KATE WILLIAMS: Amoureuse de mon ennemi [En Pause Pour Une Durée Indéterminée]

Chapitre 7

Salut☺️.
Je sais que c'est un peu tard mais je tiens à vous remercier tous pour avoir jeté un œil sur mon livre.
Merci à ceux et celles qui m'ont encourager à le continuer, car en effet c'est la deuxième fois que je publie ce livre. La première publication n'avais intéressé personnes et j'ai faillit arrêter d'écrire.

Bon en bref,(vu que je sais que je vous saoule déjà😅) je vous remercie du fond du cœur.
                       Affectueusement A.M.L6

C'était une salle salle blanche et spacieuse. Les spots lumineux diffusait une lumière douce. Elle était bondée de nombreux gadgets qui étaient rangés sur des étagères bleue pastel par catégorie puis par ordre alphabétique.

Kate était encore plus émerveillée par la technologie qui l'entourait offrant de magnifiques sourires et un regard pétillant de joie à Benjamin qui, de son coté était fasciné par le visage radieux de celle qui battait le carillon dans son cœur.

— Qui a pu créer toutes ces merveilles? Demanda Kate en offrant son plus sourire.

— C'est Jacques. Il travaille ici depuis dix ans.  Et il adore mettre sur pied de nouvelles inventions comme...Celle-ci. Dit le brun en saisissant un ensemble formé de boucles d'oreilles et d'un collier.

— C'est quoi ça particularité? Demanda Kate.

— Ce qui le rend spécial et unique c'est qu'ils sont équipés de micro caméras.

— Ingénieux!  S'exclama Kate.

— Comme ça, tu peux être ravissante tout en effectuant une mission.

— En toute honnêteté, me vêtir n'est pas mon activité favorite. La preuve, je ne mets jamais de bijoux.

— Et pourtant tu devrais. Il mettrais ton si beau visage en valeur. Dit il en lui caressant le menton.

  Il se mit à lui sourire tendrement ce qui réchauffa le cœur de la brunette.  Soudain, elle se souvint de ce pourquoi elle avait risqué sa vie durant c'est trois dernières années. Elle prit sa main délicatement et la rengea vers sa cuisse.

— Attention, tu risques de voler la beauté que tu m'as offerte.

— Personne ne te prendra ce qui t'appartient si tu le défends. Déclara Benjamin déçu de sa réaction.

               Une heure plus tard.

—Oh merci Ben pour la visite. Dit Kate qui était toujours armé de son somptueux sourire.

— Mais tu sais tout l'honneur reviens à la patronne. C'est elle qui a permis d'entrer dans la salle. Chose qui n'est habituelle.

— Si je comprends bien, l'accès est interdit.

— Oui. Ici, seuls Jacques et les membres de l'administration de l'agence ont le droit d'y entrer.

— Mes doutes donc ont été confirmé mini Martinez. Déclara Kate avec un air confiant.

— Comment as tu su? Questionna Benjamin surpris par l'assertion de la brune.

— Tu l'as appelé maman et tu viens de dire toi même que personnes n'a le droit d'y entrer sauf les membres de l'administration et vus l'âge de mon papa, tu ne peux pas faire partie de l'administration. Ai-je commis une erreur?

— Okay... J'avoue... Tu as raison sur toute la ligne. Mais j'ignorais que ton père était agent secret.

— Ce n'est pas mon père biologique mais il me considère et me traite comme sa fille et moi je le considère comme mon papa.

— Où est ce qu'elle est?!! Cria une voix féminine dans le fond du couloir.

Cette voix féminine qui laissait transparaître la jalousie débarqua en furie pour s'arrêter à quelques trois pas des deux bruns. Jeune suédoise aux yeux bleu et aux reflets argentés, Ortensia  Svensson était âgée de vingt cinq ans.

La rouquine aussi était nouvelle dans l'agence mais en revanche, elle ne faisait pas partie de l'équipe qui allait s'occuper due la menace mondiale. Elle était amoureuse de Benjamin depuis qu'il avait mis pieds dans l'Agence Nationale des Agents Secrets de Suède dite ANASS à l'occasion de la cérémonie de l'excellence. Depuis, elle s'était promis de l'avoir pour elle seule.

— Mais pour qui te prends-tu petite peste? Tu arrives, tu séduis la patronne et tu veux me prendre mon Benjamin. Saches que je ne vais pas te laisser faire ma belle. Hurla Ortensia.

— Dégage! Ordonna-t-elle en la poussant par l'épaule.

—Ça vas Kate? Demanda Benjamin en lui tenant la main.

— Comment oses-tu? Regardes là, c'est une gamine! Je mettrais ma main au feu que vous l'avez choisi parce qu'elle venait de l'agence de Miller.
Ne faisons pas semblant, tout le monde est au courant de la relation entre Miller et la patronne!

— Ortensia...

— Arrêtes Ben. Coupa Kate en lui montrant le dos de sa main. 

   Ortensia leva sa main et tenta de frapper la brunette qui intercepta sa main à l'aide de la sienne  puis saisit son bras avec sa main gauche. Elle le tourna dans le sens contraire puis le rangea à l'horizontale dans son dos.

— À genoux! J'ai dit à genoux!Cria Kate furieuse.

    Ortensia obéit en affichant une tête soumise mais révoltée.

— C'est parce que mes parents de leurs vivant m'ont appris à ne pas mettre mains sur mes aînés qu'aujourd'hui je t'épargne. La relation qui lie Magellan et Esther ne regarde qu'eux! Benjamin ne t'appartient pas car c'est une personne qui mérite mieux que toi! Et enfin la «gamine» comme tu l'as si bien dit est une agent secret comme toi et elle a mérité sa place ici en sacrifiant sa vie de nombreuses fois en trois ans. Donc respecte ma personne et moi je te respecterai.

Benjamin était à côté et était figé par ce qu'il entendait.

Kate soupira bruyamment puis relâcha Ortensia qui se dépoussiéra le pantalon en la fusillant du regard.

— A présent petite, entre toi et moi c'est la guerre!Déclara Ortensia en rentrant vers le couloir principal.

— T'inquiètes! Dans mon cœur il n'y a pas de place pour la haine. Ben tu viens? Benjamin... Hey Thomson! Hurla Kate.

— Euh oui oui je suis là. Rétorqua Benjamin déboussolé.

— Okay. On s'en vas.

— Mais où allons nous? Demanda Benjamin

— Oh je ne sais pas. En tout cas je préfère tout lieux autres qu'ici.

—Hum... J'ai faim et toi?

— Eh bien allons manger! Sauf que tu devra me donner ta part de dessert.

— Et pourquoi devrais-je le faire?

— Ah je ne sais pas moi. Une folle qui est rêve dingue de toi essaye de me tuer parce que selon elle tu lui appartient. Et toi, tu restes là, planter comme si c'était une télénovela. Non mais sérieux... Elle aurait pu m'arracher les cheveux,me faire la peau et qui sait quoi d'autres!

— Okay, d'accord tu as raison. Je n'ai pas été très...Je ne trouve même pas les mots pour qualifier mon incapacité. Je t'en prie, pardonne moi. Demanda Benjamin.

— Merci! Dit Kate.

— Merci? Interrogea Benjamin confu.

— C'est tout ce que je voulais entendre. Ricana l'adolescente.

— Je n'ai plus envie de parler de ça. Allons manger !

Et il se dirigèrent vers la salle à manger de l'agence.