Chapitre 4 Bataille de Yphaton 1/4

1 0 0
                                    

Joulio, toujours sur son cheval, arriva à Yphaton. Blesser, sur le point de s'endormir à jamais.
Une jeune fille, au teint mâte, des cheveux boutons d'or, long et lisse. Aussi rare que ses cheveux, des yeux azur profond contrastés sa peau brune.
Sa peau que vous pourriez penser parfaite contenait en réalité une large cicatrice, débutant à la limite de ses cheveux d'or et terminant au sommet de son nez fin. Seule dans sa maison, en train de lire, elle l'aperçu. A seulement 16 ans, elle savait déjà se débrouiller et s'occuper d'un blesser. Mais ses blessures étaient particulièrement profondes et nombreuses. Heureusement pour lui, la jeune femme le remit ( grâce à un remède dont elle a le secret) sur pied en un rien de temps. Dès qu'il se réveilla, il put apercevoir, la femme qui dans sa grâce habituelle s'occuper de la maison. Étonné, il demanda :

- Ou suis-je.

- Vous êtes dans la ville d' anciennement Yphaton renommée depuis la défaite Warlord ( Nom donné pour ce moquer de la faiblesse des Psamadiens.)

- Le roi, où est-il ? J'ai grand besoin de lui parler.

- Enfermé dans son château depuis la perte de son fils, il n'ai plus sortie et les Yasués n'ont pas cherché à envahir la ville haute. Mais comment vous nommez vous, s'intéressa-t-elle, vous avez quelle âge ?

- Mon nom est Joulio et je viens de fêter mes 24 ans hier sur le dos d'un cheval, mais vous quelle est votre âge, votre nom et ou son vos parents car, vous ne m'avez pas l'air marié, vous ne possédez pas les Amédices ( Tatouage symbolisant l'amour éternelle entre deux personnes se mariant dans le Typhonoisme, on pourrait le comparer au alliance. )

- Je me nomme Rosalia, j'ai 16 ans et mes parents sont morts dans l'invasion, un bloc de glace a frappé notre maison, et il m'a fait cela, dit elle en pointant sa cicatrice, eux, n'ont pas eux ma chance, enfin chance, depuis l'invasion, on ne parle plus de chance ni d'espoir, nous n'avons plus rien, tout doit être donner au Yasués, pour la guerre au royaume des Hommes qu'ils sont petit à petit en train de perdre.

- Je vois, Rosalia où est votre roi, Deuthéos le bénisse s'il est en vie.

- Nous ne l'avons plus revu depuis l'invasion, il est toujours dans son château qui n'a pas été détruit ni envahit, les Yasués n'y voyait aucun avantage. Plus personne au château ne la vue, son fils est décédé lors de l'attaque, il a sombré dans la tristesse.

- Et bien, nous allons lui rendre une petite visite, dans quelques jours, les derniers coalisés rentreront dans la ville pour la libérer. Le roi, doit le savoir et ensemble, dit il en lui attrapant les mains, nous allons vous redonner espoir, Rosalia.

- Très, très bien, dit elle en rougissant. Le château est à cinq cents mètre, non pas au centre de la ville mais à l'extrême Est, au niveau du grand désert des Égarés ( désert deux fois plus grand que celui du Sahara.) Dans seulement un jour nous y serons mais avec ses gardes, impossible d'y aller par la voie traditionnelle emprunter les routes c'est prendre le risque de se faire contrôler et d'être démasqué. En contournant par les égouts on y sera en 1 jour et demi.

- Je n'en vois aucun inconvénient. Sur ce, nous pouvons partir, Rosalia.

Rosalia, qui ne pensait pas partir si tot, récupéra son manteau et quelques affaires en vitesse avant de suivre Joulio qui malgré ses blessures récentes avaient une cadence olympique qui mise à mal la jeune fille. Les deux généraux qu'étaient Clément et Smith, avaient conçu un plan bien moins énervé que celui des Yasués quittent à assiéger la ville pendant des mois s'il le faut. Mais, en réalité, les Yasués eux aussi avaient prévu de se faire attaquer !

 Typhon l'élu des 8 : 300 ans de guerre en 300 pages d'histoire. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant