15. La Nature

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La Nature

Jadis, contre les grêles, on faisait des prières et des processions dans les campagnes. Cela mettait une barrière, une protection plus efficace que les canons paragrêles
d'aujourd'hui.

On dissipe bien la grêle, une fois puis deux. Puis les êtres qui font la grêle s'habituent, prennent force, et il vient une grêle contre laquelle le canon ne peut rien, et qui dévaste
tout.

Ne prononcez pas le mot de grève générale ! La Terre pourrait entendre.

Ah ! Il a cru trouver la cause des vents ? Cela, ce n'est pas
pour l'homme. Il serait bien fort celui qui la trouverait.

En creusant dans le désert, on doit certainement y trouver de l'eau.

Mines de houille que l'on découvrira en 1935. Ne pensezvous
pas qu'elles sont gardées ? Si on les découvrait, cette région deviendrait comme les autres.

Si on cherchait et creusait, il se passerait des choses qui empêcheraient de trouver, par exemple en rendant impossible de continuer le travail. Plus tard, on découvrira des mines d'or, et ce qu'elles donneront permettra au pays de se relever.

Mais pas maintenant, car elles ne seront exploitées qu'au bénéfice dequelques-uns. Ce que Dieu donne, c'est pour tous, et non pas
seulement pour quelques-uns.

Tout s'enchaîne dans la Nature. Ainsi, dans l'existence des
fourmis, le travail est encouragé et récompensé, et la paresse
punie par des rigueurs pouvant aller jusqu'à l'exclusion de la
fourmilière. Si, pour les taquiner, vous retardez le travail de quelques-unes, vous pouvez être la cause d'une punition imméritée.

Il se peut alors qu'un de ces êtres plus puissants que l'homme vous contrarie dans votre travail. Inversement, nous pouvons recevoir de l'aide si nous facilitons le travail des inférieurs.

Enseignements D'un Sage TOME 2 •Mysticisme•Où les histoires vivent. Découvrez maintenant