Joulio, arriva, à la fête de la victoire et dit au général Athlétien :
- Général Smith !!! Salaud, je vous offre un duel, ce soir, au clair de Lune, dans les dunes de sable, plus au Sud.
- Mais comment... S'interposa le vieux général Clément. Vous savez le poids de vos paroles, Joulio. Que vous a-t-il fait pour avoir autant de haine en votre cœur
- Si vous le voulez, Joulio mais avec condition, si je gagne, vous abandonnez notre armée, seul et j'aurais même la bonté de vous offrir un cheval, pour pouvoir esquiver les troupes ennemies.
- Parfait, je serais là, et pour vous répondre, général, cette homme a tué, tout comme vous j'imagine mais, Smith a tué, des enfants, des enfants Yasués certes mais tout de même des enfants ses parents qui ont essayé de le protéger sans utiliser la violence eux aussi on subit le même sort. Même vous général, même moi n'a pas eu l'antipathie de faire, ses jeunes gens n'avaient rien fait de mal, il avait juste, eut la triste chance d'être à l'endroit où il ne fallait pas, la honte de cette armée n'est en aucun cas notre sauvagerie tout à fait comprenable en ayant des envahisseurs mais la honte de cette armée c'est vous, Général Smith. Je vous attends tout à l'heure.
Julio sur ses derniers mots parti, le vieux général Clément qui avait paraît -il des milliers d'histoire à raconter sur les monstres de chacun des mers, de la dangerosité et de la taille des monstres qu'il avait rencontré, mais un soldat, prêt à mettre son honneur et son rang en jeu pour des actions qu'il trouvait immorales, il n'en avait jamais, et d'après ses dires : "c'est pour cela que je m'attache à chacun de me à chacun de mes soldats, pour que je les connaissent et qu'il m'étonne le jour où il trouve la force de faire avancer le monde." Julio, ne dit que marcher jusqu'au point de rendez-vous où il attendit patiemment sur le sol rocher au alentour, arme en main, il dormit, un peu, le ciel qui toute la journée avait était noirci par la guerre se découvrit, la magnifique double Lune événement qui ne se passe que tout les millénaires sur Terre, ses deux lunes dont l'une est orange et l'autre vert, illuminaient un ciel recouvert d'étoile. Sur ce magnifique temps, un général, le général Smith, arriva, pas à pas, à une dizaine de mètres de son adversaire, il dégaina son sabre, et resta à distance. Julio qui étant très croyant était en pleine méditation, se releva avant de lui même sortir son arme. L'Athlétien, en le voyant, debout épée en main lui fit une proposition :
- Tu sais, tu as toujours le choix, tu peux abandonné ta place parmi nous serait d'une grande utilité.
- Tu n'as pas fait tout ce chemin pour que j'abandonne, je ne serais pas devenu soldat sinon.
- Tu as du répondant pour une première classe. Mais, si tu le désires vraiment nous allons faire ce combat.
Le général Athlétien qui paraissait aux yeux de tous comme lent, car possédant une masse importante réussit à en à peine quelques secondes, lui pointait son épée entre les deux yeux, lui touchant légèrement la peau ce qui fit couler un peu de sang. Maintenant que son agilité n'était plus à prouver, Julio tenta de dévier l'épée qui était devant lui mais, celle-ci ne bougeait pas d'un iota quand Julio lui donna un coup, témoignant de la force impressionnante de l'animal qu'il avait devant. Celui-ci, pouvait à tout instant en finir avec Julio, il suffisait d'une petite pression , d'un coup sec de l'épaule et de l'avant bras pour en finir mais, ce n'était pas son genre, il l'avait défié devant tout ses soldats, il devait tout de même faire durer le suspense. D'un coup bref il retira l'épée, Joulio qui fit semblant d'un douleur, profita d'un moment d'inattention pour essayer, le seule moyen de s'en prendre à lui, la ruse. Mais, le général n'en était pas à son premier combat et ses petites ruses pouvaient marcher sur de simples soldats mais en aucun cas sur un général comme lui. À peine avait-il foncer dessus que le général attrapa la lame et la brisa, sans même se blesser puis, d'un simple mouvement de bras, il lui brisa plusieurs os, telle que le fémur, deux côtés, une vertèbre ainsi que la clavicule gauche. Après l'avoir tout autant briser mentalement que physiquement, il rangea son sabre et lui fit un petit discours de fin tandis que la lumière verte de la lune illuminé son corps de par et d'autre :
- Désormais, jeune Joulio, tu es mort, tu ne possèdes de nom et comme prévu, je te donne, une partie de ma bonté, ce cheval, il est comme toi, légèrement brun et ne possède ni nom ni famille, voyage avec lui, tente de te retrouver, tu n'es pas fait pour mourir, et peut-être qu'un jour tu comprendras mon acte, mais fait tout pour changer et continuer ce que tu as commencé et pour cela je dois te d'effacer. Dit-il avant d'appliquer une légère pression sur le haut de son crâne qui le fit tomber dans les pommes. Jeune cheval, emmène cet homme Yphaton je veux qu'il y soit avant nous pour qu'il puisse, comprendre ses erreurs, j'espère que je pourrais le retrouver.
