La mélancolie d'été revient
les roses se fanent
comme mes pensées qui se blâment
Des fins tourments brouillant mon horizon
je n'ai que les larmes inondant mon esprit malade
La solitude est mon arme, la musique est un remède.
Je suis sereine avec...
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Musique conseillée : Toxicity - System of Down
Je préfère fuir, qu'affronter cette réalité.
Un monde névrotique, un monde sous antalgique.
Je préfère détruire plutôt que créer.
Un monde machiniste, un monde sous anxiolytique.
Les hypocrites sont des parasites de l'honnêteté.
Je suis allergique aux dictateurs de la bonne pensée.
Nos esprits sombres,
Sans émotions, sans avenir.
On succombe, On bride nos sentiments.
Pour se sauver de nos tourments.
On tombe dans une réalité mélancolique
On se jette dans ce qui nous fait du bien.
Devenant des robots, on se vide d'humanité.
Le temps des faux sourires et des banalités.
On cumule, on se bouscule, on est ridicule.On se détruit, on s'auto-détruit, à chaque nuit.
La vie privée est une ironie.
On continue de trimer pour un travail qui nous met mal.La pression et l'échec, abat notre moral.
Comme une impression de fin, une sensation de rien,
On se laisse emporter par la vie,
0n tombe dans l'ennui, attendant la fin du film.
Ton futur sera déjà planifié en avance.
Plus besoin de réfléchir lorsqu'une machine le fera à ta place
Là où, tu ne sentiras plus la souffrance.
Le temps effacera tes mots et ton sourire face à la glace Pas besoin d'aimer, pas besoin de bâtir un avenir,
Perte de temps.
Soit productif, soit constructif, soit objectif, soit performant. Ton loisir sera de remplir les poches de ton boss. Pendant que ton âme disparaîtra sous une bosse. Bienvenue dans l'air nouveau du néant.
Monde névrotique, monde sous antalgique.Je préfère fuir plutôt qu'affronter cette réalité.Je préfère détruire plutôt que créer.Comme une envie de partir, sans me retournerBrisé, le reflet d'une âme engloutie par la vieDamné à vivre dans un cauchemar réel.
Je m'anéantis, suffoquant le peu d'air respirable
D'un monde névrotique, d'un monde sous antalgique.
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