Par la lumière tamisée du soir, Oumou Kalsou Ndiaye se tenait face une discussion avec moi , cœur brillants d'émotion. Le silence pesait, chaque mot à venir semblait chargé de mille vérités non dites.
Oumou kalsou : Je sais tout🥺
commença-t-elle, sa voix tremblante mais ferme.
Oumou :Entre ma grande sœur et moi, c'est elle qui m'a tout avoué. Elle m'a dit que
:"j'étais sur le point d'être avec ton homme. Je l’aimais... Pardon, mes sentiments étaient plus forts que moi".Mon cœur se serra à l’idée de sa confession. La douleur et la trahison se mêlaient dans un tourbillon confus. Mais avant que je puisse réagir, elle poursuivit, sa colère montante.
Aminata: ( la grande sœur D'oumou)Mais la vérité, c'est que ton homme, MG, est une grande manipulatrice. Il a joué avec nos émotions comme si nous n’étions que des pions dans son jeu.
Une pause s'installa, l'atmosphère devenant électrique. La douleur dans ses yeux était palpable. Puis, avec une fureur déconcertante
Elle ajouta : Tu ne peux pas comprendre, tu ne sais pas ce qu'il en coûte, tout ça… Je t’en veux pour ça !
À ce moment-là, je sentis le poids de ses accusations. J'avais le sentiment d'être pris au piège dans un récit dont je ne maîtrisais pas toutes les subtilités.
Oumou, dis-je, tentant d'apaiser la tempête.
Moi: Je ne suis pas celui en qui tu devrais déverser ta colère. Je suis devenu la victime de ce jeu, tout comme toi.
Victime ! s’exclama-t-elle, son visage se durcissant« Tu portes un regard tendre sur ce que MG t’a fait croire ! Regarde autour de nous ! La manipulation est sa spécialité. Et maintenant, tu es là à croire en ses mensonges. »
Me traitant de tous les noms, ses mots étaient comme des flèches. Elle continuait de déverser sa rage, et je sentais ma propre colère monter.
Lui dis-je, la tristesse remplaçant peu à peu ma colère.
Aminata "*Tu as laissé tes sentiments prendre le dessus, tu as laissé MG jouer avec nous. Si nous devons nous battre, faisons-le ensemble plutôt que de nous déchirer. »Les tensions palpables dans l'air semblaient se dissiper lentement. Elle sut que je n'étais pas l’ennemi. Oumou Kalsou, face à ses propres contradictions, finit par s’asseoir.
« Je… Je suis désolée, » murmura-t-elle, ses yeux se détournant. « Je ne sais plus quoi penser. »
Nous restâmes là, unis par une colère partagée mais aussi par une fragile compréhension. La discussion avait ouvert la porte à une vérité douloureuse, mais pour la première fois, nous devions décider ensemble d'avancer......