Dans cette partie, je veux exprimer ce que je ressens lorsque je me retrouve sans Oumou. C’est un vide qui ne peut être clairement défini ni expliqué. Chaque moment sans elle semble s’étirer, un silence pesant qui envahit mon esprit. Les journées paraissent interminables, et les couleurs du monde semblent s’estomper, comme si la lumière avait été retirée de ma vie.
Lorsque je pense à Oumou, il y a une chaleur, une lumière qui irradie tout autour d’elle. Son rire, son regard, sa voix... tout en elle a une façon unique de remplir l’espace et de donner un sens à mon existence. Mais quand elle n'est pas là, je ressens un manque profond, presque tangible. C'est comme si une partie de moi était absente, et je me retrouve perdu dans une atmosphère de solitude.
Les mots manquent pour traduire cette mélancolie qui s'installe. C'est comme essayer de décrire la couleur d'un rêve ou l'arôme d'un souvenir fugace. Les amis et la famille me demandent ce qui ne va pas, mais comment expliquer que c’est sa présence qui me manque, bien plus que des moments partagés ?
J'essaie de combler ce vide en m'occupant l'esprit, mais les distractions ne font qu'accroître le sentiment d'absence. Chaquefois que je me retourne, j'espère voir son sourire, son énergie contagieuse... mais tout ce que je trouve, c'est ce silence accablant
Ainsi, dans cette solitude, je réalise que le lien que j’ai avec Oumou est précieux et irremplaçable. Ce vide n'est pas simplement une absence, c'est une affirmation de notre connexion, une preuve qu'elle occupe une place indispensable dans ma vie. Cette partie est un hommage à ce qu'elle représente pour moi, et une étoile qui me guide dans l'obscurité de son absence
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