CUORE MAFIOSO

Chapitre 4: Prigioniero

Hello ! Accrochez vous...

Action 🎬🎥 !

Pdv Isaac
Club, Palerme.

Alors que j'étais assis avec Ezio, Alessio, Lorenzo et Livio, j'ai vu Diego, un de mes hommes, arriver rapidement vers moi.

- Capo ! Capo ! Une putain d'espionne vient d'aveugler Carlo !

- Qu'est-ce que tu fais encore là, Diego ?! Mobilise tous mes hommes. Ramenez-la moi, et vivante. Retournez toute la Sicile s'il le faut. Je veux cette putain d'espionne di Merda !

Putain, c'est qui encore cette conne !

Elle pensait vraiment réussir son coup sans que je le sache ?!

Je vais l'avoir et je vais lui faire regretter d'avoir pensé pouvoir me baiser.

- Ézio et Livio, allez sécuriser l'extérieur, je ne veux voir personne entrer ni sortir.

- On est sur le coup, Capo, dirent Ézio et Livio en sortant leurs armes qu'ils rechargent.

- Lorenzo et Alessio, allez vérifier chaque pièce ! Si mes hommes la retrouvent, ne la laissez pas avec eux, ramenez-la moi vous-même.

Ils acquiescèrent avant de se retourner et de disparaître dans la foule.

C'est qui cette troia di Merda ?!

Par qui est-elle envoyée ?!

J'espère pour elle qu'elle s'est enfuie loin, très loin. Parce qu'elle ne sait pas à qui elle se mesure.

Oh que je la ferai amèrement regretter, regretter de s'être prise à un de mes hommes en pensant m'atteindre.

Je ne sais pas encore qui elle est, mais je ne tarderai pas à le savoir.

Et croyez-moi, elle le regrettera amèrement...

Où que tu te caches, je te fais la promesse de te retrouver.

Pdv Jude,

Club Palerme.

Putain, je suis dans la sacrée merda !

Je suis recherchée par la mafia, la putain de MAFIA. Tout ça, à cause de l'autre bastardo qui voulait s'en prendre à moi.

Il a bien eu ce qu'il méritait, chacun de ses misérables jours, il se rappellera que c'est une femme qui lui a ôté la vue.

Je suis sortie de la pièce en prenant garde à ne faire aucun bruit et à m'assurer qu'il n'y avait personne dans ces couloirs sombres. Alors que je m'aventurai dans le couloir, j'entendis des bruits de pas rapides derrière moi.

- Putain, Diego, elle est là ! hurla un homme.

Je me suis instinctivement mise à courir. Pour aller où ? Je n'en sais rien, mais il fallait que je me batte jusqu'au bout.

Jamais je ne les laisserai m'avoir aussi facilement, jamais ils ne briseront mon égo.

Alors que j'arrivais au bout du couloir, je crois percevoir un homme caché dans l'ombre.

Mais c'est alors qu'une destination résonna suivi d'une cuve douleur que je ressentis au niveau de ma cuisse.

Il venait de me tirer une balle dans la cuisse.