvait pas lui dire : " Non, je vais pas bien, tellement mal que je suis brulé la chair avec un fer à lisser ". Alors il ne fit que son sourire charmeur.

- Oh, tu t'inquiètes, c'est mignon. Ca va. Mais pourquoi tu penses que ça ?

- Dans ton regard, il a un truc qui est différent.

- Mon regard ?

- Ouais, quand tu était avec Nagi, il était plus... pétillant ! On voyait tous que tu semblais motivé et joyeux avec son arrivé. Puis tu es revenu. Et il n'y a plus ce pétillant dans tes yeux, tu sembles même un peu distant parfois.

Il ne savait pas quoi dire sur le coup, il se gratta juste la nuque.

- C'est vrai que je suis un peu démotivé dernier temps, j'aimais bien jouer au foot avec Nagi...

Ca faisait longtemps qu'il n'avait parler un peu de ses émotions. Mais alors que la discutions allait continué, leur professeur principale arriva avant d'appeler Reo.

- Mikage dans le bureau du directeur, toute suite.

Il semblait en colère, celui au cheveux violet ignorait la raison, mais le suivit silencieusement.

 *** 

Ca devait être grave car il était carrément aller dans le bureau du directeur. Ca l'angoissait bizarrement, depuis quand stresse-t-il si facilement ?  Le chef de l'établissement le fixait avec le même regard de colère que son professeur principale derrière lui. Enfin on lui révéla sa venue ici.

- Une mère d'une de votre camarade à signaler que sa fille avait eu des rapports sexuesl avec vous. En discutant avec cette élève, on a découvert que ce n'était pas la seule. Quand on a demandé à toutes ses demoiselles, elles nous ont dit que c'est vous qu'il leur avait demandé !

- Mais elle s'était bien consentante !  se défendu-t-il paniquer qu'on l'accuse de chose qu'il n'a pas fait.

- Ca nous le savons, c'est pour cela qu'elles ont eu des punitions adaptés. Vous avez bien conscience des règles de notre établissement scolaire, jeune homme.