Après ses mots, le destrier parti avec sur son dos, Joulio, inconscient. Le général Athlétien revint, quelques minutes plus tard vers ses compagnons qui d'abord furent joyeux de le retrouver mais, commencèrent à paniquer de ne pas voir le jeune Psamadien. Chaque homme questionna le chef pour obtenir plus de détails sur le combat, est ce que Julio est en vie ? Ou est-il ? Est-il blessé ? Toutes ses questions revenaient sans cesse autour de lui, sans qu'il ne donne ne serait-ce qu'un mot pour répondre, préférant avancer, au gré du vent de l' illuminé soir bi-lunaire. Mais, le questionnaire fut de courte durée car, une lieutenant, arriva devant l'Athlétien est lui dit :
- Mon général, la situation est grave, Clément le général aux cents coeurs vous demande dans sa tente.
- Très bien, soldats repos, demain nous devrons marcher sur Yphaton.
- Que se passe t'il Clément. Questionna t'il en entrant dans la tente.
- Ohh par Deuthéos tu es en vie, merci , mais cela veut dire...
- Ne t'inquiètes pas pour le gamin. Interrompu-t-il. Je te laisse me raconter ton problème.
- Je tiens d'abord à te dire que tu n'es pas ici pour quelque chose de petit, je crois bien que c'est la fin.
- Attends, la fin, c'est impossible, certes les Ciafbis et les Psamadiens se sont fait attaquer mais nous avons repris une ville d'une grande importance et, les Hommes n'ont plus qu'à lancer un raid sur l'île des Ciafbis et nous pourrons isolés les Yasués.
- C'est justement de cela que je voulais te parler, ils nous ont doublé, la première coalition est fini, après le retrait des hommes et des Psamadiens, ils ne restaient plus que nos deux pays respectifs, alors collectivement, ils ont décidé de faire une grande alliance mais de dissoudre cette coalition. En gros, après cette guerre au royaume de Psamade tu rentres chez toi.
- Je ne sais pas quoi dire, surtout que le royaume des Hommes étaient le principal allié à l'Est mais qu'en est-il des tribus Indigènes, leur maîtrise du métal et leur immense armée pourrait aisément nous aider, en envoyant ne serait-ce qu'un dixième de leur armée ( ce qui représente déjà plus de deux millions de soldats) nous pourrions reprendre le royaume des Hommes envahit et le royaume des Ciafbis.
- Nous n'avons aucun contact avec eux.
Et oui, c'est déjà la fin de la première coalition, une guerre éclaire pensait-il mais je pense comme beaucoup qu'elle va s'entasser, s'embourber dans le temps. Pour rapidement vous expliquer ce qu'il s'est passé au royaume des Hommes et la communication avec les Indigènes, il me faut rappeler quelques fondamentaux.
Chaque royaume, sauf celui des Hommes et des Ciafbis possède une maîtrise. Pour contrer de manque de puissance, le royaume des Hommes a entouré ses frontières d'une immense défense sauf ses frontières maritimes avec les Ciafbis car ils étaient alliés. Se qui a poussé les Yasués à attaquer c'est pour pouvoir plus facilement détruire les Hommes mais, ceux-ci avait prévu se scénario mais le temps de réformé l'armée, les Yasués avaient déjà attaquer. Voilà ce qu'il s'est passé en royaume des Hommes, prit par surprise, ils ne peuvent ni reprendre l'île des Ciafbis ni l'est du royaume de Psamade.
Du côté Indigènes, les représentants à l'international on décidait de ne pas participer à la guerre pour l'instant car leur tribut étant pour l'instant en guerre pour savoir lequel des trois plus grand chef allaient gouverné. Pour finir, cette première coalition fut un désastre :
Quasiment 7000000 de morts chaque côté dont quasiment 5000000 de civils, des déportés par milliers, de nombreux blesser.
A part reprendre la ville d'Hefelt, la première coalition n'a rien fait et ce qu'il pensait être une simple guerre sera une guerre dure longue, pour la plupart cette guerre dura plus de dix ans à vous d'imaginer le temps que cela prendra.
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Typhon l'élu des 8 : 300 ans de guerre en 300 pages d'histoire.
FantasyIl y a des milliers d'années de cela, une immense guerre dura deux cents années et changea à jamais le monde où Typhon allait naître que se soit par la géopolitique, la géographie et la technologie.