Chapitre 3-Olivier
J'étais dans une petite pièce. Je peux vous dire que je ne suis pas du genre à être claustrephobe, mais dison que je me sentais très coinsé. Il faisait très sombre. En tentant de comprendre où je me trouvais, je baissai les yeux et la vis. Enchaînée au mur, il y avait Danaliah, la chef des révolutionaire. Elle était vraiment magané. Il y avait même un de ses doight à terre pour vous donner une idée... Elle restait là, inconciente. Puis, tout d'un coup, elle leva la tête. Elle me regarda droit dans les yeux et dit: "Libère-moi"
Je me réveillai tout en sueur. What the hell? Qu'est-ce qui venait de se passer? J'avais rêvé à la chef des ennemis! Je me levai, complaitement bouleversé et alla m'aroser le visage.
Je regardai un instant autour de moi. Je me trouvais dans un petit regroupement de tente militaire, peut-être une dizaine. Sous nos pieds, le sol était fait de cristal, tout comme les arbres, les plantes et les animaux. Notre campement ne semblait pas apartenir à ce monde de pureté qui nous entourait.
Je repensai à la veillle. J'avais dû aller voir mon général après les cours parce que j'avais vu mon meilleur ami avec un signe noir. Normalement, dès qu'on voit quelqu'un avec un de ses symbole, on le tu, mais je préférais me renseigner sur ce que la couleur voulait dire. Aelfraed, mon général, m'avait dit de ne plus avoir de contact avec Mathieu et de déménager dans le campement, de ne plus jamais retourner chez moi.
Je n'avais pas trop cette solution, mais j'obéis. Je voulais aller expliquer la situation a Mathieu. Je lui devais bien ça, non? Après lui avoir caché toute ma vie la réalité du monde des sorciers et de cette guerre... Je savais très bien que c'était inutile d'essayer d'aller le voir: il était surement à la forteresse, le cartier général des rebelles, nos ennemis. Marie lui avait conseiller d'aller voir Sophie. Ses deux filles étaient des ennemis. Elles l'avaient surement amener là-bas pour le ''protéger'', comme ils font avec tous les signes. Comme si c'était nous le véritable danger.
Je devais aller le voir ce matin, au moins pour lui expliquer l'autre côté de cette guerre parce qu'il était sur que Sophie lui avait expliquer la situation avec un petit parti prit... Je devais aussi lui expliquer les dangers qu'il courrait dans cette forteresse. Je pourais toujours me rendre à notre ancien point de rencontre, dans du parc. Je pourrais lui expliquer et peut-être même le convaincre de quitter l'ennemi.
J'étais tellement concentré dans mes réflexion que je n'avais pas remarquer ce que j'avais au poignet. Un signe. Noir. Conme celui de Mathieu. Je m'empressai de mettre un bandage pour le cacher. Si un de mes confrères le voyaient, ils me tueraient c'est certain. Je regardai autour de moi. Personne. Les gens dormait encore. Personne n'aurait pu me voir. C'est bon.
Je devais me trouver une excuse pour porter ce bandage. Nous étions en temps de guerre, les pensements étaient limités, dison que nous ne devions pas les gaspiller. Je regardai autour de moi pour de l'inspiration. Je ne pouvais pas juste leir dire que je m'étais coupé, ils me demenderaient avec quoi et s'ils n'y avait pas de sang sur l'arme, ce serait louche. Je devais donc me couper réellement. Je vis un couteau dans les boîtes devant la tente-cuisine. Je le pris. Il me fallait une explication pour l'avoir pris aussi. J'alla alors me préparer un déjeuner et me coupa un morceau de jambon. Je fis ensuite glisser la lame sur mon poignet pour avoir une toute petite égratignure qui ne saignait pas beaucoup. J'acotai le couteau sur la blessure pour qu'il soit réellement couvert de sang. Je remis alors mon bandage et mangai mon déjeuner. C'était bon, j'avais une excuse.
Maintenant, je pouvais penser à ce que mon signe voulait réellement dire. C'était exactement le même que Mathieu, même couleur, même symbole, tout. Normalement, deux personnes n'avaient jamais le même signe en même temps, un sorcier ne pouvait pas en avoir un et ils sont rouges. La situation était juste trop étrange. Quelque chose de grand était en train de se produire. Je devais plus que tout aller voir Mathieu pour comprendre. Peut-être que lui on lui avait expliqué.
J'entendis des pas derrière moi. Guillaume était debout. Il était quand même un bon soldat. Il savait suivre les ordres sans trop penser et il était un sorcier extrêmement puissant. Il était grand, très maigre, pas très musclé, avec des tout petits yeux bleus clairs. Il me regarda d'un regard perçant et me demanda pourquoi j'avais ce bandage. Je lui racontai mon histoire et il me cru. Dison qu'il n'était pas vraiment une lumière. Il s'assit à mes côtés et se servit à déjeuner. Je devais trouver un moyen de quitter le camp sans que ça paraisse louche parce que je n'avais aucune autorisation.
-J'ai vu un loup dans le coin hier, dit bêtement Guillaume
Parfait. Il venait de me donner une excuse pour quitter.
-Vraiment? Je devrais peut-être aller le chasser pour être sur que c'esr encore sécuritaire ici, lui répondis-je d'une voix solonelle de quelqu'un qui prenait le bien de tous trop à coeur
Il ne fit que me faire un signe d'aprobation de la tête. Le bon côté de ce garçon, c'est qui ne s'ostine jamais réellement et on ne doit même pas faire attention pour être crédible. Je me levai et alla nettoyer l'assiette que j'avais fini il y a déjà plusieurs minutes. J'allai chercher un arme à feu; toujours efficace contre les loups de cristals.
Je quittai le campement et me retrouvai en pleine forêt. Il faisait encore sombre, le soleil conençait à peine à se lever. Ici, la lumière du soleil se réflétait dans tous les arbres, toutes les plantes et chacune d'entre eux étincelait de mile feux lors du lever du soleil. Je marchai, sans hésiter und seule seconde et sans chercher le loup, vers le soleil levant. Le paysage défilait à mes côtés, toujous identique, pendant une bonne demi-heure. Ensuite, un grand mur de pierre blanc se dressa devant moi. J'ouvris la porte au centre et me retrouva au centre ville de Montréal à 11 heure du soir. J'adorais ses portes. On pouvait débarquer litéralement où on voulait
Je me dirigai, d'un pas encore plus decidé, vers l'ancien point de rencontre de Mathieu et moi.

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Le Sauveur [En pause]
Fantasy''Il me regarda alors avec une lueur d’espoir dans les yeux. Cet homme croyait peut-être que j’allais le sauver, que j'allais tous les sauver, mais je n’étais pas un sauveur. Je voyais bien de la façon qu’il parlait qu’il s’attendait à ce que j’arrê...