Après ce cours quelques peux perturbant ,je décidais de ne pas en parler à Maya ,pour cause?
Cette situation m'attriste et ses mots m'ont blessés ,ne voulait-il pas qu'on se revoit ?
Trop de questions trottaient dans ma tête , mais surtout une.Pourquoi nous avoir fait nous retrouver ainsi ?
J'étais tellement dans mes pensées que j'avançais sans réellement regarder ou j'allais ,jusqu'à ce que je heurte Nicolas.
-Décidément on arrête pas de se croiser, me dit le jeune blond en souriant.
-Je ris nerveusement, oui en effet.
-dit moi , tu sais où se trouve la salle de biologie ? Me dit-il avec un regard interrogateur.
-Eux si ,elle est à ta gauche à côté de la salle 202.
-okay merci ,me dit-il en me souriant de toute ses dents.C'est pas que je n'aime pas ta présence,mais je dois y aller le cour m'attend. Il me fit un clin d'œil , que je trouvais...
Spécial..-Okay à plus tard ,lui dis-je tout en souriant pour éviter de paraître gênée ou autre.
Je marchais vers ma salle et entendis une voix stridente hurler a des élèves de se dépêcher d'avancer,ceci ne bronchèrent pas malgré ce ton arrogant et mauvais qu'employait cette femme. Elle me lança un regard furtif avant de continuer sa route. Je rentrais dans la salle de français à présent pour commencer à parler des poètes maudits en approfondissant car c'était d'après notre prof un niveau 5eme 4eme et pourtant je n'avais rien retenue.
1 heure après,
Je sortais de la classe de français et comment dire.. ça avait été long et plein d'informations que mon cerveau ne voulait pas assimiler. Je remarquais que la femme de tout à l'heure était là et maintenant que je la vois de plus près je peux vous la décrire, elle était brune , des cheveux des plus lisses, des yeux bleues perçant, un nez fin et parfait . Un beau rouge à lèvres rouge carmin sur ses lèvres, elle avait une taille fine et élancée digne d'une actrice et pourtant..
Elle était tellement abasourdie devant certaines consignes simple du lycée comme l'interdiction au maquillage au lycée mais attendez elles peuvent en porter mais pas faire des retouches, se qui parait stricte certe mais cette règle n'est pas là pour rien .
Il y a de cela 3 ans ,un élève aurait été enfermé , la pauvre était harcelé et personne n'agissait. Alors quand l'occasion de la ridiculiser se présentaient à elles ,elles arrivaient directement. Hélas la pauvre se trouvait ce jour-là dans les toilettes seule, mais celles qui ne loupaient aucune occasion pour la ridiculiser arrivèrent et la plaquèrent contre le mur. Hors la pauvre innocente se trouvait démunie et plus faible que ces agresseuses.
Elle avait essayé de se débattre en vein, celles qui l'attaquèrent la frappèrent durant de longue minute et la maquillèrent tel un clown avant de la pousser dehors pour bien la ridiculiser.
Hors la pauvre innocente c'est donner la mort quelques jours après, et pour éviter des situations pareilles ils ont interdit le maquillage au lycée.
Oui notre lycée a un passé sombre.Bon revenons en a nos moutons.
Alors que je marchais tranquillement je vis une choses étonnante mon cher Thomas qui embrassait une autre fille, je la jaugeait du regard avant d'aller vers elle et BIM .-mais t folle salle tarée ,me dit-elle tout en se tenant la joue qui était légèrement rouge et qui devait légèrement chauffer.
-Va te faire soigner putain , me dit Thomas en se retournant vers elle,ça va ?dit-il à cette fille.
-Oui bébé t'inquiète,lui dit-elle en me souriant.
-MAIS TU TE FOU DE MA GUEULE ?? Lui demandais-je en criant et en m'avançant vers lui d'un pas déterminé .
-Non et dégage , on est plus ensemble, me dit-il en souriant.
-A la bonne heure ,je me demandais combien de temp ce petit jeu allait durée, lui dis-je en souriant alors que son visage se décomposait,ce qui je l'avoue me fis encore plus sourire et comment vous dire je suis partie comme une reine la tête haute .
Alors que je marchais vers la porte pour sortir je vis Charlie qui observait cette scène avec la mâchoire contractée , et les points serrés avec force j'imagine ,tellement que ses jointure devenaient blanches.
Pourquoi ?
Je l'ignore mais je me dirige vers lui ou plutôt..
A côté de lui et je partis sans le regarder, j'avançai dans le couloir jusqu'à ce que j'entende des pas résonné juste derrière moi.
Je me retournais mais ne vis personne,jusqu'à ce que quelqu'un me plaque contre le mur .
Je croisais son regard et le reconnue c'était lui ,Charlie .
Il me fixait avec un regard noir que je ne comprenais pas.-C'était qui lui? Me dit-il avec un regard noir ,aussi noir qu'un ciel d'hiver a 22h.
-mon copain pourquoi ?Lui dis-je en le défiant du regard ,hors... il sourit ce que je ne comprenais pas avant qu'il ajoute...
-Ton copain? A oui le con de l'autre fois mais..Me dit-il en souriant avec un petit rictus.
-Oui mon copain et ?lui dis je en comprenais qu'il parlait de cette fille que cette abruti venait d'embrassé.
-Oh.. C'est drôle sa j'aurais juré l'avoir vu embrassé une autre fille ...me dit-il en faisant une mine faussement triste.
-J'en étais sure,lui dis-je le poussant ,T'es vraiment le connard que tu penses être.
-Princesse la vérité blesse ? Me dit-il en souriant,je me retournais avant d'ajouter.
-Ne m'appelle pas comme ça et va te faire foutre.
-Pas sans toi Princesse,me dit-il avant d'écraser ses lèvres sur les miennes.Je le repousse avant de le gifler.
-Ne m'embrasse plus jamais!!JAMAIS!!Il me regardait avec un regard surpris, mais pour autant son visage ne laissait paraître aucune émotion.Il tourna les talons avant de partir sans se retourner ou m'adresser la parole, encore heureux je ne veux plus le voir !
Je rejoignis Maya qui me regardait avec un grand sourire avant de me dire .
-THAT'S MY GIRL!!Je l'interrogeai du regard avant qu'elle reprend,j'ai tous su , t'as giflée cette Pétasse ma bombe et sache le tous le monde est de ton côté mon amour mais je veux tous savoir.
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If the past became present?
RomanceSarah et une jeune femme de 18 ans qui sort avec un garçon a peine plus âgé ,qui à 19 ans , leur couple est parfait elle est drôle , belle et lui sportif et populaire . A première vue leur couple est parfait mais ne vous a t'on jamais dit que les ap...