Chapitre 5

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Ils se réveillèrent en sursaut sous les coupes de chaudron.

-LES GARÇONS!

-Oui quoi? Répondit Sherlock, se relèvent dans sont lit. La journée s'annonçait belle.

-Il est 12h, on mange. Voyons, à quel heur vous vous été coucher? demanda-t-elle derrière la porte fermée.

Une voit à côté de lui grogna une raiponce incompréhensible.

-3 heures du matin, je crois. On sait baigner.

-La nuit?! Vous avez pas pensé à l'hypothermie?

-On a trouvé une solution...

-Bons, aller vous changer je vous attends encore 2 minutes.

Sherlock se leva du lit.

La veille, pour éviter l'hypothermie presque fatale, ils avaient, comment dire, dormi en sous-vêtement dans le même lit. John n'avait pas trop protesté. Personne ne serait là pour partir des rumeurs par la suite et ça valait mieux ça que de mourir.

En s'étirent, Sherlock lui dit, calmé et poser: je vais me changer dans la salle de bain. Lève-toi et rejoint moi déjeuner.

-O.K.... Pouvait-on discerner de ce charabia grommeler.

*

-Ça fait combien de temps que tu aides la police?

Ils marchaient vers le Yard. Le -délicieux- déjeuner avait était rapide. Sherlock devait aller interroger sa suspecte. John, ne pouvant pas se résoudre à rester tout seul, le suivit.

*

-Bons je vous laisse y aller, mais toi, Il pointa John, tu y entres pas -d'accord

Sherlock pénétra.

La salle était petite, en faite, c'était le même qu'hier.

-Montrer moi une photo de votre ex

Tout les policiers, y comprit John, soufflaient exaspérer à l'entent de se manque de civilité. John avait déjà eu sons avent goût avec toutes les insultes qu'il l'entendit dir à toute personne cherchent une conversation qu'il juger "inutile* ou "ennuyeuses" (c'est-à-dire tout ce qui ne vient pas de John/ Parents/Mycroft (il insulte aussi Mycroft, mais pas pour les mêmes raisons)).

-Comment tu sais ça?

-Tu as un bleu sur le coup, clairement un suçon. Tu as aussi un mouchoir de larme dans ta poche que tu as utilisée 2 fois. Si ce n'était qu'un amant, tu ne pleurerais pas autant. La première fois que tu l'as utilisé, tu l'as complètement mouillé. La deuxième, pas vraiment, mais tu étais contente qu'il soit déjà imbiber. Tu n'aurais jamais tué ta soeur sans raison.

Les points se sérère il avait raison.

Elle sortit son téléphone, alla dans sa corbeille et sortit la photo de son ex sourient et une autre photo où il embrasse une autre fille.

- Il m'a trompé. Je l'ai apprit Jeudie. Quelqu'un m'a envoyé la photo, je sais pas qui.

-Il n'a pas fait exprès -Qu'est qui te fait dire ça?

-Cette journée-là, la première photo, il était avec toi. C'est vitement son impeccable, il tenait à ce que tu le voiles à son meilleur. Il est beau, il avait beaucoup de prétendantes. Il t'a choisi quand même. Sur la deuxième, on peut distinguer un début de recul. La photo fût prise dès que les lèvres c'était toucher, il n'a pas eu le temps de la repousser. Il ne l'aime pas. Elle est physiquement tout l'inverse de toi. On l'a poussé sur lui et quelqu'un l'a pris en photo. C'en était trop. Ta soeur, jalouse de ta relation, est venue te demander comment il allait, tu l'as étranglée.

Elle c'était mis è pleurer. Ça rupture était fausse. Sa colère infondée. Et sa soeur vraiment morte.

-Mais qui -Hoké de sanglot- qui la pousser? Pourquoi avoir fait ça ?

-Je ne sais pas, mais le tueur est dévoilé.

Et il sortit comme si de rien n'était.

*

-Pourquoi ta fais ça?

Une pouffe de cigarette.

-quoi? Tu ne l'as pas déduit?

Ils étaient un à côté de l'autre. Toujours en tenue de dance. Ils avaient eu un cours ce dimanche. John, lui, était parti pour un match de Rugby. Mme. Holmes avait gentiment accepté de lui conduire.

-Voyons, sherl! Elle le méritait. Personne ne te touche saufe moi- 

-Moran?

-Autre chose, répondit-il sèchement. Tu es jaloux de lui? Il se pencha sur l'épaule de son "acolyte", un regard mielleux.

-Absolument pas.

Réponse sèche, définitive. Il laissa tomber sa cigarette et l'écrasa de son pied. Se retournent, près à partire, une main l'attrapa, puis le retourna.

Collent leur torse en l'attirent, James MoriHarti approcha sa tête, le mettent sur la pointe des pieds, de l'oreille de son homologue. Il fit exprès de mettre son chaud souffle dur la nuque de Sherlock dans le but de lui murmurer, le plus sensuellement possible, ceci: 

-Personne ne touche à MES affaires. Tu sais ce qu'il arrivera...

La menace été présent. Glaçant son sang. Il n'en montra rien, continuent sa marche.

John va bien, évidemment. Il est juste entrain de jouer à un jeu inutile avec Lestrade et d'autres énergumènes.

Une baignade?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant