Typhon l'élu des 8 : 300 ans de guerre en 300 pages d'histoire.

Bataille d'Yphaton 2/4

A peine vu, le roi tenta de se cacher sa peur des humains qu'il avait créé depuis son isolation lui interdisait de voir d'autres personnes. Heureusement pour Joulio et Rosa, en voyant, la seule chose qu'il restait de l'armée à Joulio, sa bague d'administration, un bijou offert à toute les personnes qui entre dans l'armée pour les félicitées et pour facilement les reconnaître.

On aurait pu croire à l'excitation d'un roi enfin libéré de son fléau et sauver de sa folie mais non, même fou, il n'était pas dupe, personne n'aurait envoyé un simple soldat pour sauver le roi, en plus déguisé d'une telle sorte, toute une partie de l'armée aurait perforer jusqu'au sol pour ne serait-ce que le revoir. Rosa, qui avait prédit cette fin n'était pas déçu et ne pensait qu'à repartir au plus vite. Joulio, bouleversé de le voir dans un telle accoutrement et dans une telle posture, arma le pas et alla le voir, lui demandant :

- Sir, que faites vous alors que, dehors le chaos règne, les alliés arrivent dans quelques jours, n'est-ce pas magnifique, nous serons libéré !

- Tout, tout est perdu, rien ne peut arrêter ses monstres, ils ont anéanti toutes nos troupes, qu'importe la maîtrise ou l'origine de ses soldats ils tomberont quoiqu'ils fassent.

- Je te l'avais dit, depuis le décès de son fils, tout est fini. Lui même le dit, Carlos IV le naïf, est devenu sage.

- Il y a toujours un espoir Rosa ! Dit-il en maintenant les épaules du roi, les secouant légèrement. Écouter, j'ai été, un soldat lors de la bataille de Hefelt, nous avons vaincu en attaquant par derrière leur position. Le général Clément, dont l'expérience n'est plus à prouver avec des bataille telle que celle de Hefelt et Mont-Chaleau malgré la défaite général. Le général Smith, Athlétien interviendra avec ses troupes. Il faut réussir à les faire tomber de l'intérieur, c'est pour cela qu'il faut que je vous demande, où sont les soldats, prisonniers.

- Aucun ne sont en vie. Tous morts.

- Ne me mentez pas mon Roi !

- Mon fils, mes hommes, mon royaume tout est détruit.

- Pensez vous vraiment que votre fils, connu dans tout le royaume comme, un génie militaire serait fière de vous, ressaisissez vous, votre fils, aurait honte de vous.

- Quel intérêt, il est mort.

- Partons, c'est trop tard. Dit-elle en s'avançant, devant le roi qui ne l'avait pas vu depuis son arrivé.

- Ehehuh... Je... Trembla le roi, c'est cheveux blonds, lisse et ses yeux bleus, tu ne peux t'être que ma fille, Rosa.

- Quoi, mais vous désirez, mes parents, sont morts pour ma patrie et m'aurait avouer se genre de détails !

- Tes cheveux blonds te trahissent, ta mère, n'est autre que la princesse de la cité de Meert mais après un scandale, elle sut s'enfuir, te portant dans son ventre, c'est la qu'elle a rencontré ton père et moi, ma femme. Rosa, tu es l'héritière du royaume et celle qui m'a redonné espoir.

Sans un mot elle s'enfuie, et parta, sans que personne ne la retrouve, dure était la nouvelle est elle n'allait revenir que lors de la bataille finale.

En attendant, Joulio et le roi avaient beaucoup à faire, il allait devoir, ralliés leur fidèle, libéré les soldats enfermé et retrouver Rosa. Tout d'abord, le roi, partie dans les souterrains de la ville, pour y trouver, des partisans ainsi que des guerriers tout en donnant au civil, de quoi boire manger et se reposer.

Une fois rentrée dans ses souterrains, il était difficile d'en sortir et, en remerciement, les habitants creusèrent un tunnel qui allaient directement jusqu'au cuisine du château, ils suffisaient de quelques dalles à retirer et nous pouvions directement voir les habitants. Le roi, demanda au habitants de fouiller toute la ville, grâce à leur sousterrain pour pouvoir tenter de retrouver sa fille. Aucun d'entre eux ne revint avec quelque chose de concret, alors, le projet final du roi se mit en place, loin dans les terres conquit, le roi avait fait construire dans les montagnes, des prisons, pour punir les soldats Psamadiens. Proche de s'en trouvait une, sur l'immense roche d'Ataka qui se trouvait à quatorze kilomètres du château.