𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝟒 :

15 3 8
                                    

10h00 du matin :

Je me retrouve à regarder la mer à la place de regarder un tableau.

J'ai préférer sécher les cours à la place d'y aller. De toute façon je ne peux pas partir au lycée avec un uniforme rempli de sang et des bras qui continuent à saigner malgré les nombreux bandages que j'ai mise.

Et si j'essayais de me re suicider ? Après tout Daisuke n'est plus la pour m'arrêter.

Je dépose mon sac qui se trouvait sur mon dos sur le sable, je dépose aussi mes mocassins et mes longues chaussettes noires juste à côté. Je me lève, pour aller me diriger vers l'eau.

Sauf qu'avant même que je mette un pied dans l'eau, quelqun m'interromps.

- La sirène ?

Daisuke :

C'est la même fille qu'aujourd'hui.

C'est la même fille que j'ai vu aujourd'hui à minuit.

J'en étais sûr qu'elle allait essayer de se re suicider, c'est pour sa que je ne suis pas aller au lycée.

Elle ne s'est pas retournée depuis que je l'ai appeler, mais bizarrement son uniforme de dos ressemble énormément aux uniformes que les filles de mon lycée portent.

Et si ? Non je ne pense pas, après tout y'a peut-être pas que mon lycée qui fait ce modèle d'uniforme.

De dos comme de devant elle a l'air incroyable. Ses cheveux lisses de couleurs marrons claires volent un tout petit peu grâce au vent.

Rien qu'en faisant un pas vers elle, elle me crie dessus en me disant de m'arrêter ou je me trouve.

- Arrête toi où t'es et n'approche pas plus ! Me crie-t-elle dessus.

Je m'arrête sans faire un pas de plus.

- Retourne ta tête vers le gauche. M'ordonne-t-elle.

Je lui obéis. Je tourne ma tête vers le gauche.

- Ne détourne pas ton regard de la gauche !

Pourquoi me demande-t-elle de faire sa ?

À t-elle peur que je vois son profil ? Ou bien son visage ?

Pourtant aujourd'hui, à minuit, quand j'ai vu son profil. Son profil était incroyable. Un nez en trompette, un visage ovale mais bien tracer et sans oublier ses yeux en amandes que j'ai réussi à voir grâce à la petite lumière que la lune faisait.

Après elle a sûrement des défauts, personne n'est réellement parfait dans ce monde.

Depuis bientôt cinq minutes que j'ai tourné ma tête à gauche, et elle m'a toujours pas dis de la détourner.

- Petite oiseau ?

Toujours rien.

- Petite oiseau ?

Encore rien.

- Petite oiseau ?

Encore et toujours rien.

HAPPY HOUSE Où les histoires vivent. Découvrez maintenant