Et c'est ainsi je perdis une très grande chance, de mon côté çà m'aurait fait du bien....
Après quelques mois passés en compagnie avec grand-mère, elle décida donc de se retourner chez elle pour vaquer à ses occupations, mes frères adoptifs étaient super contents pendant que moi, j'avais pleuré toutes les larmes de mon cœur car c'est avec elle je me sentais à l'aise.
Grand-mère rentra ; mon père se mit en relation avec une dame tout près de chez nous ; on allait souvent chez elle prendre de très bon plat ; elle était joviale et prenais bien soin de moi ; je ne savais qui elle était pour mon père, mais il m'interdisait de ne jamais rien dire à ma mère dans le téléphone chose que je ne savais le pourquoi, je l'écoutais toujours et je n'avais jamais rien dit à ma daronne.
A l'enfance, j'étais très maladive, un jour je pris une terrible maladie, très tard dans la nuit, je commençai à grelotter de froid, et ce jour mon père était de garde à l'hôpital, vue qu'il se faisait déjà très tard, nous étions dans les environs de deux heures aucun de mes frères ne pouvait m'envoyer à l'hôpital qui était à deux kilomètres de la maison ; de l'autre côté, mon état ne faisait que s'empirer, c'est ainsi que Jacques couru de toutes ses forces pour aller réveiller cette dame.
Elle fut miséricorde, vint très vite à la maison puis me porta au dos et marcha jusqu'à destination, je n'oublierai jamais cet acte car elle venait de sauver ma vie.
Les vacances arrivèrent, ma mère quitta la capitale pour nous rendre visite, avant qu'elle n'arrive mon père me rappela notre convention qui était celui de rien dire à ma mère à propos de cette dame:
- hey, ma petite , ma fille adorée, la femme de ma vie , l'eau de ma vie, celle pour qui je vais acheter un paquet de sucrerie.
Avec mon père ça toujours été mon ami, il était trop jeune pour faire le papa sérieux, même si j'étais bête pour eux j'étais quand même très bavarde , je réplique :
- humm, paquet de sucrerie ? C'est nouveau ça ? Tu me dis toujours que c'est pas bien
- ouiii !!! C'est pas bien mais ça sera bien si tu dis rien à maman à propos de la voisine.
- oooh ok papa namour, je dirai à maman que <papa a dit de rien te dire à propos de la voisine >
- mais non petite toto intelligente, tu ne devras rien dire à maman
- d'accord je ne dirai rien , si j'ai mes sucreries
- voila mon ange c'est exact- Pourquoi tu veux pas que je dise à maman ? Je ne peux rien lui cacher à elle tout comme à toi .
- ok toi tais toi , et ton super papa lui dira .
Même si je savais qu'il n'allait rien dire .
****************J'étais très joyeuse à l'idée de voir ma mère puisque je ne lui parlais qu'au téléphone chaque soir, quand elle partait à la capitale j'étais encore très petite et je n'ai pas eu l'occasion de mieux lui connaître davantage.
Dès qu'elle rentra à la maison, elle me fit un énorme câlin ce qui signifiait que je l'avais manqué, elle fit pareil à tout le monde. Elle prit la peine de bien s'installer et pris le bon repas que Ruth avait préparé pour elle.
Elle était aussi stricte que sa mère, aimait la perfection dans tout et ne tolérais aussi aucune erreur.
Un beau matin, alors que j'étais assise sur notre terrasse entrain de prendre mon petit déjeuner, je vis deux voitures descendre tout près de chez nous puis je demandai :
- Maman, pourquoi ces deux voitures arrivent comme ça ?
- Ce sont deux familles qui ont été muté dans cette préfecture, ils seront nos nouveaux voisins prochainement.
- Ah d'accord
- J'espère que tu auras de nouveaux et premiers amis, ta grand-mère m'a dit que t'aime pas en avoir.
- Exactement, je préfère être seule
Tout d'un coup les voitures s'arrêtèrent juste en face de nous et les deux familles descendirent, elles avaient l'air de ne pas se connaître, dans chaque famille il avait une petite fille je suppose que c'était les enfants biologiques ; parmi les deux filles y'avait une qui me ressemblait on dirait deux gouttes d'eau et ses parents fixaient ma mère on dirait qu'ils étaient familiarisés, quand ma mère comprit que je fixais trop cette fille elle me dit de rentrer vite à la maison.
Au fond de moi, j'avais ressenti une paix que je n'ai jamais eu, voir ces deux filles de mon âge mon instinct me disait que voilà les amis que tu attendais depuis longtemps.
Le jour suivant j'étais pressée d'aller à l'école que tout le monde fut surpris de me voir aimer l'école ce jour pourtant je partais juste pour voir mes nouvelles camarades, exactement, arrivée elles y étaient déjà chacun était dans son coin.
A la pause, comme j'étais souvent harcelée, ces mêmes élèves vinrent vers moi pour retirer mes pains et c'est là qu'avec reflexe les deux vinrent me protéger.
J'étais très peureuse, j'avais déjà commencé à pleurer puis elles me dirent « arrête de pleurer je suis là avec toi » puis on mangea ensemble, c'était la première que j'échange avec les gens de mon âge.
Ainsi, nous fûmes les présentations, celle avec qui je me ressemblait s'appelait Mélanie ; et l'autre Chantal.
Jamais je ne m'étais sentie si bien . Moi qui ignorait complètement l'amitié. J'ai donc réalisé que tout devient facile quand tu retrouves les bonnes personnes.
Elles étaient plus matures que moi, j'étais ce genre d'enfant pourrie gâté entre les mains de ses parents comme un œuf.
Tout allait changer eh Ouii tout tout.
L'arrivée de ces deux filles marque le début d'une nouvelle aventure ...... attache ta ceinture et découvre la suite.
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Un amour jusqu'à l'au-delà
FanfictionQuand l'amour est fort et que les liens sont inébranlables même la mort ne peut séparer des cœurs qui s'aiment. Ada fille maudite, qui perd chaque être qui l'aime sincèrement est condamnée à vivre ses histoires d'amour jusqu'à l'au-delà.