CUORE MAFIOSO

Chapitre 26: Surveillée dans l'ombre.

Hello !! Comment vous allez depuis le temps ?

Mon absence à été longue mais je suis de retour ! ( Je ne vous avez pas oublié n'ayez crainte)

Sans plus tarder je vous laisse replonger dans l'univers de cuore mafioso.

Recommandation : je vous conseille de relire le chapitre précédent afin de tout comprendre.

Bonne lecture !

★★★

Un frisson glacé parcourut mon échine alors que je réalisais que nous étions pris au piège dans cette rue sombre.

Le parrain, qui était à côté de moi, se recula très discrètement, empêchant alors les hommes qui nous tenaient en joug de me voir.

Rapidement, je saisis l’occasion en faisant glisser l’ordinateur derrière une poubelle avec mon pied, espérant que les assaillants ne remarquent rien. Le parrain, qui ne bougeait plus, se tenait près de moi. Il fallait que nous trouvions une solution.

— Retournez-vous, et vite, tonna une voix grave derrière nous.

Nous nous regardons, le parrain et moi, comme pour nous mettre silencieusement d’accord avant de nous retourner. Je serrai les poings, prête à dégainer mon arme en cas de problème.

En nous retournant lentement, nous découvrons quatre hommes armés, leurs visages recouverts du même masque que celui qu’il avait tué en haut. L’un d’eux avança d’un pas, son arme pointée directement sur nous.

— Qu’est-ce que vous faisiez dans cet appartement ? demanda-t-il d’une voix menaçante. Vous cherchiez quelque chose, je me trompe ?

Je jetai un coup d’œil rapide au parrain, qui hocha imperceptiblement la tête. Il était temps de jouer la comédie.

— Nous ne faisions que passer, répliquai-je, essayant de paraître confuse. Nous chercher quelque chose ? Nous avons simplement rendu visite à notre vieille tante.

L’homme ne sembla pas convaincu et fit un signe de tête à ses complices. L’un d’eux commença à s’approcher de la poubelle où j’avais caché l’ordinateur. Mon cœur battait la chamade, mais je gardai mon calme.

— Fouillez-les, ordonna le chef.

Au même moment une pluie torrentielle s’abat sur nous, rendant la situation encore plus délicate.

Les deux autres hommes s’avancèrent vers nous, prêts à nous fouiller. Je savais que nous devions agir vite. D’un coup d’œil, le parrain et moi nous comprenons. Nous sortons alors nos armes, cachées sous nos vêtements, et les pointons brusquement sur les assaillants.

— Pas un geste, dis-je fermement.

La surprise se lit sur leurs visages. Le parrain se mit à avancer vers l’homme de droite avant de le désarmer avec rapidité.

Me pensant pas très futée un deuxième homme contourna la voiture à ma droite pour essayer de me désarmer en passant derrière moi.

Les battements de mon cœur s’accélérèrent, résonnant dans mes oreilles, tandis que toute la tristesse qui m’animait se transformait en une colère noire.