𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝟓 :

10 2 2
                                    

Daisuke :

20h30 :

- T'étais où aujourd'hui ? Me demande Kaori.

- À la plage.

Kaori est mon meilleur ami depuis le collège. Je l'ai rencontré grâce à mon père qui a décider de collaborer avec le grand père de Kaori, Monsieur Sato Fūta.

Mon père a décidé de collaborer avec Monsieur Fūta grâce à sa popularité qui dure depuis des années. Monsieur Fūta est un mannequin des années 70 si je me trompe pas, et pourtant il garde toujours autant sa popularité.

Après, faut remercier Kaori. Si il garde encore toute sa popularité c'est grâce à la beauté et au physique de son petit-fils. Monsieur Fūta commençait à faire faillite, il a obligé son petit-fils à devenir mannequin, ce qui a d'ailleurs réussi à refaire monter ses affaires.

Kaori ne se plaint pas, il aime recevoir des compliments sur sa beauté et sur son physique.

Le seul qui s'est vraiment plaint c'est Chiharu, le grand frère de Kaori.

En réalité Chiharu déteste son grand-père depuis très longtemps, Kaori n'a jamais pu savoir la raison du pourquoi est-ce que Chiharu a une haine incompris envers son propre grand-père.

Chiharu créera sa propre entreprise à 23 ans, il la créera en Amérique, à New York et si je dois être honnête, l'entreprise de Chiharu marche plutôt bien.

- Et tu faisais quoi à la plage ? Me demande-t-il.

- J'ai chier dans la mer parce que les toilettes de ma maison ne marchait plus ! Je lui dis avec plaisanterie, mais je crois bien que lui ne plaisante pas du tout.

Après avoir poser sa dernière question, il continue à manger tranquillement. Tandis que moi, je suis toujours autant intrigué par cette fille.

Pourquoi veut-elle à tout prix mourir ? Son sang qui dégoulinait par terre...se sacrifie-t-elle pour apaiser ses souffrances ?

Sa vie ressemble tellement à celle de ma mère...

- Oh, depuis toute à l'heure je te parle. M'interromps Kaori.

- Tu disais quoi ? J'étais dans mes pensées. Je lui dis en mangeant les sushis que tante Sakura a préparé.

Tante Sakura est la femme de ménage de mon père. Mon père considère tante Sakura comme une simple esclave qui lui obéit quand il veut, tandis que moi je considère tante Sakura comme quelqu'un de ma famille, même si elle ne l'est pas.

Si je me trompe pas, elle travaille pour mon père depuis bientôt quinze ans. Elle doit au moins déjà avoir la quarantaine.

- Je te disais que mon père va changer de styliste. Répète-t-il.

Monsieur Fūta changer quelques choses dans son entreprise de mannequinat ? Depuis bientôt quinze ans qu'il a le même styliste et il le change enfin, après autant d'année.

- Et c'est qui ? Je lui demande pour savoir la popularité du ou de la styliste.

Car bien sûr, qu'est-ce que Monsieur Fūta ne ferait pas pour son argent ? Chaque personne de l'entreprise a intérêt à être dans la société ou avoir un minimum de popularité, sinon il prend pas.

Vous avez atteint le dernier des chapitres publiés.

⏰ Dernière mise à jour : Sep 21 ⏰

Ajoutez cette histoire à votre Bibliothèque pour être informé des nouveaux chapitres !

HAPPY HOUSE Où les histoires vivent. Découvrez maintenant