Une baignade?

Chapitre 8

Il était resté dans son "appartement". Un mauvais pressentiment. Sherlock était parti pendant qu'il prenait sa douche. Il ne répondait pas à ses messages et appels.

Où était-il?

John ne pouvait pas aller voir chez lui. La fatigue le prenait. La douleur des nouilles cicatrise et sa jambe (elle boité après que son père aille mal calculer son cout de ceinture il y a quelque année) le torturait.

Où es-tu Sherlock?

*

-Ha..., si tu savais comme tu ma manquer Sherl.

Sa voix se fourcha sur la dernière syllabe.

Les voisins n'étaient pas là, tousse à du bénévolat écolier et autre activité. James n'en faisait plus depuis qu'il avait "accidentellement" fait tomber 80 kg de matériel sur partenaire de travaux.

Il n'eut comme raiponce qu'un grognement étouffé par le matelas. Sa tête y était enfoncée par une main possessive sur ses cheveux bouclés. Ses pupilles dilatées au maximum par la drogue.

*

Salut, Greg, j'ai pas le numéro de Mycroft. Tu peux lui demander où est Sherlock?-JH 

Il ne le sait pas. Il te demande il était où aux dernières nouvelles. -GL

Avec moi au bloc C. Je vais y habiter mintenent. -JH

La sonnerie de son téléphone retint dè le message envoyé.

-O-

Pas le temps de demander, Mycroft le coupa.

-Va directement à la chambre 315C! TOUT DE SUITE!

Le téléphone émit le son de quelqu'un venant de raccrocher.

*

-Je dois te laisser, Sherl. Ton ami a surement commencé à réellement te chercher.

Il dépose léger baiser sur la joue de sa victime épuiser, puis partit par la fenêtre au moment même ou un SMS était envoyé un peu plus bas.

*

Il était essoufflé à force de gravir toutes ses marches.

Mais que se passait-il?!

La porte du 315, enfin.

Il l'ouvrit, s'attend à retrouver son ami paritaire dans une marre de sang. Il n'y était pas.

Bonne nouvelle, mais peut-être dans les autres pièces...

Enfaite, il y a, dans chaque chambre, 3 pièces. La première, cuisine/salle à manger que l'on trouve en ouvrent la porte et qui ne servaient que rarement puisqu'il y avait des diners communautaires que Mme Hudson organisait en spécifient toujours que ce n'était pas son travaille.. La deuxième, salle de bain. Puis la chambre.

Il n'était pas dans la salle de bain.

Plus que la chambre.

Et s'il était entraint de...

Non. Il n'y a pas de bruit. Il ne peut pas.

L'ouvrent doucement, il tombit sur un lit moyen supportent le corps immobile d'une personne qu'il reconnaît les cheveux.

La chambre était un peu en désordre. Les vêtements du génie étaient éparpillés. Ce même génie était recouvert d'un très léger drap blancs vers le bas le son dos, son bras sur le coté laisser voir l'intérieur de son coude. Une marque comme les autres y était, mais plus, beaucoup plus, récente.

Il comprit en grande ligne ce qui s'était passé.

John regroupa les vêtements du Kidective pour en faire un tas.

Il avait vaguement lu sur le sujet de l'effet de la drogue sur le cerveau et quoi faire lorsqu'ont été en présence d'une personne dans cette situation. Il décida de le laissait dormir et de lui donner un petit mot sur papier.

J'espère que ça va. Je serais dans mon appart entrant de dormir. Viens me rejoindre si tu veux. Je crois que ton frère s'inquiète. C'est lui qui m'a dit où te trouver.-JH

*

-On devrais pas monter?

-Non, il est déjà parti, mais peut-être qu'on peut le trouver en cherchant autour de l'école.

-Rappel-moi pourquoi on appel pas la police? et pourquoi le chercher s'il revient de toute façon au cours?

-MoriHarti dénoncera la consommation de drogue. Moi, toi mes parents, tous ceux qui en sont on court serra mit et accusé dans l'affaire. On risque tous gros. Et il y a des caméras de sécurité partout dans l'école, si on le retrouve endehor, je pourrais m'en occuper personnellement.

La Harley reprit sa route, tentent de trouver le criminel.

*

- Je suis rentré!

-Si tu avais juste besoin d'une baise, tu aurais pu me demander.

Merci pour l'ambiance...

-J'avais besoin de plus.

-Je ne vois pas ce que j'ai de moins que lui.

-Tu n'es pas lui.

La discussion s'arrêta là.

*

Il se réveilla. La tête endolorie, il la rabaissa rapidement.

2 minutes de repos éveiller s'écoula.

Jim. Il a encore fait ça. sinon il aurait tué John.

Le papier qu'il avait justement laissé lui attira l'oeil.

Il la lut; son visage ne transmettait aucune émotion. Son coeur, lui, saigner à savoir qu'il l'avait ainsi. Presque nue, visage enfoui dans un coussin. Violé.

Tout ça sans savoir que sinon il serait tué.

*

-Bon, on ne le trouvera pas -qu'est-ce qu'on fait?

-Dinner?

-Dinner.