TOME 2 : 《 Neyla : Mon amour interdit》
Selem aleykoum je m'appelle Aïsha.
Je suis la fille de Neyla Bensalah et de Seymin Benyamin.
Mon père est mort lors de son mariage avec ma mère.
Quant à ma mère, elle est morte en me donnant naissance à moi...
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Assise dans ma cellule je regardais le personel du commissariat faire des aller/retour devant moi.
Je venais d'être placé en garde à vue. Les policiers on attendu que Monsieur et Madame Bacher arrivent. Ils leurs ont montré mon visage mais les Bacher ne m'avaient jamais vu alors les policiers m'ont embarqué directement.
Heureusement ils n'ont pas relevé mes empreintes. J'ai eu le droit à un interrogatoire mais j'ai répondu qu'en réalité j'avais jamais cambriolé une maison et que c'était un délire entre pote.
Résultat les flics m'ont prise pour une petite conne d'adolescente et la, j'étais derrière les barreaux.
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Pour manque de preuves, et vu que j'avais restitué ce que j'avais volé à la famille, la police on décidé de me libérer. Alors, j'attendais.
J'attendais quoi exactement ? Je ne saurais pas vous le dire. Mais j'attendais en étant angoissé comme une folle.
J'appréhendais que la secte apprennent que j'avais raté ma mission.
Qu'es ce qu'ils allaient bien pouvoir me faire ? Me tuer ? Me couper un bras, une jambe ? J'en sais rien et ça, ça me faisais vraiment peur.
Je ne sais pas ce que j'attendais mais j'attendais.
J'ai du passer toute la nuit en garde à vue à essayer de dormir, mais évidement c'était impossible.
À un moment donné les policiers ont même mit un alcoolique avec moi en cellule. C'était trop gênant.
Mais arrivé sur les coups de 10 heures du matin un policier m'a fait sortir de la cellule.
Policier : Benyamin, on est venue t'chercher.
Je pensais que c'était mon frère, logique. Mais en arrivant dans le petit couloir j'ai vu assise sur l'une des chaises une femme avec une grosse touffes de cheveux.
Elle avait le teint matte, elle était fine, elle était habillé simplement.
Je l'ai ignorée pensant qu'elle n'était pas la pour moi mais le policier c'est arrêté devant elle me lui disant :
