Dans le doux murmure de Dakar, où les rues vibrent de vie et d'énergie, Oumou Kalsou continue son chemin. Chaque coin de cette ville lui rappelle les rires et les moments partagés. Pendant ce temps, je reste à Fissel, notre havre de paix, où nous avons tissé tant de souvenirs pendant nos années d'école.
Les journées passent, et l'absence d'Oumou se fait sentir comme une mélodie inachevée. Je me remémore nos pauses à l'ombre des arbres, nos discussions rêveuses sur l'avenir et nos promesses de toujours rester proches, peu importe la distance. Chaque instant passé à Fissel est imprégné de son sourire, et je ressens un vide sans elle à mes côtés.
À Fissel, je continue de nourrir l'espoir de la revoir. Les jours où le soleil brille, je me demande si Oumou pense à moi, si elle se souvient de nos projets. La nostalgie m'envahit, mais elle est aussi porteuse d'une douce promesse : celle que nous nous retrouverons un jour. Je garde en moi la conviction que, peu importe où la vie nous mène, notre amitié perdurera.
Oumou, tu me manques énormément. Que ce soit à Dakar ou à Fissel, nos cœurs restent liés par les souvenirs et l'amour d'une amitié sincère. J'attends avec impatience le jour où nos chemins se croiseront à nouveau, pour revivre ensemble ces instants magiques qui nous ont unis.