Même séparer par la mer, l'amour reigne.

8

Et nous voilà dans un dirigeable au dessus des murs de paradis. Même si je ne voulais pas venir je n'avais pas eu le choix.

Nous ne venons pas seulement pour les enfants mais aussi pour Eren.

Piek et Porco avait infiltré les murs peu de temps avant nous et donc était déjà transformer aux côtés du titan assaillant.

Nous étions cinq dirigeable en tout remplie de soldat ainsi que moi et Reiner.

CM: Une colonne de fumé, ça signifie que Piek est Galliard on débusqué l'originel. Dit-le capitaine magat après avoir regardé dans ses jumelles. Il est grand temps de venger Revelio et de régler son compte à ce monstre.

Alors que j'essayais de ne pas trop réfléchir et de ne penser à rien je sentit la main de Reiner rejoindre la mienne avant de la serrer.

Je serrais sa main à mon tour alors que les soldats commençaient à sauter dans le vide avec leurs fusils et leurs parachutes.

Il balancer aussi des canons à Titans au sol accrocher à de plus gros parachutes.

Ce fut à notre tour alors je vis Reiner déposer un baiser sur ma tempe avant de se laisser tomber dans le vide.

Je le suivis quelques secondes après en sortant mon couteau.

Je posa la lame sur ma paume et me fis saigner avant de fermer les yeux et de me transformer.

Je retomba au sol en forme titanesque non loin de Reiner alors je vis que Eren était en face de lui.

Je vis le capitaine magat me faire signe de venir alors je le rejoignis avant de sortir de mon titan.

CM: Kaori tu va te charger d'aller chercher Falco.

Moi: Et Reiner ?

CM: Ne t'en fais pas Piek et Porco seront là en cas de besoin. Falco a ingérer du liquide cérébro-spinal. Il se trouve dans ce bâtiment la bas. Ne te transforme pas en titan il faut que tu sois discrète.

Je hocha la tête avant de partir en courant vers le bâtiment qu'il m'avait indiqué. Bon au moins je n'aurai pas à me battre c'est déjà ça.
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J'étais entrain de traverser plusieurs couloirs à la recherche de Falco mais toujours rien. Alors que je tournait pour passer dans un autre couloir je tomba nez à nez avec le bataillon.

Devant moi se trouvait Armin, Mikasa, Connie, des soldats que je ne connaissais pas et évidemment il fallait que Jean soit là.

C: Kaori. Dit-il en me regardant avec un air choqué de me voir ici.

D'un coup je vis Jean faire quelques pas avant de me plaquer violemment face contre un mur en me tenant les poignets dans le dos.

?: Jean fait attention ! Elle peut se transformer !

J: Elle ne le fera pas. Dit-il en serrant un peu plus mes poignets. Partez devant, je vous rejoins.

Personne ne contesta et il avancèrent tous jusqu'à ce que ils ne soient plus dans mon champs de vision.

J: Qu'est ce que tu fais la ?

Moi: Tu me pose vraiment la question ? Dit-je alors je le sentit me serrer un peu plus contre le mur. Jean tu me fais mal.

J: Tu m'a aussi fais mal quand tu m'a repoussé. Dit-il alors mon corps se crispa. Je te rend l'appareil.

Moi: Je t'assure que j'ai fais ça pour ton bien. Dit-je alors que je sentais ma voix commençait à trembler signe que les pleurs montaient.

J: En quoi c'était pour mon bien ? Dit-il en haussant un peu le ton mais je ne repondit pas sachant que j'allais pleurer si j'ouvrais la bouche. Oh je te parle ! En quoi c'était pour mon bien que la femme que j'aime me repousse de la sorte !?

Moi: Je n'ai pas eu le choix ! Dit-je en sentant des larmes commençaient à dévaler mes joues.

Il a dû entendre à ma voix que je pleurais car sa prise sur mes bras se réduisit.

J: Comment ça ?

Moi: Il fallait que j'aide Reiner, je ne pouvais pas partir avec toi même si j'en mourrais d'envie.

Il lâcha mes poignets avant de me retourner pour être face à lui.

J: Qu'est ce que ça veut dire ? Dit-il alors que je fuyait son regard quand je sentit sa main me faire relever la tête par mon menton. Regarde moi.

Je ne compter rien dire quand je me souvenue de la promesse que j'avais faite à Reiner.

Eh merde.

J: Kaori, qu'est ce que ça veux dire ? Dit-il calmement après avoir essuyé une larme qui coulait sur ma joue.

Moi: Je t'aime Jean.

Alors que je le voyait me regarder la bouche légèrement ouverte, je me demandais si je n'aurai pas fais mieux de ne rien dire.

Mais mes soupçons s'envolèrent immédiatement quand ses bras se resserrèrent autour de ma taille fermement afin de me serrer contre lui.

J'entoura les miens autour de son cou en laissant mon dos tressauter du de mes pleures.

J: Si tu savais comme tu m'a manquer. Dit-il en enfouissant sa tête dans mon cou. Je n'ai pas passé un jour sans penser à toi.

Moi: Moi de même. Je vivais dans la peur que tu me détestais.

J: Je ne pourrais jamais te détester. Dit-il en reculant sa tête pour qu'elle soit face à la mienne.

Je me perdit dans ses magnifiques yeux bruns alors que sa bouche se rapprochait lentement de la mienne. C'est seulement quand nos lèvres rentrèrent en contacts que je ferma les yeux.

Nos bouches s'accorder parfaitement nous faisant totalement disjoncter l'un comme l'autre.

Nos lèvres se séparèrent afin de reprendre notre respiration mais toujours en restant proche l'une de l'autre.

Il voulue à nouveau m'embrasser mais je recula légèrement ma tête.

Moi: Il faut que je retrouve Falco.

J: On est donc destiné à devoirs s'affronter l'un l'autre.

Moi: Je crois bien que oui.

J: Promet moi de faire attention. Dit-il en collant sont front au mien.

Moi: Je te le promet. Quant à toi, ne te fais pas tuer.

J: J'essayerais.